Aucun résultat pour cette recherche
LA COLLINE DE L'ADIEU-1955-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : Love is a many splendored thing
Durée : 1h42
Date de sortie en France : 30/05/1956
Genre : MÉLODRAME
Affiche du film d'origine espagnole
Réalisation : Henry KING et Otto LANG
Scénario : John PATRICK
Inspiration : D'après le roman Multiple splendeur de Han SUYIN
Prise de vues : Leon SHAMROY
Musique : Alfred NEWMAN et Sammy FAIN
Production Buddy ADLER
Costumes : Charles LE MAIRE
Effets spéciaux : Ray KELLOGG
Autres Récompenses
Oscars 1955 pour les meilleures chansons
Distributeur : 20th Century Fox
Visa d'exp. : 17419
Résumé
1949. Vivant passionnément pour son sacerdoce à l'hôpital Victoria de Hong Kong, la jeune et belle veuve Han Suyin, dont le mari, officier nationaliste, à été tué en Chine durant le terrible conflit sino-japonais, fait la connaissance du dynamique Mark Elliott, correspondant de guerre américain en Extrême-Orient qui se sent très vite attiré par la séduisante Eurasienne. Peu à peu, au gré des rencontres et des rapprochements, un tendre sentiment se met en place, qui va obliger à une urgente clarification de leur disponibilité affective. En effet, Mark est marié et vit séparé de son épouse qui s'est installée à Singapour. Il doit obtenir de cette dernière son consentement pour divorcer et Han recevoir l'assentiment de sa famille habitant la mégalopole de Chungking pour un remariage. De plus, les amants, profondément épris l'un de l'autre, ont bien des difficultés pour vivre leurs sentiments, face à une désapprobation générale de leur entourage amical et professionnel, voyant plutôt d'un fort mauvais oeil cette liaison interraciale. Alors que madame Elliott refuse obstinément le divorce, Han et Mark s'offrent un bref séjour idyllique, en amoureux à Macao, avant le départ de ce dernier pour la Corée où la guerre vient d'éclater brutalement.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 6/20
Sirupeux et répugnant comme une coulée de mélasse frelatée, avec un William Holden en insipide ectoplasme, monolithique tel un zombie exsangue, un cinémascope "DeLuxecolor" aux couleurs fadasses et baveuses et une pesante histoire mielleuse à souhait, d'une incroyable fadeur émotive et passionnelle.
Ajouter Votre
Critique/Commentaire
Bibliographie