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Critique(s)/Commentaire(s) Publiques de
Ernst Stavro Blofeld

  • PERMIS DE TUER (1989)
    Après presque deux ans d'absence, le retour en force de Bond ne passe pas inapercu. Un film époustouflant, de part ses cascades, mais aussi grâce à T. Dalton qui honore son personnage, tout comme l'a fait George Lazenby en son époque. Il manque cependant un petit quelque chose à ce film, qui apparaît comme le plus violent de la série. Un très bon 007 (made in GB of course), mais pas le meilleur!
    (16/08/89)
  • MISSISSIPPI BURNING (1989)
    Quand un Nordiste et un Sudiste s'intéressent aux problèmes des Noirs dans l'Amérique sudiste, raciste, dans les années 1960. Une superbe fresque magistralement orchestrée par Alan Parker, malgré peut-être un abus de scènes de violence.
  • BATMAN (1989)
    Malgré les grands renforts de publicit tapageuse, Batman n'est qu'un film très moyen dans son scénario. Mais pour tout le reste, je crierai au chef-d'oeuvre: de superbes décors, des trucages du tonnerre, et surtout, une interprétation magistrale signée Jack Nicholson dans un des plus beaux rôles de sa carrière. Il manque quand même le scope. Pour un film de cette renommée, cela aurait été la moindre des choses!
    (15/09/89)
  • ABYSS (1989)
    Quel merveilleux spectacle! Des images superbes, une musique étonnante. Abyss serait-il un digne émule de notre Grand Bleu national? Certainement pas, car, comme souvent, les réalisateurs américains gâchent le résultat par une fin très médiocre (ces sacro-saints happy ends).
    (03/10/89)
  • DOUBLE DETENTE (1988)
    Malgré un début à la "Schwarzie", ce film déçoit très rapidement. D'une part les fans de Rambo seront déçus de ne pas voir leur héros préfère montrer ses muscles au public, d'autre part, le public moins fanatisé ne trouvera pas la qualité d'un vrai policier. Les scénaristes ont voulu ajouter une touche d'humour en faisant des allusions à ce cher Rambo, une fois çà se serait passé, mais à tout bout de champ, c'est trop! A noter aussi que la musique est très mal intégrée au film : il manque le plus important : le réalisme, mais le réalisateur a voulu un son stéréo, on lui l'a donné, mais en oubliant qu'il n'y a pas que le son dans ce film (trop fort ici).
    (07/88)
  • TOUS LES COUPS SONT PERMIS (1988)
    Encore une oeuvre sur les arts martiaux. Ni pire, ni meilleure que d'autres, cette adaptation pourrait très bien s'appeler "Karate Kid 4" (ou 5, 6, au choix du client! ). Un peu plus sanguinaire que ces prédécesseurs, "Bloodsport" n'arrivera jamais à la hauteur, tant sur le fond que dans la forme, de "Yakuza".
    (16/08/88)
  • VENDREDI 13 CHAPITRE 7 : UN NOUVEAU DEFI (1988)
    Enfin un film horriblement drôle, ou plutôt drôlement horrible! Du sang et des cadavres à gogo... Quelques gags bien placés. On ne manquera pas de constater l'étrange amalgame de "Massacre à la tronçonneuse", "Zombie & Co.", "Plus mort que moi tu crèves", ... Une œuvre sympathique pour passer un bon moment! (18/08/88)
  • FLIC OU ZOMBIE (1988)
    Avec Flic ou Zombie, vous allez passer un excellent moment. C'est sans doute le film le plus drôle et le plus morbide de cette année. La qualité du scénario laisse le spectateur sur une excellente impression. Le réalisateur, en choisissant "court" a brillamment évité les scènes trop longues souvent source d'ennui. (20/08/88)
  • LA SORCIERE (1988)
    Dans la genre bizarre, Bellochio a encore une fois frappé! Rien de vraiment convaincant... à réserver aux "Dallomaniaques".
    (10/07/89)
  • LE PIÈGE DE CRISTAL (1988)
    (n+1)ème remake de "La tour infernale" cette "terrorist-version" a néanmoins le mérite d'allier, avec succès, violence pure et dure (les amateurs de sang ne seront pas déçus!) et humour. La caricature, à la limite du ridicule, d'une certaine mentalité des forces de l'ordre (FBI=RAMBO?) vaut à elle seule le détour.
  • MIDNIGHT RUN (1988)
    « Midnight run » est tout simplement formidable tant par son scénario que par sa mise en scène et son interprétation surtout De Niro et bien sûr l'excellent ami Grodin ........
    Polar très bien ficelé... Rythme, action et humour. En prime un suspense digne d'Hitchcock. Tout ceci ne laisse au spectateur guère le temps de se reposer! (25/11/88)
  • CROCODILE DUNDEE 2 (1988)
    Un crocodile + un crocodile = ??? Un demi crocodile... Paul Hogan, regarde donc où tu mets les pieds avant de faire n'importe quoi! Du réchauffé servi froid ne mets jamais en appétit. Tous tes gags sont vieux comme le monde, pardon, le cinéma! Un bon conseil: ne te laisse pas tenter par un tiers de croco, ca me plairait pas de devoir lui faire la peau! (03/11/88)
  • FAUX-SEMBLANTS (1988)
    En un mot... c'est superbe! Jérémy Irons et David Cronenberg au mieux de leur forme.
  • ITINERAIRE D'UN ENFANT GÂTÉ (1988)
    Fini le sourire dentifrice de Bebel, fini le one man show auquel il nous a tant habitués par le passé. On retrouve enfin un acteur, un vrai, qui sait mêler passion et sentiments dans un rôle qui lui va comme un gant... Mais, au fait, le rôle principal? Belmondo ou Anconina?
  • RAIN MAN (1988)
    Il est difficile de ne pas rapprocher cette comédie de "Jumeaux", traitant du même sujet, mais d'une façon tout à fait différente. Contrairement à son film "jumeau", Rain Man n'a rien d'une comédie loufoque. Barry Levinson a su exploiter a fond les qualités de deux grand acteurs, surtout le "little big man".
  • LES AVENTURES DU BARON DE MÜNCHHAUSEN (1988)
    Décidément, il y a des réalisateurs qui ont le "hic" pour les grands coups. Terry Gilliam en est un ! Las de "Brazil", qui a su plaire à son époque, et qui plaît toujours... le baron de M. est un film encore plus extraordinaire. Incontestablement, le meilleur film de Gilliam. On en veut, et on en redemande!
    (01/04/89)
  • JUMEAUX (1988)
    Quelle heureuse surprise... On peut parler d'une reconversion réussie de ce brave Schwarzie. Apres un premier ratage, dans "Double Détente", "Twins" est l'exemple même de la comédie de qualité! Mais n'oublions pas Dany De Vitto ("Y'a-t-il quelqu'un pour tuer ma femme?") dont la drôlerie et la qualité de l'interprétation prouvent encore une fois qu'il est à l'aise dans ce genre de films.
    (03/04/89)
  • L'UNION SACREE (1988)
    Dans une période où il y a abondance de polars, "L'union sacrée" ne peut que passer inaperçue. Pour un film qui se veut (? ) une réflexion sur le terrorisme, le spectateur a plutôt l'impression d'avoir déjà entendu ce refrain ailleurs : répondre à la violence par la violence. A la rigueur, vu au premier degré, çà pourrait passer, mais il ne faut pas chercher plus loin.
    (04/04/89)
  • FORCE MAJEURE (1988)
    Décidemment, il y a des hauts et des bas. Pour Patrick Bruel il s'agit en ce moment de bas. Non satisfait du ratage de l'Union Sacrée, celui-ci déçoit encore plus dans Force Majeure, film sans grande consistance où tout est traité de façon trop superficielle. Il manque un brin de "réalisme". Dommage... ça aurait pu être bien!
    (23/04/89)
  • CINÉMA PARADISO (1988)
    Emouvante évocation de la vie d'une petite ville autour de son cinéma. Noiret magistral, le petit Totto superbe, et Perrin qui a l'air bien perdu dans tout ça. Une fresque qu'aucun cinéphile ne peut se permettre de louper!
    (20/10/89)
  • SEXE MENSONGES ET VIDÉO (1988)
    Certains voient en ce film (le réalisateur en fait partie) une psychologie, moi je préfère parler de comédie. Humour constant et fin tout au long du film. A ne voir sous aucun prétexte en VF. Aucune traduction ne remplacera jamais les paroles originales (qui sont savoureuses).
    (18/10/89)
  • AUX PORTES DE L'ENFER (1987)
    Voyage au cœur des sciences occultes (le spectateur ne s'en rend compte qu'à la fin du film!) pour un Robert De Niro démoniaque et un Mickey Rourke en pleine forme. Suspense et meurtres garantis! Encore une excellente œuvre signée Alan Parker. (16/06/89)
  • BLUE JEAN COP (1987)
    Revoilà, à peine quelques mois après "Robocop", Peter Weller qui endosse à nouveau le rôle du bon et brave justicier. Et non, il n'est plus flic mi-zombie mi-robot, mais tout simplement un avocat qui veut faire triompher la justice. Un film assez farfelu, complètement dingue par moments. Hélas, Peter Weller ne s'en tire pas à aussi bon compte que dans "Robocop". Un scenario pas génial, un acteur qui pourrait mieux faire, et on obtient un film qui manque de rigueur et n'arrive pas à "accrocher" le spectateur. (10/08/88)
  • RANDONNEE POUR UN TUEUR (1987)
    Sydney Poitier et Tom Berenger in "Deadly Pursuit", ou les folles aventures d'un flic qui veut se venger et d'un guide un peu marteau. Suspense, frissons, cadavres garantis. Superbe thriller en trois parties (Frisco, Rocheuses, Vancouver)qui tient le spectateur en haleine pendant près de deux heures sans une minute de répit. En prime, tous les amateurs de superbes décors seront servis : une bonne heure de course poursuite dans un des plus beaux décors naturels du monde (Rocheuses du sud Canada et nord des Etats-Unis).
    (09/08/88)
  • LA BÊTE DE GUERRE (1987)
    Un excellent documentaire sur la vie et la mort d'un char de combat. Il ne faut cependant pas chercher plus loin. Ca tombe dans la classique histoire de courte poursuite / vengeance avec les traditionnelles oppositions de caractères chef bourreau / soldat pacifiste. Bof et re-bof... (12/09/88)
  • UN PRINCE À NEW YORK (1987)
    Eddie Murphy retrouve enfin sa très bonne forme de temps du flic de Beverly Hills. Une comédie des plus drôles, dans un des plus crasseux décors des Etats-Unis. Un film fort plaisant dans une période où les bons films d'humour font plutôt défaut.
    (16/09/88)
  • Y'A BON LES BLANCS (1987)
    Comédie légère, légère... mais alors vraiment trop plate! Rien de bien convainquant. Les rôles sont joués de façon superficielle, les acteurs semblent en vacances... ailleurs! Y'a bon le navet!
    (07/02/88)
  • PREDATOR (1986)
    Monsieur Muscle contre la chose inconnue ("The Thing" en anglais, mais c'est insultant à l'égard du film du même nom). Si vous aimez le tourisme au pays des cadavres "épluchés" et de la forêt viet (ou à coté, mais qui verrait la différence? ) Armez-vous bien et foncez dans les salles. Plutôt aller revoir "The Thing" ou "Aliens" (le premier bien sûr).
    (12/09/89)
  • LES FRÈRES PÉTARD (1986)
    Sans prétention, loin de se prendre pour un chef-d'œuvre, drôle, à prendre au 10ème degré (apparemment certains n'ont pas cette capacité...) et surtout culte pour une génération (Cf. le DJ Manu Le Malin). J'aime également Eisenstein, Welles ou Lang...
  • TUER N'EST PAS JOUER (1986)
    Vraiment un des meilleurs Bond. Fini la période moorienne. Après la déception du poussif "Dangereusement vôtre", James Bond trouve enfin son nouveau souffle. J'espère que "Permis de tuer" sera à la hauteur de celui-là ...... Bond est enfin de retour.
    Après la période intermédiaire à la Moore, les amateurs, les vrais, retrouveront enfin un héros à sa juste mesure. La première prestation de T.D. ne pouvait que laisser augurer une suite, qui je l'espère restera dans le bon chemin... (27/11/88)
  • COMMENT CLAQUER UN MILLION DE DOLLARS PAR JOUR (1985)
    Une très sympathique et plaisante caricature sur les nouveaux riches, ou plutôt les anciens pauvres! Les affreux et méchants capitalistes américains prennent du plomb dans l'aile! Richard Pryor, tout comme Eddie Murphy (Le Flic de Beverly Hills, Un Prince a New-York) donne ici le meilleur exemple de l'acteur comique qui plait! Par ailleurs, il semblerait bien que Walter Hill soit ici dans son élément, plutôt que dans le policier (le bien décevant Double Detente).
    (30/08/88)
  • LA FORÊT D'ÉMERAUDE (1985)
    Opposition entre deux mondes, cette superbe "invitation au voyage" et au dépaysement est indiscutablement une merveille que seul John Boorman pouvait signer. (01/11/88)
  • BRAZIL (1985)
    Vous êtes pessimiste? Vous aimez la science-fiction? Oui... Excellent! Brazil ne peut que vous enchanter. C'est sans aucun doute le film le plus horriblement pessimiste sur notre futur! Du jamais vu dans la science-fiction. Le réalisateur a osé changer tous les concepts classiques d'un monde futuriste. On prend le design moderne de la plupart des films du genre, on fait exactement l'opposé, et on obtient des ordinateurs avec un clavier style machine à écrire 1920, des gaines bien inesthétiques un peu partout. Amateurs de science-fiction anti-conformiste, précipitez-vous vite sur Brazil, vous serez enchanté !
    (12/08/88)
  • 2010 (1984)
    "2010" peut-être vu de deux façons différentes : tout d'abord, et c'est peut-être ce qu'on en attendait, comme une suite de "L'odyssée de l'espace", ou alors comme un film tout à fait indépendant n'ayant de commun avec 2001 qu'une partie du décor... Le premier point de vue déçoit. Pour une suite, c'est raté. L'esprit Kubrick est totalement absent de ce film. Le second point de vue donne un film d'aventures spatiales, un de plus qui est bien sympathique, mais sans plus.
    (07/04/89)
  • LA CORDE RAIDE (1984)
    Un polar qui porte la griffe du maitre! De l'Eastwood pour Eastwood, réalisé par une tierce personne : chapeau ! Un suspense qui ne laisse pas une seconde de répit au spectateur. Le roi Hitchcock aurait-il été capable de faire aussi bien ? (02/11/88)
  • DUNE (1984)
    "Dune" est un ratage total. Il ne reste pratiquement plus rien du chef-d'œuvre d'Herbert. Je me demande comment Lynch a pu se fourrer dans une pareille galère... l'acteur qui incarne le baron ressemble à un Coluche volant... et je me demande ce que le réalisateur trouve à Kyle pour l'avoir réutilisé dans le sinistre "Blue velvet". Les costumes ressemblent à ceux des frères Bogdanoff et les effets spéciaux ne sont pas à la hauteur, c'est le moins qu'on puisse dire. De plus le scénario ne garde rien du foisonnant bouquin; d'ailleurs malheur au spectateur qui n'aurait pas lu le livre préalablement... "Dune" reste un film à faire...
  • WITNESS (1984)
    Un très sympathique polar où, comme on en a l'habitude, Harrison Ford s'est encore surpassé dans la rigueur et la qualité de son interprétation. (31/10/88)
  • JAMAIS PLUS JAMAIS (1983)
    Quand Connery rime avec connerie... Désolé Sean, mais ce remake est vraiment trop nul pour mériter de quelconques compliments. Encore que çà aurait pu passer si "Opération Tonnerre" n'avait pas été là!. Mais du plagiat bête et méchant ne donne jamais de bons résultats. Flemming est anglais, Bond est anglais, alors laissez donc aux producteurs anglais le plaisir de tourner ces films.
    (27/11/88)
  • LE RETOUR DU JEDI (1983)
    Ce film est très loin de son prédécesseur "L'empire contre-attaque" car le scénario n'apporte rien de neuf. Malgré quelques trouvailles comme la mort de Yoda et de Vador, le film passe plutôt comme une répétition ou un remake de "Star wars". Dans le 1er film, les scénaristes avaient pris le parti de la simplicité. Dans "L'empire..." le scénario avait été très approfondi. Dans "le Jedi" l'histoire est vraiment trop simpliste -sans doute pour des raisons commerciales, de plus Lucas pousse le bouchon un peu loin avec ses Ewoks qui ressemblent à des "muppets" de l'espace. A voir quand même pour les effets spéciaux qui sont formidables, c'est vrai ....
  • L'ÉTOFFE DES HÉROS (1983)
    Hollywood vient enfin de renouer avec le passé. Une telle super-production n'est pas sortie des studios depuis bien longtemps. L'histoire de l'espace et de l'aéronautique vue par un grand cinéaste, avec certes également une bonne dose de chauvinisme!
    (02/01/89)
  • IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE (1983)
    Peut-être le plus fameux film de Leone. De Niro est étonnant -comme toujours- ainsi que James Woods. Le scénario est à la hauteur du réalisateur et le montage est vraiment audacieux. Bref, tout ce qu'il faut pour faire un bon film...
  • LA LOI DES SEIGNEURS (1983)
    Sous le couvert d'un film violent, et en "profitant" de l'aubaine du bizuthage, le réalisateur dresse un tableau bien sombre sur la discrimination raciale dans le Sud. Comme dans la plupart des films américains (pour changer), inutile de regarder le film jusqu'à la fin pour comprendre que c'est toujours le bon qui finit par triompher, même s'il doit se sacrifier.
    (14/09/89)
  • LE DROIT DE TUER (1981)
    Vengeance et héros-justicier suffisent à résumer ce film qui n'apporte absolument rien de nouveau au genre, sauf peut-être un excès de violence. Violence : totale, réflexion : néant, intérêt : aucun !
    (11/06/89)
  • L'EMPIRE CONTRE-ATTAQUE (1980)
    Le meilleur de la série. Supérieur aux deux autres films par son scénario et par sa mise en scène. Vador est plus trouble et plus mystérieux que jamais et les effets spéciaux sont évidemment à la hauteur des ambitions de Kasdan... Il est très dommage que les scénaristes n'aient pas poursuivi dans cette voie pour le film suivant.
  • MOONRAKER (1978)
    Bond, vous avez dit 007 ??? Comme c'est bizarre... malgré de nombreuses qualités ce film est bel et bien le plus "E.T." de la série... Quand à son intérêt cinématographique, ça fait plutôt penser à Super(nul)man... allons James, tu divagues complètement!
  • L'ESPION QUI M'AIMAIT (1976)
    Ah, Moore se réveille, après ses deux précédents navets. Même si ce film a aujourd'hui un peu vieilli, il se laisse regarder agréablement. Ca ressemble quand même davantage à un remake de "On ne vit que deux fois" ... Moore allait être ensuite plus crédible dans "Rien que pour vos yeux" ...
  • RAPT À L'ITALIENNE (1972)
    Une excellente parodie sur un sujet hélas trop souvent d'actualité. Le spectateur a droit à une excellente caricature du comportement des médias et de la police dans de pareilles situations. Le talent du réalisateur, appuyé par une excellente interprétation de Marcello Mastroianni (dans le rôle du lâche otage-modèle) ne fait aucun doute.
    (23/08/88)
  • LES ÉVADÉS DE LA PLANÈTE DES SINGES (1971)
    Vous n'avez pas l'impression d'avoir déjà vu ce film quelque part... ? Bien évidemment. Il s'agit exactement du premier de la série, en ayant pris soin d'inverser les rôles et de rajouter une dose de tragique. Arrêtez, je vais pleurer... sniff! Comme quoi, ces singes, ils étaient pas si bêtes que çà pour réussir à utiliser un vaisseau spatial et prendre la poudre d'escampette avant le grand boum.
    (21/07/89)
  • L'OR SE BARRE (1969)
    Un policier peut en cacher un autre (style, bien-sûr! ). Avec "L'or se barre", une chose est sure: le réalisateur a parfaitement réussi dans le comique. Des gags bien sympathiques, pas trop "gros", une folle course-poursuite en Austin-Mini à travers les rues de Turin, et bien d'autres. A regretter cependant, la hate du réalisateur de terminer son oeuvre. La coupure est trop rapide et laisse le spectateur sur une impression de travail baclé.
    (09/08/88)
  • AU SERVICE SECRET DE SA MAJESTÉ (1969)
    6eme adaptation à l'écran, et première et dernière pour George Lazenby, OHMSS est sans discussion possible LA référence Bondienne: le meilleur scénario, le meilleur générique, la meilleure musique, la meilleure distribution, et de superbes cascades pour le meilleur des 007. Dommage que la version non-US ait été raccourcie de 10 mn (la scène de vol en Suisse), alors qu'on sait que la version originale (non commercialisée) dure près de 3 heures.
    (09/10/88)
    Je suis d'accord avec Spectre, ce film injustement boudé par le public aurait du mériter son attention car ce, superbement servi par la musique de John Barry et de Louis Armstrong, a su combiner action, suspense et... sentiments! Lazenby, plutôt efficace dans les scènes d'action fut moins mauvais que l'on dit et chaque entrée en scène de la sublime Diana Rigg était une apparition ! La scène finale, la plus émouvante de la série, clos en outre le film, à la manière d'une poésie romantique...
  • IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST (1968)
    Quand longueurs est gage de qualité, çà ne peut être qu'un western signé Sergio Leone. Une savoureuse psychologie des personnages. Le tout est cependant archi-classique par rapport aux oeuvres précédentes de Leone, mais la qualité est là! Le roi du western pré-spaghetti au mieux de sa forme!
    (29/12/88)
  • CASINO ROYALE (1967)
    Comment Huston a t-il pu se fourvoyer dans un pareil navet ? Soit disant humour britannique de David Niven qui est en fait du cabotinage insupportable. Ce film est une pantalonnade qui n'aurait jamais du voir le jour. Comment a t’on pu balancer autant d'argent dans un pareil nanar ? "La lettre du Kremlin" était aussi un film de Huston .... Alors ? En fait "Casino royale" est un pétard mouillé.
  • LA PLANÈTE DES SINGES (1967)
    Voila notre Buck Rogers des temps modernes (Charlton Heston) au pays des singes. Le slogan "Back to the future" s'applique tout à fait. Les thèmes du racisme et l'esclavage sont ici traités d'une manière intéressante, et originale! La relation dominé-dominant, rébellion- ignorance est tout à fait bien mise en évidence.
    (21/07/89)
  • ON NE VIT QUE DEUX FOIS (1967)
    Cette adaptation, coincée entre "Thunderball" et "Au service secret de Sa Majesté" est prise en sandwich entre deux brillantes réalisations. Sans pour autant être mauvais (car, par définition un 007 est toujours un excellent film), "On ne vit que deux fois" est plutôt à considérer comme un palliatif afin de garder le rythme effréné de la série. L'île du soleil levant est quand même un superbe décor, naturel bien sûr!
    (08/04/89)
  • LE CONGRES S'AMUSE (1965)
    Un titre attirant pour une comédie des plus ennuyeuses. Le scénario est bien plat, et les personnages sont joués avec peu de conviction. La présence de Curd Jurgens n'a rien d'un atout.
    (15/06/89)
  • OPÉRATION TONNERRE (1965)
    « Goldfinger »... en moins bien. Même si ce Bond se laisse très agréablement regarder, il faut bien reconnaître qu'un grand nombre d'éléments ont été piqués à son prédécesseur, à commencer par l'Aston Marton.
  • GOLDFINGER (1964)
    James Bond s'envole. Le meilleur des Connery. Ce film a de quoi faire oublier les pitreries de Moore. Le meilleur des Bond.
  • LES OISEAUX (1963)
    Et encore un chef-d'oeuvre de l'ami Alfred... L'idée est on ne peut plus originale: les oiseaux deviennent les meurtriers, et le paisible village côtier de Bodega Bay devient un enfer pour ses habitants. Là encore, Hitchcock a merveilleusement filmé ce microcosme humain avec la peur qui va peu à peu envahir les esprits. On y trouve des comportements intrigants : la mère qui semble être ailleurs, les villageois qui petit à petit vont chercher un responsable (Mélanie) l'ornithologiste un peu marginale, etc. Il ne faut pas oublier l'excellent travail de l'image avec des truquages très réalistes. Encore bravo Hitchcock!
    (07/88)
  • LES CINQUANTE-CINQ JOURS DE PEKIN (1963)
    Quelle fresque historique! De somptueux décors, des costumes a la pelle, des figurants à volonté (peut-être un peu trop par moments : çà lasse). David Niven avec son air british qui lui va si bien, Charlton Heston, notre vaillants soldat américain, et bien d'autres. Action et bains de sang garanties! Du très grand spectacle... Rien à voir avec toutes ces soi-disantes reconstitutions sur le Vietnam ("Platoon", "Full Metal Jacket" et compagnie...) qui sombrent dans des films de guerre bien classiques.
    (08/88)
  • LAWRENCE D'ARABIE (1962)
    Cette super-production enfin en version intégrale. Il aura fallu le temps, mais quel bonheur de pouvoir admirer à nouveau ce chef d'oeuvre. Pas loin de 4 heures d'un spectacle magnifique auquel on ne saurait tenir rigueur des inexactitudes ou approximations historiques. Un premier rôle en or pour Peter O'Toole.
    (06/07/89)
  • L'HOMME QUI EN SAVAIT TROP (1956)
    Décidément, le couple Hitchcock-Stewart a encore fait des siennes. Il s'agit sans aucun doute là de la meilleure association de génies que le cinéma ait connu. A croire que James Stewart est né pour tourner LES films d'Hitchcock. "L'homme qui en savait trop" (tout comme "la corde", "fenêtre sur cour", et bien d'autres encore) est sans aucun doute LE meilleur des films du genre, voire même le meilleur trait de g"nie qu'ait eu le maître du suspense. La scène (preque) finale au concert est sans doutes la plus palpitante que le 7eme art ait connu. Un film dont on ne se lassera jamais.
    (08/88)
  • LES DIX COMMANDEMENTS (1956)
    Le must des superproductions hollywoodiennes. Tout est grandiose! 3 heures et demi d'un spectacle inoubliable. Indiscutablement l'un des meilleurs films qui n'ai jamais été produit!
  • LE RENARD DES OCÉANS (1955)
    La visite guidee des iles des mers du Sud ne suffit pas a faire un film de qualite. Le Cow-Boy des mers aurait mieux fait de garder ses colts.
    (10/02/89)