Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 49 films notés

Page 50 sur 332 (16566 critiques au total)

  • UN COTTAGE A DARTMOOR (1929)
    Note : 18/20
    Encore un petit bonheur sur grand écran dispensé par l'incontournable festival du film muet de Pordenone (édition 2013) ayant bénéficié d'une admirable et récente restauration qui permet d'apprécier et de se réjouir du magnifique travail en noir et blanc de l'ensemble, sur fond d'éblouissant mélodrame sentimental à la douloureuse universalité et dont la rigueur cinématographique confère au chef-d'oeuvre.
  • HORS JEU (2006)
    Note : 15/20
    C'est drôle, incisif, émouvant et sous ses airs quelque peu (faussement) gentillets, sacrément accusateur et revendicatif. C'est peut-être pour cela aussi que le film est et reste encore interdit de projection dans son propre pays.
  • LA TOUR DU SILENCE (1925)
    Note : 14/20
    Malgré un scénario lourdement tarabiscoté, tiré par les cheveux et les cordages, une œuvre bienvenue issue des efficaces studios de la UFA réalisée par un metteur en scène peu connu en dépit d'une production un rien pléthorique et variée, souvent inconnue ou ignorée sur les écrans de l'hexagone.
  • SAW 3 (2006)
    Note : 10/20
    Quelques rares moments de suspense pour une oeuvre lourdement sadique et gore qui cherche du coté des abattoirs, une inspiration cruellement absente et une maladive surabondance d'hémoglobine, comme d'ailleurs l'ensemble de la série.
  • THE HAMILTONS (2006)
    Note : 6/20
    Pour les camés et les assoiffés de l'hémoglobine, autant bifurquer jusqu'au prochain centre de transfusion sanguine, tellement l'ensemble de la réalisation se coagule ici dans la gratuité stupide, la facilité gore et la méprisante prétention de vouloir renouveler à tous prix le mythe vampirique, sans bien sûr y parvenir.
  • UN MONDE MERVEILLEUX (2006)
    Note : 13/20
    On songe, bien sûr, à Frank Capra, en mode mineur, à certains personnages gratinés d'Ettore Scola, en filigrane, même à la période mexicaine de Luis Bunuel, mais l’ensemble, certes bienvenu, manque de fougue et de lyrisme et la pirouette finale dénie toute perspective politique ou sociale cohérente.
  • LE DERNIER VOYAGE DU JUGE FENG (2006)
    Note : 14/20
    D'une étonnante finesse d'observation, entre pertinent documentaire de moult archaïques us et coutumes judiciaires et suaves portraits de maints errements de la nature humaine, un sympathique voyage dé(bridé) à entreprendre en toute sérénité.
  • SIDEWAYS (2004)
    Note : 16/20
    Des acteurs éblouissants de naturel et de spontanéité, pour une histoire d’une simplicité déconcertante, fort justement récompensée par le Golden Globe du Meilleur Film et du Meilleur Scénario et aussi par l’Oscar du Meilleur Scénario tiré d’une adaptation, sans oublier moult prix dans des festivals ainsi divers que Boston, Chicago, Londres, San Francisco, Toronto, Vancouver. Nous trinquerons longtemps encore à ce film affable et gouleyant. A voir et à revoir, sans modération.
  • MONGOLIAN PING-PONG (2004)
    Note : 14/20
    Une oeuvre étonnante d'un autre temps, d'une autre vie, qui parle d'une quotidienneté inconnue, hors des folies et des contingences de notre ébouriffant vingt-et-unième siècle naissant et qui devrait donner à réfléchir durablement sur nos leurres somptueux et nos intarissables et récurrentes illusions.
  • CASINO ROYALE (2006)
    Note : 13/20
    Rien à redire ou à maudire sur les séquences d'action, efficaces et souvent bluffantes. Mais la romance transpire l'eau de rose et le bisou fané, alors que la longue partie de cartes frise l'ennui mortel et le bâillement intempestif.
  • LES GRENOUILLES QUI DEMANDENT UN ROI (1922)
    Note : 15/20
    De l'exemplaire fable de Jean de La Fontaine, Ladislas Starevitch a su retraduire toute la saveur et la morale, avec une finesse exemplaire et une jubilation certaine.
  • LE VIOLON (2005)
    Note : 14/20
    Après une introduction d'une déroutante sauvagerie inattendue, le film piétine étrangement comme une mule mal dirigée, risquant même l'enlisement définitif dans une persistante répétition scénaristique, pour finalement se rattraper et nous illuminer dans l'émouvante et dramatique scène finale, inoubliable.
  • LA CIGALE ET LA FOURMI (1927)
    Note : 15/20
    Admirables moments que le bal des insectes, la danse des hannetons, l'ingéniosité de la fourmi et le rigoureux travail de ses congénères se préparant pour les rigueurs hivernales.
  • LE DERNIER DES FOUS (2006)
    Note : 15/20
    D'une tranquille désespérance qui fait froid dans les chaumières !
  • LE RAT DE VILLE ET LE RAT DES CHAMPS (1926)
    Note : 15/20
    Subtile adaptation modernisée, voiture et gramophone, de cette fable qui fait primer la quiétude sur la satiété, l'harmonie campagnarde à l'agitation citadine.
  • VERS LE SUD (2005)
    Note : 14/20
    Trois excellents portraits de femmes en doute et en fuite, dont celui de Charlotte Rampling lumineuse et rayonnante à souhait, comme souvent à son habitude. A nouveau Laurent Cantet confirme sa bonne place dans le gotha des cinéastes français.
  • LES YEUX DU DRAGON (1925)
    Etrange et fascinante illustration d'un fort vieux conte d'origine chinoise, à l'étonnant graphisme d'une confondante simplicité qui vise à l'universel.
  • LES COULEURS DE L'IRIS (1974)
    Note : 11/20
    Sur la thématique "cinéma, art du faux et de l’illusion", une oeuvre longuette, souvent lourde et finalement pas plus utile qu'une noyade en porte à faux.
  • DANS LES GRIFFES DE L'ARAIGNÉE (1920)
    Note : 15/20
    Une animation et des personnages propres au grand réalisateur d'origine lituanienne qui se sert avec finesse et conviction du monde des animaux pour esquisser et croquer le nôtre, avec une délectation et une justesse exemplaires.
  • JE SUIS LAS DE TUER TES AMANTS (2002)
    Note : 13/20
    Une oeuvre somme toute intéressante, un peu décalée dans le genre, qui rappelle les bonnes et les mauvaises réalisations d’un lointain Jean-Jacques Beineix.
  • LA VOIX DU ROSSIGNOL (1923)
    Note : 15/20
    Petite histoire enfantine, sous forme de conte moral qui enchantera petits et grands, délicatement enluminé par virage et pochoir.
  • LORD OF WAR (2005)
    Note : 15/20
    Un étonnant Nicolas Cage dans une oeuvre honnête et prenante, dénonçant un dramatique état de fait politique, somme toute bien en deçà de la vérité !
  • HALLOWEEN (2007)
    Note : 12/20
    Une curieuse première partie en forme d'intéressant préquel à l'originelle version du metteur en scène John Carpenter "La nuit des masques" pour un prolongement qui reste ensuite cantonné dans les balisés archétypes et schématisations du genre, avec toutefois une inquiétante et constante propension à plus de sauvagerie encore (pas moins d'une vingtaine de cadavres en tous genres).
  • RED ROAD (2006)
    Note : 16/20
    Sur le thème de la vengeance et du pardon, une oeuvre solide, perturbée et perturbante, incarnée par des acteurs époustouflants de présence. Les vrais "monstres" ne sont pas toujours ceux qu'on pense.
  • INVASION (2007)
    Note : 13/20
    Après l'inoubliable et fort incontournable chef-d'oeuvre de Don Siegel réalisé en 1956 "L'INVASION DES PROFANATEURS DE SEPULTURES", l'excellent remake de Philip Kaufman en 1978 "L'INVASION DES PROFANATEURS" et le plutôt discutable opus du toujours controversé Abel Ferrara en 1993 "BODY SNATCHERS", cette quatrième version cinématographique du roman de Jack Finney nous laisse un goût mitigé et partiellement décevant, malgré quelques efficaces scènes d'angoisse et de tension, accentué par une fin conventionnelle, précipitée et pesamment rassurante quant au solide potentiel réactif des States éternels face à l'Ennemi de tous bords, fut-il d'origine extra-terrestre.
  • L'ARBRE DE LA CONNAISSANCE (1981)
    Note : 16/20
    Même si le film n’évite pas toujours l’écueil de la répétition, il reste une solide référence pour les films du genre, intemporel et universel.
  • L'HEURE DES ADIEUX (1941)
    Note : 10/20
    Si le personnage principal mène effectivement une vie fort animée et plutôt trépidante, on ne peut vraiment pas attribuer ces qualificatifs au film qui s'allonge et s'étire dans un poussif cheminement répétitif où l'intérêt pour l'histoire et les personnages s'étiole peu à peu définitivement. Adieu Franziska !
  • THE PRIVATE FILES OF J. EDGAR HOOVER (1977)
    Note : 11/20
    Une oeuvre sans réel intérêt cinématographique, qui ne peut attirer la curiosité que par la discutable personnalité de celui qui en est le centre et le sujet.
  • LA MALEDICTION 666 (2006)
    Note : 11/20
    Ni pire, ni meilleur que l'oeuvre générique, qui fut réalisée en 1976 par Richard Donner, avec la surprise en moins et peut-être du désintérêt en plus.
  • HOLLYWOODLAND (2006)
    Note : 15/20
    Dans la positive foulée du "Dahlia noir" de Brian de Palma, sorti en salles deux mois plus tôt, une nouvelle incursion dans le monde mortellement feutré de l'univers en chausse-trappes du cinéma hollywoodien, souvent en berne.
  • 7H58 CE SAMEDI-LÀ (2007)
    Note : 15/20
    A plus de quatre-vingt printemps et pas moins d'une bonne quarantaine de longs métrages à son actif, le sémillant Sidney Lumet nous revient avec un énergique thriller domestique qui dénote une efficace et rude connaissance du métier et confirme la rigoureuse présence scénique d'un acteur exceptionnel (l'incontournable Philip Seymour Hoffman). Toutefois, cette pénultième réalisation ("Getting out" pour 2009) n'apporte et n'enlève rien à son incontestable notoriété internationale.
  • EN PLEIN DANS LA CUISSE (1999)
    Note : 11/20
    Dommage que le film se termine sur une pirouette ("Vache-Qui-Rit") plutôt que de fournir une explication rationnelle ou fantastique.
  • DE L'AUTRE CÔTÉ (2007)
    Note : 17/20
    On songe, bien sûr, aux éternelles et pathétiques tragédies de l'Antiquité gréco-romaine où l’homme n'est qu'un indicible fétu de paille ballotté par un destin qu’il ne maîtrise jamais. Pire peut-être, dont il ne soupçonne, ne devine, ne connaît, ne comprend jamais les effarants et madrés rouages, en pantin dérisoire et merveilleux qu’un destin impassible et arrogant bouscule et malmène imperturbablement. Agencée avec une rare subtilité en précises boucles concentriques qui se rapprochent sans jamais se rencontrer, cette oeuvre majeure de Fatih Akin s’inscrit admirablement dans tout un courant de pensée déterministe et romantique, que la littérature orientale et plus largement la pensée turque énoncent dans le terme fataliste de "kismet" (fatum). En effet, c'est avec une mauvaise volonté évidente qu'un destin triomphant et négatif empêche ces six personnages en quête identitaire de se (re)trouver; à peine quelques croisements insoupçonnées, alors que tous les lieux s’y prêtaient et que tous les élans affectifs pouvaient y contribuer. Et pourtant, un film rasséréné, dénotant une indéniable maturité chez son fougueux metteur en scène, dont la dramaturgie dépasse de loin l'espace étriqué des frontières, des cultures et des générations, vers une possible et nécessaire compassion (Nejat et Susanne, Susanne et Ayten) une évidente réconciliation (Nejat et son père), dans une large proximité communautaire. C'est avec un plaisir toujours présent que nous avons revu cette œuvre bouleversante lors d'une précieuse rétrospective consacrée à l'actrice Hanna Schygulla durant le festival International du Film de La Rochelle 2014, avec en prime cinq étonnantes créations de la comédienne en vidéo, jamais diffusées dans l'hexagone !
  • RUPTURE IMPOSÉE (1997)
    Note : 15/20
    Tout se révèle par un lent travelling arrière final et le spectateur nage dans la satisfaction d'un petit court métrage bien trempé, inattendu et plutôt original.
  • 28 SEMAINES PLUS TARD (2007)
    Note : 11/20
    Une profusion d'invraisemblances scénaristiques, sur une trame des plus ténues, prétexte à un déferlement de maintes scènes gore (plutôt réussies dans le genre) nous entraînant, incrédules et dubitatifs, dans une histoire banale, bancale et cinématographiquement tellement inutile et surfaite.
  • PIERRES ET CLAUDE (1995)
    Note : 5/20
    On pourrait croire que le réalisateur s'est mis à la marijuana (mais ce n'est pas son genre) qu'il a subi un grave choc destabilisant (quand on l'a croisé au dernier festival du film nordique, tout semblait être en place) Alors ? Crise religieuse ? Trop-plein de pellicule ?
    Pulsions incontrôlées vers un cinéma expérimental ? Aspiration contrariée durant l'enfance, vers la profession d'architecte, d'archiprêtre ? On attend les avis.
  • LE RÊVE DE CASSANDRE (2007)
    Note : 16/20
    Troisième opus de son acrimonieuse trilogie londonienne, après le percutant "Match point" (2005) et le séduisant "Scoop" (2006), l'irrésistible Woody Allen, de plus en plus funeste et désenchanté, nous propose une dramatique descente aux enfers où sont conviés, avant l'ultime sortie en mer, quelques mânes antiques et tragiques, certaines dostoïevskiennes silhouettes transies par la faute et la culpabilité et la présence presque tangible d'un fatum courroucé, inexorablement justicier.
  • BAD TIMES (2005)
    Note : 15/20
    Excellente prestation des deux principaux protagonistes, avec un Christian Bale fort convaincant, pour un scénario solide, une réalisation maîtrisée et une insidieuse dramaturgie progressive qui accroche et séduit.
  • UN JOUR SUR TERRE (2007)
    Note : 12/20
    Visuellement, des documents souvent exceptionnels grâce à de nombreuses prises de vue en haute définition qui traquent au plus près la nature et le monde animal tels que l'opaque citadin lambda ne peut même pas imaginer du fond de sa banlieue. Reste que les commentaires en voix-off sous-titrés frisent la phraséologie emphatique, le culpabilisant discours militant ou le catastrophisme outrancier. De plus la description d'une scène animalière permet souvent la possibilité d'un discours interprétatif et variable, orienté, voire inverse (dramatique épuisement d'un ours perdu dans les flots ou joyeuse baignade d'un plantigrade, heureux de batifoler dans l'élément liquide ?).
  • 12 H 08 A L'EST DE BUCAREST (2006)
    Note : 15/20
    Drôle et démystifiant, égratignant avec jubilation tous ceux qui partout et toujours, "prennent le train en marche" et se déclarent, deviennent (ou bien ont toujours été) fièrement des combattants de la première heure.
  • L'ASSASSINAT DE JESSE JAMES PAR LE LÂCHE ROBERT FORD (2007)
    Note : 17/20
    Un des meilleurs films de l'année 2007 qui évite avec élégance l'écueil d'une vision hagiographique du mémorable personnage, tout en étant une subtile réflexion sur les notions de célébrité et les discutables fondements d'une légende, avec à tous instants, un étonnant réalisme radical et poétique à la fois, hautement démystifiant qui donne aux principaux personnages une véritable humanité, loin du traditionnel et convenu folklore de l'Ouest américain que véhiculait un Ford, un Mann ou un Walsh.
  • LE TEMPS QUI RESTE (2005)
    Note : 13/20
    Un accouchement cinématographique plutôt fastidieux et d’un intérêt anecdotique pour qui n’est pas concerné par la problématique "de l’homosexuel (qui va mourir) et qui n’a pas de descendance". Dans la bonne moyenne des films du cinéaste.
  • LA SAISON DU SOLEIL (1956)
    Note : 13/20
    Hédonisme nippon d'une jeunesse éclatée, entre mal de vivre et soif de vivre, qu'un après-guerre traumatisant exacerbe et induit fatalement.
  • LE SERPENT (2006)
    Note : 13/20
    Alors que Clovis Cornillac compose un personnage inquiétant à souhait, Yvan Attal en fait vraiment de trop, au point de perdre son peu de crédibilité, dans cette histoire de vengeance, tordue et tortueuse, accumulant toutefois de lourdes invraisemblances.
  • PERVERT ! (2005)
    Note : 8/20
    Cela se voudrait, bien sûr, un hommage à Russ Meyer et cela véhicule avec évidence et lourdeur, une forme de bêtise assumée, loin du bon goût et du réalisme ambiants. L'utilisation fréquente du procédé des écrans multiples rend d'ailleurs la vision du film rapidement fatigante, voire pénible. Dans un ensemble parfaitement inutile et copieusement stupide, on ne retiendra finalement que deux scènes "clin d'oeil" : une succulente dégustation d'un phallique épi de maïs par la plantureuse Carey et le comportement plutôt expéditif d'un garagiste envers son gamin désobéissant.
  • SUPER SIZE ME (2004)
    Note : 14/20
    Œuvre cinématographique que l'on peut qualifiée de salubrité publique, qu'il faudrait montrer dans toutes les écoles, offrir gratuitement une copie DVD à la sorties des Mac Donald's, diffuser à la télévision aux heures de grande audience. Impensable !
  • LA FORET DE MOGARI (2007)
    Note : 14/20
    Une oeuvre profondément mélancolique, traversée par quelques fulgurances inoubliables, qui trace et dévoile un chemin périlleux et sinueux vers une primordiale sérénité, dans les méandres d'une authentique proximité toujours fragile et incertaine ("il n'y a pas de règles formelles") lorsque les morts sont plus vivants que les vivants et que la question essentielle ("Comment fait-t-on pour vivre seul"?) lancinante et quotidienne, reste toujours aussi fugace, malgré les longues années tré(passées). Dommage que l'indicible osmose entre l'élément naturel présent (le vent, la pluie, la forêt) avec les deux principaux protagonistes à la dérive, n'ait pas ce fascinant envoûtement attendu, suggéré, ce souffle nécessaire et primordial.
  • LA QUESTION SANS REPONSE (1986)
    Note : 14/20
    Amnésie et perdition. Envoûtant et fort étrange.
  • ADAM'S APPLES (2005)
    Note : 14/20
    Une excellente et succulente première heure (comme une délicieuse tarte aux pommes) acidulée et pétillante à souhait, constellée d'un humour grinçant et décalé, avec des acteurs performants et des situations étonnantes d'absurdité. Par contre, la demi-heure qui suit n'échappe pas toujours à un grotesque facile et quelquefois pesant qui déséquilibre légèrement l'oeuvre dans son harmonie "divine".
  • DÉJÀ VU (2006)
    Note : 12/20
    Efficace dans les scènes d'action, l'ensemble se désintègre rapidement devant les invraisemblances scénaristiques, même en admettant le postulat initial d'un retour sur le passé. Dommage que Denzel Washington, dont la présence physique reste incontestable, n'ait pas suivi la voie de films un peu plus consistants, devenant ainsi le digne successeur d'un Sidney Poitier à la présence rarement décevante.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
UN COTTAGE A DARTMOOR (1929) 18
DE L'AUTRE CÔTÉ (2007) 17
L'ASSASSINAT DE JESSE JAMES PAR LE LÂCHE ROBERT FORD (2007) 17
SIDEWAYS (2004) 16
RED ROAD (2006) 16
L'ARBRE DE LA CONNAISSANCE (1981) 16
LE RÊVE DE CASSANDRE (2007) 16
HORS JEU (2006) 15
LE DERNIER DES FOUS (2006) 15
LORD OF WAR (2005) 15
HOLLYWOODLAND (2006) 15
RUPTURE IMPOSÉE (1997) 15
BAD TIMES (2005) 15
12 H 08 A L'EST DE BUCAREST (2006) 15
LES GRENOUILLES QUI DEMANDENT UN ROI (1922) 15
LA CIGALE ET LA FOURMI (1927) 15
LE RAT DE VILLE ET LE RAT DES CHAMPS (1926) 15
DANS LES GRIFFES DE L'ARAIGNÉE (1920) 15
LA VOIX DU ROSSIGNOL (1923) 15
7H58 CE SAMEDI-LÀ (2007) 15
LE VIOLON (2005) 14
VERS LE SUD (2005) 14
SUPER SIZE ME (2004) 14
LA QUESTION SANS REPONSE (1986) 14
LA TOUR DU SILENCE (1925) 14
LE DERNIER VOYAGE DU JUGE FENG (2006) 14
MONGOLIAN PING-PONG (2004) 14
LA FORET DE MOGARI (2007) 14
ADAM'S APPLES (2005) 14
UN MONDE MERVEILLEUX (2006) 13
CASINO ROYALE (2006) 13
JE SUIS LAS DE TUER TES AMANTS (2002) 13
LE TEMPS QUI RESTE (2005) 13
LE SERPENT (2006) 13
INVASION (2007) 13
LA SAISON DU SOLEIL (1956) 13
DÉJÀ VU (2006) 12
HALLOWEEN (2007) 12
UN JOUR SUR TERRE (2007) 12
LES COULEURS DE L'IRIS (1974) 11
THE PRIVATE FILES OF J. EDGAR HOOVER (1977) 11
EN PLEIN DANS LA CUISSE (1999) 11
LA MALEDICTION 666 (2006) 11
28 SEMAINES PLUS TARD (2007) 11
SAW 3 (2006) 10
L'HEURE DES ADIEUX (1941) 10
PERVERT ! (2005) 8
THE HAMILTONS (2006) 6
PIERRES ET CLAUDE (1995) 5