Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 49 films notés

Page 49 sur 332 (16566 critiques au total)

  • INSIDE JOB (2003)
    Note : 12/20
    On aime bien la première partie du film qui pose une atmosphère, un climat, des éléments susceptibles de créer une puissante dynamique inquiétante et oppressante, avec en arrière-fond un évanescent grain de folie prometteur. Hélas, tout s'effiloche ensuite dans une malséante lourdeur et un parti pris cachottier qui cherche à semer le trouble et ne provoque qu'une certaine forme d'ennui et de lassitude indélébiles.
  • LE LABYRINTHE DE PAN (2006)
    Note : 16/20
    Une intéressante et pertinente approche du monde chatoyant et tourmenté de l'enfance qui rappelle l'excellence d'un autre film hispanique, hélas un peu oublié, "L'Esprit de la ruche" (1973) du réalisateur Victor Erice.
  • LE PENSIONNAT (2006)
    Note : 14/20
    Pertinente observation des universelles et récurrentes craintes enfantines, à travers une oeuvre charmante et délicate, évitant avec élégance et discrétion les strates faciles et codifiés de l'horrifique appuyée et convenue.
  • BABEL (2006)
    Note : 17/20
    Sur le thème de la théorie du chaos, affirmée par le physicien Ilya Prigogine (la moindre variation en un lieu quelconque de la planète entraîne des effets considérables. C’est ce que l’on appelle "l’effet papillon" : un battement d’aile de papillon à Pékin peut provoquer un léger souffle qui, de proche en proche, donnera naissance à un ouragan sur la Californie) Alejandro Gonzalez Inarritu "exemplarise" l'affirmation scientifique aux relations humaines, abordant indirectement les complexes notions de hasard comme le firent, à leur manière et en leur temps, Krzysztof Kieslowski, Edouard Molinaro, Alain Resnais et Max Ophüls.
  • LA FÊTE DES MÈRES (1969)
    Note : 7/20
    Même dans ses courts métrages, Gérard Pirès montre sa constante médiocrité scénaristique et son exécrable et colossale "beaufitude". Reste Daniel Prévost, égal à lui-même qui tire son épingle du jeu et de la merde cinématographique proposée.
  • L'AMOUR DE L'ACTRICE SUMAKO (1947)
    Note : 16/20
    Simple et lumineux à la fois !
  • BLACK SHEEP (2006)
    Note : 13/20
    Pas vraiment de quoi bêler d'aise et de contentement. Un premier long métrage certes éminemment sympathique, qui compulse avec un certain bonheur les habituels schémas du genre, ayant en plus comme évident mérite, un humour sanglant bienvenu doublé d'une débordante frénésie gore et carnivore. De là, à décerner au film le Grand Prix du Festival de Gérardmer, il reste quelques arpents d'applaudissements, que nous ne franchirons pas, avec ou sans chakra rayonnant.
  • 10 CANOËS, 150 LANCES ET 3 EPOUSES (2006)
    Note : 13/20
    Un conte d'origine aborigène qui vise à l’universel, aux moult connotations ethnologiques évidentes qui n’évite pourtant pas les touffus taillis de l’ennui et dont, pour notre part, on ne retiendra que les dix dernières minutes autour de la mort du frère et de la célébration funèbre du tragique et douloureux événement.
  • FIDO (2006)
    Note : 13/20
    Petit film canadien plutôt original, parodique des oeuvres du genre, souvent drôle et bienvenu, indirecte critique de l'American Way of Life, censé se dérouler dans les florissantes années 1950 qui manque tout de même de folie iconoclaste et de délire scénaristique (comme la rare scène de l'entraînement armé des élèves d'un collège pour abattre les éventuels zombies récalcitants); une percutante démesure qui avait fait le bonheur d'un film comme "La course à la mort de l'an 2000" ...
  • SECTION D'ASSAUT SUR LE SITTANG (1959)
    Note : 14/20
    Passons sur les obligées considérations morales ou pernicieuses qui justifient certains actes, il est à remarquer que pour une fois, les "bons" Blancs se font copieusement étriper par les "mauvais" Jaunes. Etonnant !
  • LA VIE D'ARTISTE (2007)
    Note : 14/20
    Sur la narcissique thématique de la représentation artistique, induisant l'épuisant besoin récurrent de reconnaissance forcenée et d'affirmation immodérée de sa personne, teinté d'un incontournable et déplaisant égocentrisme ravageur, une petite comédie grinçante fort bienvenue dans laquelle la plupart des acteurs se distinguent agréablement, sans évidemment s'y reconnaître.
  • SILENT HILL (2006)
    Note : 14/20
    D’époustouflants trucages, souvent fort inventifs –qui finalement desservissent le film par leur surabondance et leur débordement visuel- pour une histoire des plus tourmentées qui aurait gagné en efficacité avec un peu plus de sobriété démonstrative.
  • ILS (2005)
    Note : 11/20
    Après une excellente scène d'introduction, le film ne fait que répéter les mêmes codes et schémas du genre, certes avec une honnête efficacité, mais dont la pertinence reste plus que discutable, à cause d'un manque cruel de variations scénaristiques. Il ne suffit pas de filmer de nuit, avec une caméra DV à l'épaule, pour accentuer les effets d'angoisse et de panique, d'incruster la bande-son de bruits et de cris troublants et d'occulter la nature et le desseins des énigmatiques assaillants pour tenir sur la durée et renforcer l'intérêt qui s'estompe. A défaut de belle ouvrage, de l'habile esbroufe.
  • LIBERO (2006)
    Note : 16/20
    Quatre acteurs formidables, à la magnifique présence toute en fragilité contenue, entre pudeur douloureuse et sentiments calfeutrés.
  • ARRIVEDERCI AMORE CIAO (2006)
    Note : 12/20
    Intéressant portrait d'un somptueux salaud fort bien interprété par un excellent Alessio Boni crapuleux au possible, dans une oeuvre somme toute correctement réalisée, mais qui manque toute de même, dans son ensemble et son traitement, de densité psychologique et d'épaisseur scénaristique.
  • LA FLAMME DE MON AMOUR (1949)
    Note : 16/20
    Solide film féministe et militant, d'une étonnante force et puissance dénonciatrices.
    *** Pseudo homme politique de gauche, faisant partie du staff de la candidate socialiste aux élections présidentielles de 2007, Ségolène Royal, et qui rejoint quelques jours plus tard, après la promulgation des résultats, le camp adversaire (vainqueur) pour aller au maroquin, à la soupe, au portefeuille, auprès de celui (Sarkozy) qu'il traitait il y a encore peu de temps, de "singulièrement dangereux, voire irresponsable qui n'éprouve aucune honte à pêcher dans les eaux de l'extrême-droite".
  • PRÉMONITIONS (2007)
    Note : 7/20
    Rien à retenir de cette oeuvre stupide et ringarde, d'une incroyable lourdeur pachydermique, véhiculant d'incessants tombereaux de niaiseries fantastico-sentimentales, à l'imposante morale judéo-chrétienne dont on ne sort qu'anéanti et désabusé devant cette avalanche continue de maltraitances cinématographiques. Et que dire du fatal dernier plan, effarant de crétinisme éthico-idéologique.
  • LAST LIFE IN THE UNIVERSE (2003)
    Note : 17/20
    Entre onirisme lancinant et nonchalance en dérive, quelque part entre les personnages en apesanteur d'un Jim Jarmush et les flottements existentiels des perdants des frères Kaurismaki, une oeuvre séduisante et bienvenue avec un acteur étonnant, à la solide filmographie, Tadanobu Asano.
  • DESTINATION FINALE 3 (2006)
    Note : 11/20
    3eme mouture d'une série pleine d'avenir (ce qui n'est pas le cas pour la plupart des protagonistes) qui après l'avion et l'autoroute, et maintenant le parc d'attraction, va certainement, dans les prochaines années nous mener (à nouveau) en bateau.
  • VAGUES INVISIBLES (2006)
    Note : 14/20
    De superbes instants de grâce cinématographique, mais hélas aussi de pesants moments de lourdeur répétitive (le lit qui se rabat continuellement) et une désagréable impression de tourner en rond et en longueur, parfois, de dériver inutilement.
  • DEEP WATERS (1948)
    Note : 11/20
    Petite comédie sentimentale, poussive et maritime, sans aucune once d'originalité, qui déroule ses sucreries bien pensantes avec une conviction lénifiante, soporifique.
  • MATCH POINT (2005)
    Note : 18/20
    Un petit bijou d'amoralisme, réalisé avec maestria et conviction par notre exquis et subtil metteur en scène, interprété par des acteurs somme toute parfaits, avec en plus une incontestable virtuosité dans la réalisation, fluide, légère, maîtrisée.
  • CHARLY (2007)
    Note : 13/20
    Une oeuvre irritante au possible qui véhicule, en absence et en profondeur, un envoûtement durable et certain, entièrement annihilé par les (volontaires ?) nonchalance et complaisance techniques de l'ensemble (flous laborieux, cadrages hasardeux, gros plans désastreux, filmage catatonique) par (stupide) souci d'adéquation avec la monochromatique rigidité existentielle des deux personnages en constante apnée émotionnelle. Démarche inutile, pesante et suicidaire !
  • SCOOP (2006)
    Note : 17/20
    Une fort réjouissante petite comédie fantastico-policière parcourue d'une pléiade d'acteurs souvent peu connus mais convaincants, où s'entremêlent avec jubilation l'inimitable humour yiddish, le suspense scénaristique, la finesse du jeu des principaux acteurs et une incroyable aisance technique.
  • LE SAUT PÉRILLEUX (2004)
    Note : 15/20
    Une convaincante interprétation d'Abbie Cornish, en fragile adolescente perdue, pour une oeuvre bienvenue, maintes fois primée dans son pays et dans quelques festivals internationaux, jamais distribuée dans l'hexagone.
  • LITTLE MISS SUNSHINE (2006)
    Note : 16/20
    Drôlement frais et réjouissant, à croquer d'aisance comme une pomme verte acidulée, un inattendu mais justifié succès public de l'automne 2006.
  • TOUT EST PARDONNÉ (2007)
    Note : 15/20
    Si le scénario ne brille guère par une réelle et flagrante originalité, la composition artistique de l'ensemble des acteurs se révèle lumineuse et sans faille et l’oeuvre dégage une indéniable et diffuse mélancolie, constellée des lancinantes brisures d'une insidieuse et persistance résignation. Celle qui hante et submerge ceux qui savent que rien ne perdure et que tout sera tôt ou tard, pardonné, oublié. A mettre aussi au crédit du film, une pénétrante mélopée de Matt Mac Ginn, "Coorie Doon" accompagnant en filigrane ce premier film émouvant et fragile, au final intensément douloureux qui laissera au coeur d'incisives marques indélébiles.
  • CHOR ET CHORCHOR (1926)
    Note : 15/20
    Une oeuvre superbe et drôle, projetée à l'incontournable festival du film muet de Pordenone (2007) dont la cinémathèque de Toulouse détient une précieuse et unique copie qui narre avec bonheur et décontraction les épiques aventures de deux dégingandés et fort étonnants "Loreleardi" arméniens.
  • BOYS KLUB (2001)
    Une construction fort simpliste et sans grande imagination scénaristique, pas de réel suspense, rien qui émeuve vraiment et une fin sans aucune surprise notable.
  • LA RAVISSEUSE (2005)
    Note : 14/20
    Peinture sans fard et sans concession, d'une société bourgeoise hypocrite, avec deux sympathiques actrices, étonnantes de naturel, d'aisance et de métier.
  • LA FACE CACHEE (2007)
    Note : 14/20
    1ere réalisation du comédien Bernard Campan d'une belle finesse psychologique correctement réalisé, joliment madrée aux entournures scénaristiques, d'une pertinente véracité humaine, qu'on regarde avec un certain plaisir, voire un plaisir certain.
  • COEURS (2006)
    Note : 17/20
    Sublimes personnages solitaires et solidaires qui s'agitent dans leur bulle opaque et neigeuse. Nous sommes un incommensurable mystère pour les autres et pour nous mêmes, un chant multiple d'échos et de songes qui n'arrive jamais à se faire entendre, écouter, par la bonne personne, au bon moment.
  • UNE EMPLOYEE MODELE (2003)
    Note : 6/20
    Le prototype même du film médiocre : une intrigue de bout en bout mal gérée, des séquences d'une lourdeur insupportable, des acteurs visiblement perdus, un scénario abracadabrandesque.
    Du vent et de la prétention, un ratage modèle à montrer dans toutes les écoles de cinéma comme exemple à ne pas suivre.
  • L'HOMME SANS MEMOIRE (1974)
    Note : 11/20
    Bien mieux réalisé que certaines autres productions du genre, -giallo transalpin- (excellente photo de Giulio Albonico qui fut tout de même le chef opérateur de Liliana Cavani) et même si l'ensemble transpire le laborieux, voire le besogneux, on regarde l'ensemble sans déplaisir, un peu étonné de savoir que ce thriller horrifique fut bizarrement interdit à sa sortie aux moins de dix-huit ans.
  • REGARDE-MOI (2007)
    Note : 9/20
    Premier long métrage d'une jeune réalisatrice de vingt-trois ans, Audrey Estrougo affirme avoir puisé dans des souvenirs personnels les éléments essentiels de son film qui se veut donc largement autobiographique. Mais cela ne suffit pas pour faire une oeuvre. Encore moins un bon film. Car, hélas, nous assistons à une insupportable succession de scènes archétypales, modélisables dans de lourds schémas soporifiques et consensuels ("Les jeunes des banlieues n'ont pas plus de problèmes que les autres : tout va bien. Pas de racaille, pas de chômage endémique, structurel, pas de conscience politique. On veut juste "serrer les meufs, mon frère"), et dont la mise en scène hautement quelconque, voire batarde, souffre d'aberrantes répétitions scéniques qui suppose une totale carence dans la maîtrise de l'élément filmique ou alors un chef-monteur lunatique ou lévitant, en perpétuelle absence de concentration professionnelle. Et comme de bien entendu, le pendable résultat est auréolé de moult Prix insignifiants (à croire créés pour la circonstance) : "Prix Junior (?) du Meilleur Scénario 2006, "Prix Arlequin" (?) "Prix Talents des Cités 2005 (?).
  • L'ÉPÉE BIJOMARU (1945)
    Note : 14/20
    Même si on est loin des grands chefs-d'oeuvre à venir du maître incontesté Kenji Mizoguchi, ce film ne mérite pas d'être oublié ou même tout simplement ignoré.
  • BORAT (2006)
    Note : 13/20
    Quelques excellents moments d'humour ravageur et d'hilarité communicative, pour un ensemble qui manque tout de même d'unité et de rigueur, dans sa grinçante diatribe dénonciatrice et sa saine radicalité, quelquefois plutôt douteuse et vacillante.
  • DA VINCI CODE (2006)
    Note : 7/20
    Ron Howard nous avait habitué à un peu plus de qualité. Mieux vaut encore se payer une ennuyeuse messe en latin ou un succulent pet-de-nonne !
  • VOL 93 (2006)
    Note : 14/20
    Il faut reconnaître au metteur en scène une incontestable maîtrise dans le filmage de l'infernal huis clos d'une carlingue d'avion et aussi dans le compte rendu méticuleux de l'incompréhension et du désarroi de l'ensemble des services de la navigation aérienne (aiguilleurs, officiels, contrôleurs, etc..) Pourtant le film peut s'appréhender uniquement comme un excellent film "catastrophe" dénué de toute densité politique. Ce qui est un comble et l'isole dans ses propres limites "spectaculaires".
  • SVENGALI (1931)
    Note : 17/20
    Etonnante oeuvre hybride qui décline tous les décors du cinéma muet, flirte avec le fantastique et l'amour fou, hésite entre les genres, pour notre plus grand bonheur.
  • MISE A PRIX (2006)
    Note : 15/20
    Une fort étonnante oeuvre hybride qui mélange allègrement de nombreux genres cinématographiques (film noir, gore, parodie, drame, comédie) à un rythme époustouflant, entre humour cinglant et balles sifflantes, grotesque débridé et dramaturgie galopante, pour le plus grand bien du spectateur subjugué.
  • UNE VERITE QUI DERANGE (2006)
    Note : 14/20
    Loin d'être fastidieux ou ennuyeux, la démonstration est plutôt pertinente et réussie, malgré et peut-être à cause de son explicite message à forte connotation alarmiste voire catastrophique. Reste à se poser la question sur l'impact réel ou supposé de ce genre de film, la majeure partie de ses spectateurs étant déjà a priori des convaincus de la cause et les indifférents peu enclins à un visionnement.
  • LES MÉDUSES (2007)
    Note : 14/20
    A la mode du temps, un nouveau film choral, israélien cette fois ci, un peu filandreux, baignant dans une fluidité quelquefois trop disparate, avec pourtant quelques scènes lumineuses voire remarquables (on pense, entres autres, aux dramatiques interférences du poème de Keren sur le destin suicidaire de l'écrivaine inconnue...) Il est vrai aussi que l'on ne s'improvise pas metteur en scène et que nos deux apprentis en herbe et en cnidaires sont beaucoup plus connus, l'un comme romancier et auteur de bandes dessinées et l'autre, comme actrice et scénariste.
  • L'INTOUCHABLE (2006)
    Note : 15/20
    Une oeuvre assez étonnante dans sa douce progression, qui prend son temps, (mais pas le nôtre) avec son rythme évanescent et fantasque, pour lentement imprégner le spectateur de sa diffuse présence et de son évidence certaine.
  • TERREUR DANS LA VILLE (1934)
    Note : 10/20
    Hormis une courte bagarre aux poings et quelques chevauchées filmées en travellings et en léger accéléré, l'ensemble ne risque guère de "terrifier" d'admiration le cinéphile exigeant. A noter une fin d'une ringardise vomitive de par son double message, domestique et raciste.
  • ON NE SE DIT PAS TOUT ENTRE ÉPOUX (1971)
    Note : 9/20
    C'est absurde et un peu stupide. On a strictement rien compris à ce qui se tramait. Gébé a du encore fumé la moquette et Doillon plane mollement, sans vraiment atterrir.
  • TOUT SE PASSE LA NUIT (1939)
    Note : 13/20
    Malgré une interminable séquence de patinage surnuméraire dans laquelle Sonja Henie nous assomme malgré ses indéniables talents de glisse et d'adresse, l'oeuvre se regarde nonchalamment, avec en prime le plaisir de revoir, fugace et drôle, l'étonnant et bienvenu Fritz Feld, dans le rôle d'un faraud gendarme zélé.
  • L'INVENTAIRE (1974)
    Note : 7/20
    La moquette est toujours aussi bonne et nous toujours aussi ignorant des intentions de la petite équipe.
  • L'HISTOIRE DE RICHARD O. (2007)
    Note : 12/20
    De laborieux ébats érotico-copulateurs en pagaille, fallacieusement croustillants (pour l'oreille ? pour la vue ?), souvent mornes et scénarisés dans une fausse urgence du désir féminin, en veux-tu, en voilà, avec un Mathieu Amalric virilement investi dans un rôle activement érectile, entre joyeux et borné désespoir existentiel et constant narcissisme égrillard, pour une oeuvre somme toute bancale référençant du côté de l'incontournable et génial Calaferte ("La mécanique des femmes" et l'inoubliable "Septentrion") mais qui ne lui arrive même pas au niveau du la ceinture.
  • LES INFILTRÉS (2006)
    Note : 16/20
    Sans être génial, c'est tout de même une réalisation solide, du costaud sur mesure, de la maîtrise de professionnel, pour un sans faute évident, qu'on est d'ailleurs en droit d'attendre d'un Martin Scorsese, au meilleur de sa forme.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
MATCH POINT (2005) 18
BABEL (2006) 17
LAST LIFE IN THE UNIVERSE (2003) 17
SCOOP (2006) 17
COEURS (2006) 17
SVENGALI (1931) 17
LE LABYRINTHE DE PAN (2006) 16
L'AMOUR DE L'ACTRICE SUMAKO (1947) 16
LIBERO (2006) 16
LA FLAMME DE MON AMOUR (1949) 16
LITTLE MISS SUNSHINE (2006) 16
LES INFILTRÉS (2006) 16
CHOR ET CHORCHOR (1926) 15
L'INTOUCHABLE (2006) 15
LE SAUT PÉRILLEUX (2004) 15
TOUT EST PARDONNÉ (2007) 15
MISE A PRIX (2006) 15
SECTION D'ASSAUT SUR LE SITTANG (1959) 14
SILENT HILL (2006) 14
VAGUES INVISIBLES (2006) 14
LA RAVISSEUSE (2005) 14
L'ÉPÉE BIJOMARU (1945) 14
UNE VERITE QUI DERANGE (2006) 14
LE PENSIONNAT (2006) 14
LA VIE D'ARTISTE (2007) 14
LA FACE CACHEE (2007) 14
VOL 93 (2006) 14
LES MÉDUSES (2007) 14
10 CANOËS, 150 LANCES ET 3 EPOUSES (2006) 13
BLACK SHEEP (2006) 13
FIDO (2006) 13
CHARLY (2007) 13
BORAT (2006) 13
TOUT SE PASSE LA NUIT (1939) 13
INSIDE JOB (2003) 12
ARRIVEDERCI AMORE CIAO (2006) 12
L'HISTOIRE DE RICHARD O. (2007) 12
L'HOMME SANS MEMOIRE (1974) 11
ILS (2005) 11
DESTINATION FINALE 3 (2006) 11
DEEP WATERS (1948) 11
TERREUR DANS LA VILLE (1934) 10
ON NE SE DIT PAS TOUT ENTRE ÉPOUX (1971) 9
REGARDE-MOI (2007) 9
DA VINCI CODE (2006) 7
L'INVENTAIRE (1974) 7
LA FÊTE DES MÈRES (1969) 7
PRÉMONITIONS (2007) 7
UNE EMPLOYEE MODELE (2003) 6