Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 43 films notés

Page 327 sur 332 (16566 critiques au total)

  • ATTILA FLÉAU DE DIEU (1954)
    Reconstitution historique qui nous permet de revoir Anthony Quinn.
  • ECRIT SUR DU VENT (1956)
    Note : 18/20
    Mélodrame flamboyant, qui reste une date dans l'histoire du cinéma.
  • BLACK JOURNAL (1977)
    Note : 6/20
    Bavard et insipide, une oeuvre sans aucun intérêt.
  • LE FLEUVE (1951)
    Note : 17/20
    A l'image de la traditionnelle fête de la lumière (diwali) qui s'inscrit dans une magnifique séquence du film, cette oeuvre de Jean Renoir, sereine et majestueuse, resplendit d'aisance et de naturel, loin d'un pesant et malvenu folklore touristique. Une réalisation qui à travers la luxuriance des décors et la profonde aménité des personnages, se présente comme une véritable leçon de vie et d'harmonie.
  • LE VOLEUR DE CRIMES (1968)
    Note : 15/20
    Proche de l'atmosphère des premiers films d'Alain Jessua.
  • FORFAITURE (1937)
    Ce n'est ni l'oeuvre essentielle de L'Herbier ni la meilleure version.
  • TRIPLE CROSS (1966)
    Note : 12/20
    Du cinéma commercial bien confectionné qui permet de passer un agréable moment avec l'éclatante Romy Schneider dans une oeuvre qui a pourtant mal vieilli.
  • LES TROIS CAVALIERS NOIRS (1963)
    Dans les limites du genre, sympa !
  • CORRESPONDANT 17 (1940)
    Note : 17/20
    Second film américain d'Alfred Hitchcock qui dénonçait efficacement la montée insidieuse du nazisme et ses sourdes ramifications en Europe.
  • LE GENTLEMAN D'EPSOM (1962)
    Tout le monde n'est pas Mario Monicelli, et ces "pigeons" hippiques nous laissent fortement indifférents, malgré la présence de Jean Gabin, de plus en plus souvent confiné dans des rôles de pacha grisonnant aux lourdes vérités hautement pompeuses et sentencieuses. On peut parier sur une soirée gâchée. Il est vrai aussi que Gilles Grangier n'est plus désormais que l'ombre de lui-même.
  • LA BANDE À BONNOT (1968)
    Note : 13/20
    Pour le plaisir de retrouver Jacques Brel et un certain nihilisme purgatif.
  • LE GANG DES OTAGES (1972)
    Note : 7/20
    Certainement une des oeuvres d'Edouard Molinaro, des moins intéressantes et des plus banalement commerciales, de plus en plus régulièrement.
  • LES QUATRE CAVALIERS DE L'APOCALYPSE (1961)
    Note : 17/20
    Pompeux et superbe à la fois, un mélodrame puissant et flamboyant qui séduit immanquablement son spectateur ravi.
  • GUET-APENS (1972)
    Note : 15/20
    Film bien réalisé, d'une honnête texture alliant avec professionnalisme suspense, violence et humour, qui rentre parfaitement dans la thématique des films du cinéaste, un réalisateur incontournable et d'une parfaire cohérence cinématographique.
  • LES AMANTS (1958)
    Note : 14/20
    Le film choqua beaucoup à sa sortie, pour une scène prétendue audacieuse. Aujourd'hui, on le programme même dans les paroisses. Et les âmes dites "sensibles" ont trouvé d'autres films à dénigrer qu'on regardera à nouveau dans vingt ans, dans les congrégations religieuses, si elles existent encore.
  • LE GRAND BLOND AVEC UNE CHAUSSURE NOIRE (1972)
    Note : 13/20
    Divertissement sympathique qui cherche à faire rire intelligemment le spectateur parvenant souvent à atteindre son enviable but. Entre le meilleur et le pire, sans trop faire la fine bouche, cela se regarde pour la drôle de prestation de Pierre Richard, totalement dépassé par les événements qui l'assaillent.
  • LE PROCES PARADINE (1947)
    Note : 15/20
    Du travail bien fait pour un scénario somme toute très lent et une intrigue relativement banale. Le grand maître a fait bien mieux dans le genre.
  • LA GRANDE BOUFFE (1973)
    Note : 16/20
    C'est féroce, énorme, dérangeant et cruellement bienvenu !
  • MONSIEUR VERDOUX (1947)
    Note : 18/20
    Chef-d'oeuvre incontestable d'une tranquille noirceur.
  • L'HOMME AUX COLTS D'OR (1959)
    Note : 16/20
    Un bienvenu classique du western !
  • LA BATAILLE D'EL ALAMEIN (1968)
    Malgré une certaine schématisation dans le traitement du sujet, l'ensemble reste néanmoins intéressant, concocté par un bienvenu tâcheron transalpin.
  • L'HOMME DU JOUR (1936)
    Note : 15/20
    Julien Duvivier reste toujours égal à lui-même, c'est-à-dire, excellent.
  • L'HONORABLE CATHERINE (1942)
    Note : 17/20
    Succulente petite comédie, en tous points, fort drôle.
  • HORIZONS PERDUS (1937)
    Note : 16/20
    Efficace et incontournable Capra !
  • DEADLY GAME (1980)
    Note : 8/20
    Aucun intérêt à ce film péniblement ennuyeux et d'une platitude déplorable. Du cinéma statique, d'une colossale lourdeur, mortel et fatal comme son titre navrant. Qu'est devenu le Makk d'antan qui nous avait bouleversé jusqu'aux tripes avec son émouvant film : "Amour" ("Szerelem") début des années 1970 ?
  • JE SUIS UN CRIMINEL (1938)
    Note : 15/20
    Excellent rôle de John Garfield, un acteur à la présence certaine.
  • TAXI DRIVER (1975)
    Note : 17/20
    Une oeuvre noire et pessimiste dans un New York apocalyptique, avec un De Niro époustouflant de réalisme et de folie, qui pourrait être le meilleur film du cinéaste.
  • LA KERMESSE DE L'OUEST (1969)
    Pour sourire et passer un bon moment de détente.
  • LA FEMME DE MON POTE (1983)
    Note : 8/20
    Voulant absolument renouer avec le succès phénoménale des "Valseuses", film réalisé quelques années auparavant, en abordant à nouveau le thème du trio libéré, Bertrand Blier se fourvoie totalement dans une oeuvre fort insignifiante et souvent médiocre. D'autres, du même acabit suivront.
  • LEMORA (1973)
    Note : 8/20
    Considéré comme un film culte par certains, cette seule réalisation du metteur en scène nous a laissés parfaitement et stoïquement indifférents.
  • CHUKA LE REDOUTABLE (1967)
    Note : 18/20
    Une oeuvre sous-estimée, violente, d'un puissant romantisme nostalgique.
  • LIBRE COMME LE VENT (1958)
    Note : 15/20
    Une remarquable voire stupéfiante interprétation de John Cassavetes !
  • LES INNOCENTS (1961)
    Note : 19/20
    Incontestablement, un éclatant et précieux joyau du cinéma fantastique, une perle rare, une réussite parfaite dans le genre, traversé par l'impressionnante interprétation des principaux acteurs (adultes et enfants compris), rehaussé par le sublime noir et blanc du chef-opérateur Freddie Francis (futur réalisateur de quelques classiques de la maison de production anglaise Hammer Films) et cautionné par l'excellente nouvelle d'Henry James adaptée plus d'une vingtaine de fois au cinéma ou à la télévision.
  • MAIGRET VOIT ROUGE (1963)
    Rien de très surprenant !
  • LES NERFS À VIF (1962)
    Note : 16/20
    Un excellent film noir qui n'a rien a envier à la version de Scorsese !
  • MIQUETTE ET SA MÈRE (1949)
    Note : 15/20
    Unique incursion du metteur en scène dans l'univers vaudevillesque, pour une réalisation bienvenue et pleine d'entrain, dont nous retiendrons une excellente interprétation générale de l'ensemble des acteurs, mais plus particulièrement celle de Saturnin Fabre dans le rôle du libidineux marquis et celle de Bourvil, dans le personnage du neveu, perclus de timidité et de maladresse. A noter un procédé fort inhabituel et non dénué d'un certain charme, de temps à autre, un comédien regarde vers la caméra et s'adresse au spectateur, le prenant à témoin d'une situation.
  • LE TÉLÉPHONE ROSE (1975)
    Note : 11/20
    Un rôle plein de saveur et de spontanéité pour Pierre Mondy au meilleur de sa forme, qui tire tout de même lourdement sur la corde du sentimentalisme pépère et cucul. Le bon patron et la pute repentie, version rose de la lutte des claques. Molinaro piétine obstinément dans une certaine facilité peu louable.
  • MOBY DICK (1956)
    Note : 18/20
    Puissant chef-d'oeuvre qui traduit à merveille l'atmosphère des romans de Melville.
  • ELLE N'A DANSÉ QU'UN SEUL ÉTÉ (1951)
    Note : 17/20
    Mélange subtil de sensualité païenne propos à bien des films scandinaves de cette époque, de la fraîcheur spontanée du cinéma tchèque, du climat torride et lourd des films argentins de Torre-Nilsson et des romans de Caldwell voire Tennessee Williams ainsi qu'une proximité écrasante des éléments naturels. Le film fit faussement scandale à l'époque dès sa sortie en salles pour une célèbre baignade d'un couple nu. Incontournable. Une date particulière dans l'histoire de la censure cinématographique.
  • LES MONTAGNARDS SONT LÀ (1937)
    Note : 17/20
    Comme souvent avec nos deux compères, un chef-d'oeuvre du burlesque !
  • LE MOTEL ROUGE (1979)
    Note : 16/20
    Un film formidable et stupéfiant qui envoûte et passionne.
  • COEURS BRULES (1930)
    Note : 16/20
    Le couple Dietrich/Cooper reste inoubliable dans une superbe oeuvre dramatique.
  • SEPT ANS DE REFLEXION (1955)
    Note : 15/20
    Une oeuvre succulente qui renferme la fameuse scène légendaire de Marilyn Monroe, jupons soulevés par un appel d'air venu d'une coquine bouche de métro.
  • NAÏS (1945)
    Note : 16/20
    Une excellente prestation de Fernandel pour une oeuvre de bonne facture.
  • MANON DES SOURCES (1952)
    Note : 16/20
    Rarement diffusé, ce film mérite la plus grande attention. Dernière grande réussite de Pagnol (elle sera suivi de deux oeuvres mineures) l'on y retrouve ses thèmes familiers et son univers de prédilection. Inutile de préciser qu'aux cotés de l'original, les nouvelles versions de Claude Berri font pâle figure.
  • YAKUZA (1974)
    Note : 16/20
    A priori, un scénario des plus classiques et proche d'une banalité courante. En fait, une oeuvre remarquable en tous points : de par la rigueur de sa réalisation qui reprend et dépasse les codes du genre, réactualisés dans le Japon moderne; de par le foisonnement et le rythme soutenu des diverses séquences et une excellente prestation de Robert Mitchum, éblouissant de bout en bout.
  • LE JOUR SE LÈVE (1939)
    Note : 17/20
    Un indécrottable classique du cinéma français qui, tout en prenant de l'âge, ne vieillit absolument pas. Bien sûr, c'est un tantinet mélodramatique, un brin rétro, mais qu'Arletty est belle et Jules Berry talentueux d'hypocrisie et de salacité retenue. Gabin-destin, quant à lui, joue parfaitement son rôle d'amoureux échoué. A voir et à revoir, sans l'ombre d'une quelconque hésitation, avant la tombée définitive du jour.
  • PAIN AMOUR ET JALOUSIE (1954)
    Note : 9/20
    Film pour patronage qui moralise et fait retrouver le droit chemin de la légalité rigide et contrite à ses héros en carton-pâte et "curé-mousse".
  • SYMPHONIE DU PRINTEMPS (1983)
    Note : 12/20
    On en garde un lointain souvenir apaisant !
  • LE PRISONNIER DE ZENDA (1952)
    Note : 14/20
    Bon film d'aventures où se marient avec sympathie, l'action, l'amour et le suspense sans que l'on s'ennuie un moment. Il faut dire que Richard Thorpe connaît son métier.