Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 44 films notés

Page 9 sur 332 (16566 critiques au total)

  • L'IMPASSE AUX VIOLENCES (1959)
    Note : 13/20
  • DROLE DE FRIMOUSSE (1956)
    Note : 13/20
  • LA GRANDE FROUSSE (1964)
    Note : 13/20
  • LA GRANDE COURSE AUTOUR DU MONDE (1965)
    Note : 14/20
  • LE PLUS SAUVAGE D'ENTRE TOUS (1962)
    Note : 15/20
  • LA VOIE LACTÉE (1968)
    Note : 15/20
  • BUNNY LAKE A DISPARU (1965)
    Note : 15/20
  • UNE FEMME EST UNE FEMME (1960)
    Note : 14/20
  • LES CAVALIERS (1970)
    Note : 9/20
  • LA MACHINE À EXPLORER LE TEMPS (1960)
    Note : 15/20
  • LA COMTESSE DE HONG KONG (1966)
    Note : 12/20
  • PRENDS L'OSEILLE ET TIRE-TOI (1969)
    Note : 16/20
  • DOUX OISEAU DE JEUNESSE (1962)
    Note : 16/20
  • LE TESTAMENT DU DOCTEUR MABUSE (1932)
    Note : 16/20
  • LETTRE D'UNE INCONNUE (1948)
    Réponse à Loïc Pessaud, cinéphage
    Avant de vous "énerver", vous auriez pu remarquer que nous avions noté ce film 16 sur 20 et qu'il ne pouvait que s'agir d'une erreur d'inattention de la pigiste .....
    Loïc Pessaud, cinéphage
    Votre opinion est révoltante car ce film est l'un des chefs-d'oeuvre d'Ophüls et le meilleur de sa période hollywoodienne. Il porte à son apogée les thèmes chers à Ophüls tels l'emprise du passé et la fuite du temps. De plus il bénéficie d'une très bonne interprétation de Joan Fontaine et Louis Jourdan. Ce n'est en rien larmoyant et encore moins de l'eau de rose. D'ailleurs, bien que fraîchement accueilli a sa sortie, il a été reconnu depuis comme l'un des plus beaux films d'Ophüls par de nombreux critiques. Un très grand film.
  • LOS MUERTOS (2004)
    Note : 13/20
  • LA SOLITUDE DES NOMBRES PREMIERS (2010)
    Note : 14/20
  • L'ÂGE DE GLACE (2001)
    Note : 13/20
  • L'IDIOT (1951)
    Note : 16/20
  • L'ENFANT DE L'HIVER (1989)
    Note : 8/20
  • NAISSANCE D'UNE NATION (1914)
    Note : 18/20
  • JE VEUX SEULEMENT QUE VOUS M'AIMIEZ (1975)
    Note : 15/20
  • FEMMES (1939)
    Note : 13/20
  • ANTOINE ET ANTOINETTE (1946)
    Note : 16/20
  • GERTRUD (1964)
    Note : 16/20
  • LE DESERT ROUGE (1964)
    Note : 16/20
  • NOUS AVONS GAGNÉ CE SOIR (1948)
    Note : 15/20
  • LES BOURREAUX MEURENT AUSSI (1942)
    Note : 17/20
  • L'ARGENT DE LA VIEILLE (1972)
    Note : 12/20
  • L'ENNEMI PUBLIC (1931)
    Note : 17/20
  • L'ADIEU AU DRAPEAU (1932)
    Note : 16/20
  • DIVORCE A L'ITALIENNE (1961)
    Note : 15/20
  • LE TRESOR DES NIBELUNGEN (1966)
    Réponse à AXEL
    Ndlr : En ce qui concerne Uwe Beyer, il fut effectivement un des plus grands lanceurs de marteau des années 60 qui reconnu un peu tard, avoir abusé des anabolisants et qui en subit d'ailleurs les fatales conséquences : infarctus à quarante-neuf ans, lors d'une partie de tennis en Turquie.
    AXEL
    Même si on ne peut la comparer à la version de Lang, cette superproduction teutonne est très divertissante et passionnante, se plaçant il est vrai plus du côté de l'héroïc fantasy que de la légende germanique. Uwe Beyer (ancien athlète) et Maria Marlow ne sont pas très charismatiques, mais ils sont bien épaulés notamment par la très belle Karin Dor.
  • BERLIN SYMPHONIE D'UNE GRANDE VILLE (1926)
    Note : 19/20
    De l'aube jusqu'à la nuit, le permanent fourmillement d'une grande ville, en l'occurrence la capitale allemande, filmé d'une façon magistrale et poétique, dans une œuvre époustouflante qui reste un monument incontournable du 7e art.
  • CREPUSCULE (2000)
    Note : 8/20
    Même si la gamine a une agréable frimousse et que les paysages vosgiens sont fort bien filmés, l'ensemble est d'une profonde niaiserie entre inévitables cliches à connotation pseudo-psychologiques et lourdeurs démonstratives.
  • LA FABRIQUE DES SENTIMENTS (2007)
    Note : 11/20
    Superficiellement, une œuvre irritante et lassante, appréciation essentiellement générée par la médiocrité existentielle des personnages, entre narcissisme dérisoire et profonde incapacité à une spontanée et naturelle simplicité. Rien de plus exaspérant et de plus stupide qu'un animal en cage qui ne voit pas que la porte de sa prison est grande ouverte. Avec un peu plus de distance et de neutralité, au-delà des petits numéros d'acteurs bien gentils et bien rodés, en oubliant l'(in)évitable et facile référence médicale aux douleurs et maladies somatiques, se pose la question cruciale de l'existence d'un cinéma français qui n'a rien d'autre à montrer qu'un nombrilisme paniqué, mâtiné d'une curieuse impuissance à s'abandonner. A force de vouloir filmer la superficialité "des échanges en milieu tempéré", acoquiné avec l'incontournable malaise intrinsèque à toute existence, ne risque-t-on pas de produire un film futile ? Tout le monde ne pointe pas du coté de chez Bergman ou Antonioni. Quant à l'épilogue du film, on hésite entre aberrante vacuité scénaristique (pirouette et cacahuètes) et brillante élucubration d'un inspiré "bobo" parisien.
  • LES YEUX BROUILLÉS (1999)
    Note : 15/20
    Entre autobiographie et fiction, un film étonnant et bourré d'ironie qui confirme le talent de son auteur.
  • FOR THE CAUSE (2000)
    Note : 6/20
    Film qui manque cruellement de moyens et se languit dans une histoire linéaire, sans surprise ni âme, comme la plupart des films du genre.
  • BLACK VENGEANCE (1990)
    Note : 8/20
    Malgré la présence du désormais célèbre Chow-Yun Fat, on est bien loin des grandes réussites de John Woo. Il s'agit là d'un simple film de série que rien ne distingue du tout-venant de Hong Kong.
  • PAS VU PAS PRIS (1997)
    Note : 15/20
    Une œuvre réjouissante, d'une solide et culottée pertinence.
  • PERSONNE AVANT TOI (1998)
    Note : 8/20
    Un film bien peu original et assez vain qui laisse une forte impression de déjà vu.
  • GIERIG (1998)
    Evolutions vaines et morbides de quelques personnages dans un prétentieux milieu d'artistes branchés et zonards. Une esthétique clinquante, des dialogues hautement insipides. L'intérêt du film est faible, voire nul : on en sort plus pauvre qu'on y était entré, sans la moindre envie de se coltiner davantage d'Allemagne et de cinéma prétentieux.
  • REQUIEM POUR UNE FEMME ROMANTIQUE (1999)
    Du filmage classique, conforme à une histoire bourgeoise et littéraire se déroulant dans l'Allemagne du 19e siècle. Tout comme personne ne s'intéressera à Benjamin Constant et à Germaine de Staël (cf. l'insuccès et l'inintérêt de la "doillonnerie" "Du fond du cœur" il y a quelques années) le destin de Brentano et consorts semble irrémédiablement voué à l'indifférence générale.
  • LES PIERRES QUI TOMBENT DU CIEL (1998)
    Note : 9/20
    Le film aborde de façon superficielle des sujets graves. Les intentions de la réalisatrice demeurent obscures et le talent de Sylvie Testud ne suffit pas à sauver le film.
  • OTOMO (1999)
    Isaach de Bankole est peut-être un peu monolithique, le film un peu trop daté "Fassbinder et années 70", mais son austérité, sa sècheresse de constat social et sa pudeur entrainent vite l'adhésion. Sans fioritures, un film qui attire l'attention sur un drame humain à l'échelle européenne.
  • KILLER.BERLIN.DOC (1999)
    Le sujet pourrait être intéressant (de même que le portrait d'un Berlin yuppie et branché en découlant) mais l'esthétique vidéo très hachée, rend le film difficilement supportable sur la durée.
  • LA VALLÉE CLOSE (1995)
    Note : 16/20
    Rendant hommage à Lucrèce, cette évocation fort personnelle place son réalisateur dans le rang des francs-tireurs, témoigne d'une indépendance de vue et d'esprit rare.
    Un film hors catégorie d'une grande beauté qui nécessite une distribution en salles.
  • PASSAGE SECRET (1998)
    Note : 14/20
    Un récit initiatique subtil filme avec pudeur et intelligence par un jeune réalisateur issu de la Femis. A voir.
  • IS DEAD (1999)
    Note : 15/20
    Arnaud des Pallières parvient de façon éclatante à trouver un équivalent pictural au langage et au phrasé de l'écrivain américaine, notamment à travers un montage extrêmement vif et poétique. L'humour n'est jamais absent de cette œuvre à part entière qui dépasse de loin le statut de simple film de commande.
  • MUTINERIE (1998)
    Note : 11/20
    Un film sympathique qui à défaut d'être novateur parvient à créer une véritable ambiance qui n'est pas sans rappeler Jarmusch ou Kaurismaki.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
BERLIN SYMPHONIE D'UNE GRANDE VILLE (1926) 19
NAISSANCE D'UNE NATION (1914) 18
LES BOURREAUX MEURENT AUSSI (1942) 17
L'ENNEMI PUBLIC (1931) 17
LA VALLÉE CLOSE (1995) 16
L'ADIEU AU DRAPEAU (1932) 16
LE DESERT ROUGE (1964) 16
L'IDIOT (1951) 16
ANTOINE ET ANTOINETTE (1946) 16
GERTRUD (1964) 16
PRENDS L'OSEILLE ET TIRE-TOI (1969) 16
DOUX OISEAU DE JEUNESSE (1962) 16
LE TESTAMENT DU DOCTEUR MABUSE (1932) 16
PAS VU PAS PRIS (1997) 15
IS DEAD (1999) 15
LES YEUX BROUILLÉS (1999) 15
DIVORCE A L'ITALIENNE (1961) 15
NOUS AVONS GAGNÉ CE SOIR (1948) 15
JE VEUX SEULEMENT QUE VOUS M'AIMIEZ (1975) 15
LE PLUS SAUVAGE D'ENTRE TOUS (1962) 15
LA VOIE LACTÉE (1968) 15
BUNNY LAKE A DISPARU (1965) 15
LA MACHINE À EXPLORER LE TEMPS (1960) 15
PASSAGE SECRET (1998) 14
LA SOLITUDE DES NOMBRES PREMIERS (2010) 14
LA GRANDE COURSE AUTOUR DU MONDE (1965) 14
UNE FEMME EST UNE FEMME (1960) 14
FEMMES (1939) 13
L'ÂGE DE GLACE (2001) 13
LOS MUERTOS (2004) 13
L'IMPASSE AUX VIOLENCES (1959) 13
DROLE DE FRIMOUSSE (1956) 13
LA GRANDE FROUSSE (1964) 13
L'ARGENT DE LA VIEILLE (1972) 12
LA COMTESSE DE HONG KONG (1966) 12
MUTINERIE (1998) 11
LA FABRIQUE DES SENTIMENTS (2007) 11
LES PIERRES QUI TOMBENT DU CIEL (1998) 9
LES CAVALIERS (1970) 9
BLACK VENGEANCE (1990) 8
PERSONNE AVANT TOI (1998) 8
CREPUSCULE (2000) 8
L'ENFANT DE L'HIVER (1989) 8
FOR THE CAUSE (2000) 6