Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 45 films notés

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  • AU RENDEZ-VOUS DE LA MORT JOYEUSE (1972)
    Note : 15/20
    Un film fort sympathique qui mérite que l'on s'y arrête.
  • DROLE DE DRAME (1937)
    Note : 16/20
    Adapté d'un excellent roman de J.Stoner Clouston, "His first offence", ce film possède la gracieuse fantaisie poétique qui marquait alors les étroites collaborations de Jacques Prévert et de Marcel Carné. Les dialogues font sans cesse mouche, Michel Simon et Louis Jouvet sont remarquables et l'intrigue fort plaisante. Une page importante de l'histoire du cinéma français.
  • LA MORT AUX TROUSSES (1959)
    Note : 18/20
    Un film-référence, un monument de l'histoire du cinéma, un petit bijou du 7e Art.
  • LE SHERIF (1956)
    Note : 11/20
    Pour la présence efficace et sobre de Robert Ryan.
  • LA FOSSE AUX SERPENTS (1948)
    Note : 16/20
    Psychanalyse, dépression et folie, un excellent cocktail !
  • LA FUREUR DE VIVRE (1955)
    Note : 13/20
    Considéré par la critique comme un chef-d'oeuvre, il ne serait pas fâcheux de réviser ce jugement dithyrambique en évacuant ou du moins en faisant abstraction du mythe James Dean. On peut objectivement reconnaître que l'acteur est loin de renouveler sa géniale performance d'"A l'est d'Eden" et que le film de Kazan est bien plus percutant, envoûtant que la modeste réalisation de Nicholas Ray.
  • FEMMES MARQUEES (1937)
    Note : 16/20
    Un excellent moment de cinéma !
  • LAUREL ET HARDY AU FAR WEST (1937)
    Note : 16/20
    Peu importe finalement l'histoire, le fou rire est presque toujours garanti, l'humour constant, les gags fort subtils, fréquents et inénarrables de drôlerie, pour une nouvelle réussite de l'inénarrable et facétieux duo que l'on adore.
  • LA FOULE (1927)
    Note : 16/20
    Quasiment documentaire, une oeuvre d'une grande et profonde véracité humaine.
  • GERVAISE (1955)
    Note : 16/20
    Une formidable interprétation de Maria Schell, soutenue par une distribution impeccable. La scène de bataille des lessiveuses demeure un moment d'anthologie. Quant à la réalisation de René Clément, le travail est assuré avec professionnalisme et une certaine élégance évidente. De la belle ouvrage.
  • LA FEMME AU PORTRAIT (1944)
    Note : 17/20
    Un petit chef-d'oeuvre du grand Fritz Lang, imprégné de psychanalyse, comme quelques autres films de l'époque (Hitchcock, Siodmak, Bernhardt) et qui, dans son explicative conclusion, se révèle n'être qu'un étonnant rêve.
  • TRINITA PREPARE TON CERCUEIL (1968)
    Un western-spaghetti fort correct.
  • FORFAITURE (1915)
    Note : 14/20
    Considéré par bien des critiques de l'époque comme le meilleur film de Cecil B. de Mille ainsi qu'un incontournable chef-d'oeuvre du cinéma muet, nous ne partagerons point ce jugement unanimiste, préférent de loin certaines oeuvres moins connues du grand réalisateur. Il est à noter que le film fut tourné en trois semaines, le jour, en même temps que son second film ("The golden chance") ce dernier, la nuit.
  • REGAIN (1937)
    Note : 16/20
    Une oeuvre importante dans la filmographie provençale de Marcel Pagnol.
  • LA BANDERA (1935)
    Note : 16/20
    Un classique des nombreux films sur la Légion Etrangère qui nous donne l'occasion de revoir Gabin dans un rôle puissant et fatal, à sa mesure et son talent.
  • LE FAUX COUPABLE (1956)
    Note : 16/20
    Du travail de maître, incontestablement.
  • MONSIEUR RICCO (1975)
    Note : 6/20
    Une écrasante et cruelle déception, tardivement distribuée en France sur une chaîne de TV (27/02/92) qui ne présente aucun intérêt, accumulant ennui et fadeur.
  • LES TROIS JOURS DU CONDOR (1975)
    Note : 17/20
    Malgré une histoire d'amour quelque peu artificielle et filandreuse, cette œuvre majeure d'un réalisateur américain de premier ordre, expose avec conviction et détermination, l'ambiguïté et l'obscurisme des services secrets, agissant souvent dans une royale illégalité que seul le "quatrième pouvoir" (la presse) pourrait enrayer et dénoncer, une affirmation souvent avancée dans maints films de l'époque.
  • DEUX NIGAUDS CONTRE FRANKENSTEIN (1948)
    Les deux comédiens sont surtout connus pour avoir tourné des parodies des grands mythes du cinéma fantastique, avec une réussite qu'on jugera fort mitigée.
  • COMME UN TORRENT (1959)
    Note : 16/20
    Excellente oeuvre de Vincente Minnelli, adaptée d'un étonnant best-seller yankee.
  • LE SERGENT NOIR (1960)
    Note : 16/20
    Film méconnu du grand Ford qui aborde avec bonheur les thèmes du racisme et de l'injustice. A mettre en parallèle avec certains films de Norman Jewison ou de Stanley Kramer dans la dénonciation du récurrent problème racial entre Blanc et Noir.
  • LA COLLINE DE L'ADIEU (1955)
    Note : 6/20
    Sirupeux et répugnant comme une coulée de mélasse frelatée, avec un William Holden en insipide ectoplasme, monolithique tel un zombie exsangue, un cinémascope "DeLuxecolor" aux couleurs fadasses et baveuses et une pesante histoire mielleuse à souhait, d'une incroyable fadeur émotive et passionnelle.
  • LES DIX COMMANDEMENTS (1923)
    Note : 16/20
    Alors que le premier opus, réalisé en technicolor et suivant avec plus ou moins de minutie l'histoire biblique, est fort prenant, malgré la ridicule séquence des tables de la Loi, c'est surtout la seconde partie, censée se dérouler à San Francisco, dans les années 1920, qui se révèle être une incontestable réussite du metteur en scène et de la maison de production Paramount, aussi bien par l'interprétation exemplaire des principaux acteurs que par son scénario solide, pathétique et séduisant.
  • LA COLLINE DES POTENCES (1958)
    Note : 14/20
    Un scénario de qualité pour une interprétation sans faille.
  • MADELEINE ZERO DE CONDUITE (1940)
    Note : 11/20
    Amour et fantaisie dans les salles de classe, pour une gentillette petite comédie sentimentale et transalpine. Interprétations légères, souvent alertes, où l'on retient surtout la présence de Vittorio de Sica, aussi bien devant que derrière la caméra.
  • L'ÉTRANGE MONSIEUR VICTOR (1937)
    Note : 16/20
    Un superbe film policier français rarement distribué dans sa version intégrale et qui mérite une rapide et totale redécouverte comme d'ailleurs tous les films du cinéaste.
  • LES PIÈGES DE LA PASSION (1955)
    Foudroyant succès populaire à sa sortie ; un des meilleurs rôles de Doris Day (une voix à charmer un troupeau de pachydermes mélophobes) et James Cagney, remarquable de présence et de brutalité dans sa composition d'un "boiteux amoureux".
  • ÉDUCATION DE PRINCE (1938)
    Note : 14/20
    Un magistral numéro de Louis Jouvet qui par son exceptionnelle présence rend parfaitement crédible son rôle de conseiller en éducation princière.
  • DOCTEUR JEKYLL ET MISTER HYDE (1931)
    Note : 17/20
    A choisir, l'interprétation de Fredric March, dans le rôle titre, dépasse légèrement en puissance et inquiétude celle de Spencer Tracy.
  • BALLADE POUR UN CHIEN (1967)
    Note : 15/20
    A voir sans hésitation. Un film passé totalement inaperçu.
  • DOCTEUR JEKYLL ET MISTER HYDE (1941)
    Note : 16/20
    Autre version du célèbre mythe de l'homme double, une nature foncièrement bonne, une autre portée vers le mal et la méchanceté, qui se regarde avec un plaisir évident malgré la répétition des thèmes habituels. Le sujet fut abordé (entre autres) par Robert Mamoulian, Jean Renoir, Terence Fisher, Victor Fleming, Jerry Lewis.
  • LES ORGUEILLEUX (1953)
    Note : 15/20
    Un splendide et solide rôle pour Gérard Philipe, en alcoolique invétéré, capable de tout pour un petit verre de tequila... et que l'amour naissant pour une femme prénommée Nellie alias Michèle Morgan, transfigure totalement. Première rencontre de deux monstres sacrés du cinéma français, ce film réalisé en partie en décors naturels, reste une excellente oeuvre des années 1950.
  • L'ESPION QUI M'AIMAIT (1976)
    Note : 12/20
    Roger Moore ne sera jamais Sean Connery et les premiers films de la série des "James Bond 007" ne seront à priori jamais dépassés voire égalés dans leur virtuosité et leur panache. Trop d'intérêt et de fric à défendre. Ici, à voir pour les seconds rôles. Restent tout de même pour notre admiration, l'immensité et la maîtrise des trucages dus au génie créateur de l'incontournable Kean Adam.
  • MAZEL TOV OU LE MARIAGE (1968)
    Note : 15/20
    Une sympathique comédie française.
  • JAMES BOND 007 CONTRE LE DOCTEUR NO (1962)
    Note : 15/20
    Le film a aujourd'hui bien vieilli, mais garde toutefois ce charme indéfinissable des héros mythiques de Verne et de Hergé. A voir absolument et à conserver précieusement dans sa vidéothèque. "Rien que pour vos yeux" ! On ne s'en lassera décidément jamais.
  • RÈGLEMENT DE COMPTES À O.K. CORRAL (1957)
    Note : 16/20
    Un western hyper-classique qui rappelle étrangement par son scénario, "La poursuite infernale" et qui a gardé, malgré le temps un évident souffle épique et un remarquable dynamisme dans les scènes d'action. Pour conclure, le duo Lancaster/Douglas reste inoubliable. Il est vrai que John Sturges n'est pas le premier venu et qu'il donna ses lettres de noblesse, au western.
  • TREIZE RUE MADELEINE (1946)
    Note : 15/20
    Une efficace réalisation, d'une pertinente richesse documentaire toujours présente qui donne à l'œuvre un réel cachet d'authenticité, avec une kyrielle d'acteurs convaincants et une dramaturgie d'une intensité certaine et constante.
  • J'AI LE DROIT DE VIVRE (1937)
    Note : 17/20
    Un époustouflant chef-d'oeuvre du film noir américain d'une désespérance et d'un pessimisme bouleversants qui à nouveau consacre Fritz Lang parmi les plus grands.
  • L'HOMME BLESSÉ (1983)
    Note : 16/20
    Illustration pessimiste et troublante de la passion (ici dans le milieu homosexuel) qui donne un film d'une grande désespérance et d'une extrême solitude, ponctuées par la froideur et le sordide des lieux de l'action (hall de gare, pissotière, etc...) L'intrigue et le propos s'appliquent ici à toute relation humaine. Chereau le dit lui même, le film traite de la passion et non de l'homosexualité comme problématique.
  • TUEURS DE DAMES (1955)
    Note : 20/20
    Petit bijou intangible de la meilleure comédie anglaise, à l'inoubliable humour britannique, qui reste un intangible chef-d'oeuvre produit par les fameux Ealing Studios à l'origine de bien des fulgurances cinématographiques de l'époque.
  • LE PAQUEBOT TENACITY (1934)
    Note : 16/20
    Film rare et précieux, considéré comme étant un peu précurseur du courant cinématographique appelé "réalisme poétique" longtemps tenu pour perdu.
  • LES OISEAUX (1963)
    Note : 18/20
    Un incontestable chef-d'oeuvre du grand maître britannique qui réussit la gageure d'adapter la courte nouvelle de la toujours séduisante Daphné Du Maurier avec un étonnant sens du suspense, de l'angoisse et de l'étrange.
  • DUEL AU SOLEIL (1946)
    Note : 18/20
    Un classique du western romantique et fiévreux qui demeure un monument mythique du cinéma par sa folle tragédie quasi biblique, la violente et charnelle beauté de Jennifer Jones et l'excellente interprétation des principaux acteurs. En prime, un dernier quart d'heure époustouflant qui demeure un inoubliable morceau d'anthologie.
  • C'EST LA FÊTE AU HAREM (1965)
    On peut se poser la question essentielle pourquoi un chanteur aussi brillant que Presley s'est si souvent fourvoyé dans des films aussi quelconques voire insipides ?
  • LE MAUVAIS CHEMIN (1960)
    Note : 14/20
    Une splendide photographie pour ce "mélodrame" sympathique qui a pris néanmoins quelques rides et perdu de sa rigueur dramatique.
  • LES COMANCHEROS (1961)
    Saga de l'Ouest finalement fort sympathique et qui se regarde sans bâillements excessifs. Une excellente interprétation de Stuart Whitman, dans le rôle de Paul Regret, impénitent joueur de cartes et séducteur patenté et une solide prestation de John Wayne alias Cutter, marshall texan qui a bien des ennuis / démêlés avec des trafiquants d'armes qui traitent en catimini avec les Indiens.
  • DOCTEUR CYCLOPE (1940)
    Note : 17/20
    Des trucages merveilleux pour un film inoubliable à mettre en parallèle avec l'étonnant "Les poupées du diable" sur le même thème du nanisme expérimental.
  • LES FEUX DE LA RAMPE (1952)
    Note : 17/20
    Un film fort pessimiste et d'une noirceur constante qui vaut surtout pour l'inoubliable et célèbre scène finale quand les trémolos du spectateur se mettent à vibrer et que les mouchoirs sortent discrètement des poches. Un peu l'oeuvre testamentaire du grand clown qui ne réalisera plus que deux films seulement.
  • RIO BRAVO (1958)
    Note : 17/20
    Un classique du western qui se revoit avec une tendre nostalgie et une émotion toujours présente et vive, tourné par le grand Howard Hawks, un des plus hétéroclites et des plus brillants metteurs en scène américains de l'époque. John Wayne est vraiment sublime dans son rôle mythique du Marshall John C. Chance et Dean Martin émouvant dans sa stature d'alcoolique déçu par une femme.
  • DON JUAN 73 (1972)
    Note : 4/20
    On se demande, ahuri, comment Vadim a pu réaliser une oeuvre aussi quelconque et largement insignifiante. Et les films à venir ne seront guère meilleurs.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
TUEURS DE DAMES (1955) 20
LES OISEAUX (1963) 18
LA MORT AUX TROUSSES (1959) 18
DUEL AU SOLEIL (1946) 18
LES TROIS JOURS DU CONDOR (1975) 17
J'AI LE DROIT DE VIVRE (1937) 17
LES FEUX DE LA RAMPE (1952) 17
LA FEMME AU PORTRAIT (1944) 17
DOCTEUR JEKYLL ET MISTER HYDE (1931) 17
DOCTEUR CYCLOPE (1940) 17
RIO BRAVO (1958) 17
DROLE DE DRAME (1937) 16
LAUREL ET HARDY AU FAR WEST (1937) 16
GERVAISE (1955) 16
REGAIN (1937) 16
LE FAUX COUPABLE (1956) 16
COMME UN TORRENT (1959) 16
L'ÉTRANGE MONSIEUR VICTOR (1937) 16
RÈGLEMENT DE COMPTES À O.K. CORRAL (1957) 16
LA FOSSE AUX SERPENTS (1948) 16
FEMMES MARQUEES (1937) 16
LA FOULE (1927) 16
LA BANDERA (1935) 16
LE SERGENT NOIR (1960) 16
LES DIX COMMANDEMENTS (1923) 16
DOCTEUR JEKYLL ET MISTER HYDE (1941) 16
L'HOMME BLESSÉ (1983) 16
LE PAQUEBOT TENACITY (1934) 16
BALLADE POUR UN CHIEN (1967) 15
LES ORGUEILLEUX (1953) 15
MAZEL TOV OU LE MARIAGE (1968) 15
AU RENDEZ-VOUS DE LA MORT JOYEUSE (1972) 15
JAMES BOND 007 CONTRE LE DOCTEUR NO (1962) 15
TREIZE RUE MADELEINE (1946) 15
LA COLLINE DES POTENCES (1958) 14
ÉDUCATION DE PRINCE (1938) 14
FORFAITURE (1915) 14
LE MAUVAIS CHEMIN (1960) 14
LA FUREUR DE VIVRE (1955) 13
L'ESPION QUI M'AIMAIT (1976) 12
LE SHERIF (1956) 11
MADELEINE ZERO DE CONDUITE (1940) 11
LA COLLINE DE L'ADIEU (1955) 6
MONSIEUR RICCO (1975) 6
DON JUAN 73 (1972) 4