Sous le couvert d'un film violent, et en "profitant" de l'aubaine du bizuthage, le réalisateur dresse un tableau bien sombre sur la discrimination raciale dans le Sud. Comme dans la plupart des films américains (pour changer), inutile de regarder le film jusqu'à la fin pour comprendre que c'est toujours le bon qui finit par triompher, même s'il doit se sacrifier.
(14/09/89)