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Nationalité :
États-Unis231
Résumé
Etudiant à la Nouvelle-Orléans, James s'en vient rendre visite à son paternel Hezekiah qu'il n'a pas vu depuis des années, en fait depuis le décès mystérieux de sa mère. Ce dernier habite à l'orée du désert et se complait dans d'étranges créations artistiques à base de viande, censées représenter l'élément féminin. Pourtant le vieux pervers ne semble guère en manque du coté "caleçon fripon", en effet sa compagne actuelle, Cheryl, une superbe créature aux seins proéminents le comble au-delà de toute imagination. Et le fils aussi pourra bénéficier, à l'insu de son père, des largeurs et des amplitudes mammaires de la voluptueuse demoiselle. Tout semble donc forniquer dans le meilleur des mondes possibles, hormis que de sanglants meurtres féminins défrayent la chronique locale depuis quelques mois. Lorsque Cheryl finit sa vie et son orgasme dans un sanglant trépas, les soupçons entre père et fils s'amplifient et perturbent fort les relations familiales, surtout qu'une nouvelle demoiselle, Alisha, à la même plasticité débordante, s'est entichée du vieux lézard Hezekiah, toujours plus libidineux. Tout se complique, lorsqu'on apprend que le pénis de James, depuis que le garçon a consulté un vague gourou sexuel, mène de temps à autre, une incroyable existence autonome, un rien agressive pour son entourage.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 8/20
Cela se voudrait, bien sûr, un hommage à Russ Meyer et cela véhicule avec évidence et lourdeur, une forme de bêtise assumée, loin du bon goût et du réalisme ambiants. L'utilisation fréquente du procédé des écrans multiples rend d'ailleurs la vision du film rapidement fatigante, voire pénible. Dans un ensemble parfaitement inutile et copieusement stupide, on ne retiendra finalement que deux scènes "clin d'oeil" : une succulente dégustation d'un phallique épi de maïs par la plantureuse Carey et le comportement plutôt expéditif d'un garagiste envers son gamin désobéissant.