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LES TROIS JOURS DU CONDOR-1975-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Three days of the condor
Durée : 2H
Date de sortie en France : 19/11/1975
Réalisation : Sydney POLLACK
Inspiration : D'après le roman Six days of the condor de James GRADY
Prise de vues : Owen ROIZMAN
Musique : Dave GRUSIN
Produit par Stanley SCHNEIDER
Distributeur : Fox-Lira
Visa d'exp. : 45178
Résumé
Documentaliste à la Société de Littérature et d'Histoire, située dans le quartier new-yorkais de Manhattan, Joseph Turner se rend chaque matin, gaillardement en solex (!) à son lieu de travail qui est en fait une discrète sous-section de la CIA pour laquelle il lit, épluche, décrypte quotidiennement un nombre impressionnant de romans d'espionnage afin d'y débusquer d'éventuelles informations ou fuites adroitement codifiées dans la trame littéraire. C'est pour avoir signalé à sa hiérarchie quelques bizarreries dans des bouquins sans intérêt, traduits seulement dans des langues secondaires, que notre sagace analyste va provoquer une mortifère et inattendue réaction en chaîne : trois hommes en anonyme tenue de facteurs se présentent à l'heure méridienne et abattent méthodiquement l'ensemble du personnel présent. Hormis Turner, sorti quelques minutes auparavant, par une porte dérobée, pour chercher quelques victuailles au café du coin. A son retour, il découvre horrifié le massacre et contacte immédiatement son supérieur, un certain major Mitchell, qui lui demande, après identification de l'appelant ("Condor" section 9, département 17) d'attendre expressément les ordres. Mais notre fugitif refuse désormais de faire confiance à quiconque de son organisation et décide de se cacher provisoirement dans un strict anonymat, forçant une jeune femme à l'héberger dans son appartement.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 17/20
Malgré une histoire d'amour quelque peu artificielle et filandreuse, cette œuvre majeure d'un réalisateur américain de premier ordre, expose avec conviction et détermination, l'ambiguïté et l'obscurisme des services secrets, agissant souvent dans une royale illégalité que seul le "quatrième pouvoir" (la presse) pourrait enrayer et dénoncer, une affirmation souvent avancée dans maints films de l'époque.
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Bibliographie