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LA BELLE HISTOIRE-1991-
Nationalité : France
Durée : 3h30
Date de sortie en France : 25/03/1992
Genre : MÉLODRAME
Réalisation : Claude LELOUCH
Scénario : Claude LELOUCH
Prise de vues : Jean-Yves LE MENER
Musique : Francis LAI
Chansons : Jacques BREL
Musique : Philippe SERVAIN
Chansons : Charles TRÉNET
Musique : Gipsy Kings
Distributeur : AFMD
Visa d'exp. : 74539
Résumé
Film construit en deux parties, ("Abeilles d'Israël" et "Intime conviction") qui commence en l'an 33 quand le Christ fait un miracle dans un camp romain pour se poursuivre à l'époque contemporaine, en Camargue, dans les années 1970.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 6/20
Sur le thème de l'accomplissement des destins et de la réincarnation, une interminable histoire prétentieuse, grandiloquente, boursouflée où la bêtise la plus commune flirte allègrement avec la naïveté la plus profonde. Seul Claude Lelouch peut se permettre autant de profonde viduité, sans être lapidé !
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
3h30 de bonheur pur! Cette impression sublime de liberté, de vérité et de complicité avec Lelouch ...la spontanéité de Béatrice, Gérard et les autres, est troublante ..... On entre profondément dans le film, le pire : on y croit dur comme la vie! "Plus les histoires sont belles et moins les gens y croient" cette histoire-là on veut y croire! A la sortie de la salle, on veut aussi croire en sa propre histoire ..... Alors merci, merci Claude pour ton chef-d'oeuvre ..... Moi j'en suis à ma 6e séance. Amis: allez-y vivre cette merveilleuse histoire !!!!
Walid, tu as bu ?
D.W. GRAPHITE
La générosité échevelée de Claude Lelouch, même si elle le conduit à quelques maniérismes et maladresses, est communicative. Elle agit d'abord sur les comédiens (qui irradient l'écran), sur les spectateurs ensuite, emportés par ce film fleuve où confluent moult rivières narratives. Lelouch est visiblement touché par la grâce. On le savait déjà. Mais cette fois, résolument, le mot doit s'écrire avec un G majuscule.
La générosité échevelée de Claude Lelouch, même si elle le conduit à quelques maniérismes et maladresses, est communicative. Elle agit d'abord sur les comédiens (qui irradient l'écran), sur les spectateurs ensuite, emportés par ce film fleuve où confluent moult rivières narratives. Lelouch est visiblement touché par la grâce. On le savait déjà. Mais cette fois, résolument, le mot doit s'écrire avec un G majuscule.
inconnu(e)
Une oeuvre gastrique ....
inconnu(e)
Un rêve, un conte de fées qu'il faut absolument voir en 70mn. Béatrice Dalle est émouvante à en pleurer. La résurrection vue par Lelouch ..... C'est une belle histoire et c'est Pâques ..... Allez-y donc pour rire, pleurer et réfléchir ....
Bibliographie