Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 40 films notés

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  • LES DIX COMMANDEMENTS (1956)
    Réponse à inconnu(e)
    Il existe plusieurs sens à l'adjectif "légendaire" :
    1) qui est de la nature de la légende
    2) qui n'existe que dans la légende
    3) bien connu de tous
    inconnu(e)
    Non, Moïse n'est pas un personnage légendaire comme votre résume l'indique, mais un personnage historique qui a été effectivement l'homme de Dieu pour sauver son peuple. Nous croyons en l'authenticité des saintes écritures et apprécions ce film, bien que trop rempli d'intrigues féminines. La première partie nous semble trop longue par rapport à la deuxième. Le film comporte quelques inexactitudes par rapport au récit biblique. Moïse présente à plusieurs reprises comme le libérateur de son peuple, annonce le christ, sauveur de tous les hommes "Si le Christ vous affranchit, vous serez réellement libres". JEAN 8:36.
  • LA VIE DE JÉSUS (1997)
    Réponse à S.H.
    Je vous précise qu'effectivement les jeunes interprètes du film ne sont pas des acteurs, mais ont été recrutés par le biais du service "chômage" de la mairie du lieu .....
    S.H.
    Si l'une des qualités du cinéma est de nous faire rêver, le mérite essentiel de "La vie de Jésus" serait plutôt de nous rappeler de quoi le monde est fait, dans toute sa médiocrité et sa crudité. Freddy, entouré d'une bande d'amis dont la seule occupation est la ballade en mob, vit bel et bien dans le même monde que le notre. On aurait tendance à l'oublier. Horizon bouché par le chômage et l'ennui, incapacité au dialogue faute d'une éducation suffisante, télévision pour tout univers culturel, tout cela est à vomir. Alors quand le crime raciste arrive, mêlé de rancœurs passionnelles, que penser de Freddy ? Victime d'une société qui le dépasse, ou coupable ? Coupable de bestialité avec la seule personne qui semble lui prêter un peu d'amour, coupable de laisser l'instinct l'emporter sur la raison... Le film décrit admirablement cette ambiance glauque et étouffante de mois d'août dans le trou du cul de la France, où l'inaction imprime aux corps des attitudes molles, laides. La manière qu'a Freddy de faire l'amour est à l'image du personnage : brutale, sans dialogue, sans esprit. Rarement des personnages aussi navrants auront réussi à captiver mon attention à ce point. Belle chronique, enfin, du racisme ordinaire : on pressent que le genre de population décrite ici serait l'électorat favori des Le Pen et autres De Villiers. Très beau film, à voir absolument quand on veut savoir ce qui se passe à quelques kilomètres des grandes villes. A noter que l'interprétation de Freddy et de ses potes est tellement criante de vérité qu'on se demande s'il s'agit là d'acteurs ou de jeunes paumés tirés pour l'occasion d'un village ou d'une petite ville. Par contre, le rapport entre le film et le titre ne me saute pas aux yeux, même si on peut voir quelques métaphores possibles entre le comportement de Freddy et ce que fut la vie du Christ.
  • GAZON MAUDIT (1994)
    Réponse à inconnu(e)
    c'est déjà son quatrième film ! (voir filmographie)
    inconnu(e)
    Film dans l'ensemble réussi, mais toutefois les dialogues sont parfois très crus. On rit, et pour un premier film en tant que réalisatrice, Josiane Balasko a témoigné d’un certain talent. jeudi 16 février 1995.
  • LES VALSEUSES (1973)
    Réponse à inconnu(e)
    Et en plus, d'une finesse exemplaire .....
    inconnu(e)
    Martine Prune, le retour sur le jugement qui sera le dernier, en fait, vous n'êtes que des sales enculés qui puent l'intellectualisme .....
  • LA BELLE HISTOIRE (1991)
    Réponse à D.W. GRAPHITE
    Walid, tu as bu ?
    D.W. GRAPHITE
    La générosité échevelée de Claude Lelouch, même si elle le conduit à quelques maniérismes et maladresses, est communicative. Elle agit d'abord sur les comédiens (qui irradient l'écran), sur les spectateurs ensuite, emportés par ce film fleuve où confluent moult rivières narratives. Lelouch est visiblement touché par la grâce. On le savait déjà. Mais cette fois, résolument, le mot doit s'écrire avec un G majuscule.
  • LES VALSEUSES (1973)
    Réponse à signature non-référencée
    Et les intolérants pour écrire ainsi ....
    signature non-référencée
    Certainement le meilleur film du petit Blier. Dewaere et Depardieu sont trop tordants. il n'y a que les cons pour dire qu'il est médiocre. MARTINE PRUNE.
  • EXILE (2006)
    Réponse à signature non-référencée
    Très cher, je peux doublement comprendre ton enthousiasme pour cette œuvre hautement surestimée. EN EFFET :
    1) J'ai la (mal)chance de connaître un peu le contenu vidéo et dvd de tes vastes rayonnages cinématographiques qui s'allongent et s'énoncent avec un noble enthousiasme juvénile et un digne recueillement zélateur dans le bis crapouilleux et la série Z à la chaîne et au fouet .....
    2) Je connais la variété faramineuse de tes affinités dans le 7e Art qui éclosent avec Al Adamson, se diabolisent avec Jésus Franco et s'épanouissent fièrement en compagnie d'Ed Wood Junior .....
    Que vienne le temps béni où tu ne prendras plus Andreï Tarkovski pour un couturier à la mode, Ernst Lubitsch pour un coureur automobile batave et Johnnie To pour un metteur en scène génial .....
    signature non-référencée
    Jean-Claude...!!! Honte à toi, tu vieillis, qu'est ce que c'est que cette critique vive et non pas enthousiaste du film EXILE (véritable revival des néo polars de Hong Kong), si le tiers des films d'action étaient comme ça, on se ferait moins chier !!! A bon entendeur et merci de prendre ma remarque en compte!! (Philippe Lux de WILD SIDE FILMS) Philippe Lux.
  • L'AFFAIRE THOMAS CROWN (1968)
    Réponse à inconnu(e)
    Le baiser le plus long du cinéma est dans le film "You're in the army now" (1940). il dure 3 minutes 5 secondes .....
    inconnu(e)
    Un film tout à fait remarquable, malgré un scénario un peu mince, surtout sur la fin, mais largement compensé par le brio du style et l'interprétation magnifique de Faye Dunaway et de Steve Mac Queen dans un rôle inattendu. On se souviendra notamment de la célèbre partie d'échecs qui fit en partie la réputation du film et nécessita avec son "plus long baiser de l'histoire du cinéma" trois jours de tournage.
  • TROCADERO BLEU CITRON (1978)
    Réponse à inconnu(e)
    Vous affirmez haut et fort que ce film est considéré à l’heure actuelle comme le premier film qui parla de la culture des skateurs en France. Vous m’en voyez fort aise. Cet historique rappel (que vous nommez culture) ne suffit pas pour octroyer au film une quelconque envergure, un intérêt particulier. A l’évidence, si vous faites abstraction de ce qui se nomme pompeusement la grammaire cinématographique et vous n’appréhendez un film que par le biais de l’émotion qu’il vous procure, on ne parle pas, en toute bonne foi, le même langage. De plus, je vous trouve bien téméraire et quelque peu présomptueux quant à vos affirmations concernant "l’âme des enfants", oublieux ou ignorant que les émotions, qu’elle soit enfantines ou adultes, chaleureuses ou affligeantes, sont en grande partie la résultante directe ou indirecte d’une éducation et conséquemment d’une culture. A vous lire, il s’avère effectivement que nous n’ayons pas vraiment la même définition de la culture. Et cela, loin de me navrer, aurait plutôt tendance à me rassurer et me faire sourire. En compulsant quelques revues d'époque, dont vous ne connaissiez peut-être pas l'existence, il me semble que déjà bien des critiques, ou qui se nomment "indûment" ainsi, insensibles, grincheux et péremptoires, avec leurs lourdes âmes d'adultes, avaient décrié, hélas, ce chef-d'oeuvre, dans un même élan d'ignorance et de spontanéité :
    "Le film, outre ses visées commerciales directes, utilise une « love story » qui ne dupera, je pense que les naïfs adultes. Tout ceci est nul sur le plan cinématographique, la grâce aérienne des jeunes skate-boarders n’a même pas été saisie par la caméra, le scénario est invraisemblable, seule Anny Duperey fait preuve de beaucoup de talent pour servir une bien mauvaise cause et un film particulièrement déplaisant"
    SAISON CINEMATOGRAPHIQUE 1978
    "Bleu citron ? Rose, plutôt. Très rose. Tout rose. C’est la Comtesse de Ségur qui aurait toqué l’évocation des vacances chez les De Fleurville pour le skateboard de la place du Trocadero. Tout baigne dans l’ouate sinon dans l’huile. Le scénario, comme la réalisation, ne visent qu’à faire passer, à ceux pour qui le cinéma c’est effectivement cette couleur assez vague qu’est le bleu-citron, 90 minutes agréables. Mission accomplie (Annie Duperey oblige !) en dépit de la facilité rosâtre de ce produit de luxe aseptisé" FICHES DU CINEMA 1979
    "Entré dans la salle, j’ai cru que c’était encore la pub de l’entracte. Mais c’était bien le début du film. Tout s’explique : l’auteur est un publicitaire sans doute "senior confirmé" comme ils disent dans les petites annonces ronflantes. Son produit de marketing est d’autant plus dangereux qu’il est correctement réalisé sur un scénario mielleux attrape-mouches. A la sortie du film, par acquit de conscience, je suis allé demander l’avis des petits enfants. Ils m’ont exhibé un prospectus qui les invite à rendre visite à la boutique Trocadero-Bleu-Citron, miraculeusement ouverte à Paris" ... ECRAN NUMERO 73
    "Avec ses planches à roulettes TBC véhicule des visées commerciales évidentes. Les décors en intérieur très "design", les vêtements, les jouets, tout est "in", dernier cri et fait pour susciter la convoitise des petits et des grands. A cette idéologie de la consommation, s’ajoute, et c’est encore plus déplaisant, une "éducation sentimentale" celle d’un petit garçon de dix ans guidé par une mère très "cop", super chic. Il va apprendre, pour conquérir la famille de sa belle et sa belle elle-même, à ruser, à duper, effrontément, cyniquement. Faut-il rajouter que la réalisation est faible" ...
    LA REVUE DU CINEMA NUMERO 333
    inconnu(e)
    Apparemment vous avez perdu votre âme d'enfant depuis bien longtemps, très cher chroniqueur... Pour votre info (et vos lacunes en matière de culture), ce film est considéré à l'heure actuelle comme le premier qui parla de la culture des skateurs en France...A bon entendeur.
  • TROP BELLE POUR TOI (1988)
    Réponse à inconnu(e)
    1) UN critique des Cahiers du Cinéma a parlé de chef-d'œuvre .....
    2) La différence entre notre appréciation et celle que vous évoquez va foncièrement dans le même sens. Non ?
    3) Le mieux est peut-être tout simplement de vous faire une idée personnelle en visionnant le film .....
    4) Et de la noter, ici même !
    inconnu(e)
    Les "Cahiers du Cinéma" disent que ce film est un chef-d'œuvre !
    Qui écouter ? : Vous, ou les "Cahiers du cinéma"...
  • V POUR VENDETTA (2005)
    Note : 16/20
  • LA CHAISE VIDE (1973)
    Note : 16/20
  • BONAPARTE ET LA RÉVOLUTION (1971)
    Note : 16/20
    Le résultat est déconcertant, mais passionnant.
  • LAUREL ET HARDY CONSCRITS (1939)
    Note : 14/20
  • EVITA (1996)
    Note : 11/20
  • DEUX VIVANTS ET UN MORT (1937)
    Note : 13/20
  • LA CONSÉQUENCE (1977)
    Note : 13/20
  • LE SANG À LA TÊTE (1956)
    Note : 14/20
  • LES AMITIÉS PARTICULIÈRES (1964)
    Note : 13/20
  • BRIGITTE ET BRIGITTE (1965)
    Note : 13/20
  • LES AMITIÉS PARTICULIÈRES (1964)
    Note : 13/20
  • LE DERNIER RIVAGE (1959)
    Note : 13/20
  • LAME DE FOND (1946)
    Note : 14/20
  • FRONTIÈRE CHINOISE (1965)
    Note : 11/20
  • LE VOYAGE FANTASTIQUE DE SINBAD (1973)
    Note : 15/20
  • LES ENSORCELÉS (1952)
    Note : 16/20
  • LES DIABLES (1971)
    Note : 16/20
  • MELINDA (1970)
    Note : 17/20
  • FEMME ENTRE CHIEN ET LOUP (1978)
    Note : 13/20
  • LA MERIDIENNE (1987)
    Note : 14/20
  • L'ENFANCE DE L'ART (1988)
    Note : 6/20
  • BIENVENUE AU PARADIS (1987)
    Note : 14/20
  • BABY BOOM (1987)
    Note : 12/20
  • LES PASSAGERS DE LA NUIT (1947)
    Note : 15/20
  • PARIS VU PAR... (4) (1965)
    Note : 12/20
  • ADIEU AU FAUX PARADIS (1989)
    Note : 14/20
  • AU-DELA DU BIEN ET DU MAL (1977)
    Note : 7/20
  • THELONIOUS MONK (1988)
    Note : 13/20
  • TAPS (1981)
    Note : 12/20
  • DANIEL (1983)
    Note : 14/20
  • LE TRAIN SIFFLERA TROIS FOIS (1952)
    Note : 17/20
  • GOLGOTHA (1935)
    Note : 14/20
  • LE CERF-VOLANT DU BOUT DU MONDE (1957)
    Note : 14/20
  • CAPITAINE DE CASTILLE (1947)
    Note : 14/20
  • TROUBLEZ-MOI CE SOIR (1952)
    Note : 12/20
  • LE JOURNAL D'ANNE FRANK (1959)
    Note : 14/20
  • LE TESTAMENT DU DOCTEUR CORDELIER (1959)
    Note : 12/20
  • LA PORTEUSE DE PAIN (1963)
    Note : 14/20
  • MACBETH (1947)
    Note : 16/20
  • LE PETIT THEATRE DE JEAN RENOIR (1969)
    Note : 12/20