Malgré une histoire d'amour quelque peu artificielle et filandreuse, cette œuvre majeure d'un réalisateur américain de premier ordre, expose avec conviction et détermination, l'ambiguïté et l'obscurisme des services secrets, agissant souvent dans une royale illégalité que seul le "quatrième pouvoir" (la presse) pourrait enrayer et dénoncer, une affirmation souvent avancée dans maints films de l'époque.