Aucun résultat pour cette recherche
FEMMES-1939-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The women
Durée : 2h12
Date de sortie en France : 07/11/1945
Réalisation : George CUKOR
Inspiration : D'après la pièce de théâtre éponyme de Clare BOOTHE
Source d'inspiration : Le remake de ce film : LE SEXE OPPOSÉ (1956)
Prise de vues : Joseph RUTTENBERG et Oliver T. MARSH
Musique : Edward WARD et David SNELL
Direction Artistique : Cedric GIBBONS
Nota
Aucun rôle masculin
Distributeur : MGM
Résumé
Mary, épouse modèle, apprend que Stephen, son mari, a une liaison avec Chrystal Allen. Elle décide de divorcer. Partie à Reno le temps de la procédure, elle rencontre plusieurs femmes venues pour le même motif. Quand la séparation est prononcée, elle apprend que Stephen a épousé Chrystal, mais elle est prête à tout pour le récupérer.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 13/20
Ajouter Votre
Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
Note : 15/20
Dommage qu'il y ait cette ambiance de basse-cour. Très caquetant non stop, pourtant émaillé de bons mots, avec plusieurs situations hilarantes (quand ces dames se mettent une monumentale raclée). Nul mâle à l'horizon, qu'on se le dise, pas même l'ombre d'un figurant ! Ces dames sont à bout, soit lessivées, soit furieuses, la plus touchée irrécupérable pour cause d'âge et embonpoint. Outre des subtiles joutes verbales féminines entre nouvelle et ancienne, le "cas" le plus approfondi, et le rôle le mieux tenu entre tous, reste l'épouse cocufiée avec la mission de l'expliquer à sa fille ballotée entre père et mère, (la peine enfantine à l'annonce du divorce est très convaincante, elle jure merveilleusement avec la répartie de la fillette face à sa marâtre dans la baignoire)... C'est la cellule familiale de 1939 (avant-guerre), l'éloge de la sainte-famille soudée par traditions et engagement religieux, "à régulière patiente, merle blanc de retour". Depuis ce temps-là, l'image de fin, cette angélique épouse en marche bras grand ouverts vers la caméra, peut encore rassurer les plus conservateurs. Elle peut aussi faire hausser les épaules ou déclencher le rire.
Bibliographie