Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 50 films notés

Page 25 sur 332 (16566 critiques au total)

  • LE RÉPROUVÉ (1929)
    Note : 16/20
    Même si la troisième partie du film, focalisant sur la découverte de pétrole par notre héros et sur sa fougueuse incursion dans la tribu des Pueblos pour retrouver sa bien-aimée en passe de subir un mariage forcé, ne recèle pas autant d'émotion et de passion que le reste de l'histoire, on ne peut qu'être subjugué par l'exceptionnelle qualité de l'image qu'une méticuleuse restauration du "National Film Preservation Foundation" nous transmet avec un évident bonheur et une parfaite maîtrise technique.
  • MA' ROSA (2016)
    Note : 15/20
    Avec une pertinente efficience et une redoutable obstination, le metteur en scène Brillante Mendoza continue, de film en film, sa peinture sans faille ni fioriture du milieu des bidonvilles et des laissés-pour-compte de Manille, en insistant avec méthode et démonstration sur l'incroyable corruption de bien des instances judiciaires du pays.
  • BABY BUMP (2015)
    Note : 9/20
    Tout juste assez insistant pour mériter un simple court métrage. Et voilà que l'on nous assène 1 heures 30 d'ineptie à connotation lourdement psychopathologique.
  • ATTACK THE BLOCK (2011)
    Note : 12/20
    Malgré un sujet parfaitement ridicule et un scénario confondant de bêtise et d'inutilité, on retiendra au crédit du film une constante et bienvenue nervosité dans l'action et les prises de vue, une réelle absence d'ennui et de lassitude en dépit d'un huis-clos quelquefois lassant et une fort originale représentation des rondouillards et broussailleux extraterrestres avec leurs imposants crocs lumineux et phosphorescents.
  • PREMIER CONTACT (2016)
    Note : 15/20
    Quelques moments de grâce et de bravoure, lestés par une lourde évocation surnuméraire de la perte d'un enfant, des trucages exemplaires d'efficacité et de simplicité et de rares séquences discutables en ce qui concerne le bien-fondé et la véracité de certains épisodes à connotation polémologique, font de cette œuvre quelque peu standardisée, malgré tout un bienvenu moment de cinéma de distraction.
  • LA BATAILLE DE KERJENETZ (1970)
    Note : 15/20
    Souvent étonnant et fascinant !
  • HARD DAY (2014)
    Note : 16/20
    Etonnant et subjuguant polar sud-coréen qui, outre un scénario d'une constante originalité, distille avec efficacité et sobriété moult ingrédients positifs et originaux, mêlant suspense, humour, action, rebondissement, avec un savoir-faire remarquable.
  • HEREMIAS (BOOK ONE : THE LEGEND OF THE LIZARD PRINCESS) (2006)
    Note : 17/20
    Avec d'insidieuses et souveraines références bibliques, particulièrement à l'endroit du prophète Jérémie, le fascinant metteur en scène philippin Lav Diaz déroule et stigmatise, en longues plages souvent hypnotiques, les notions de responsabilité et de culpabilité individuelles face à l'incurie et la corruption généralisées des institutions et de leurs représentants, confortées par l'obsédant silence divin.
  • VINGT-CINQ OCTOBRE PREMIER JOUR (1968)
    Note : 14/20
    Animation et révolution soviétiques !
  • SNOW THERAPY (2013)
    Note : 16/20
    Avec en arrière fond sonore la régulière déflagration des dynamitages préventifs provoquant des avalanches artificielles et à travers de pertinents plans séquences qui accentuent les tensions et les tourments des personnages, se débattant dans une configuration quelque peu isolationniste (un environnement météorologique et architectural tendant au confinement) le metteur en scène échafaude une épistémologie d'une forme de pusillanimité instinctive, antihéroïque, qui finalement ne serait pas, selon la fin du film, en raide déclivité, un apanage et un dérapage purement masculins.
  • WAITER ! (2006)
    Note : 14/20
    Un univers déjanté, surréaliste et disjoncté qui s'impose, de film en film, comme la marque de fabrique du metteur en scène, expert dans l'élaboration de scénarii extravagants, traversés par des personnages excentriques, qui peinent généralement à se conclure dans de fort médiocres dénouements souvent à l'emporte-pièce, comme par exemple un camion qui écrase le héros et en même temps la fin de l'histoire.
  • UNDER THE SILVER LAKE (2018)
    Note : 9/20
    Un intéressant et déconcertant foisonnement d'idées, de divagations et d'excentricités qui cherche à conforter une œuvre bancale, polymorphe et vaguement tentaculaire que ce soit dans l'élaboration d'un scénario extravagant d'une pesante densité ou bien l'utilisation de techniques cinématographiques diverses et variées. Avec en finalité et comme résultat, un indigeste conglomérat d'insupportables prétentions, de gratuites stupidités teintées d'un constant nombrilisme pubère.
  • IT FOLLOWS (2014)
    Note : 17/20
    Une petite pépite dans l'univers du cinéma fantastique qui tout en véhiculant quelques schèmes traditionnels du genre, (zombies, invisibilité, teenagers victimes, virus inconnu) remise bien vite ces archétypes lourdement codifiés, pour s'ouvrir et s'élargir à son propre algèbre avec en filigrane des mondes et des temps qui s'effondrent, celui des quartiers banlieusards de Détroit aujourd'hui en ruines, celui de l'adolescence en finitude, alors que les adultes sont maladivement absents, celui des nouvelles contagions qui s'annoncent et se révèleront inévitablement.
  • BACCALAURÉAT (2016)
    Note : 16/20
    Eludant avec raison les possibles questionnements sur l'agression elle-même et les voies de faits annexes, (bris de vitre, balais d'essuie-glace tordus), le réalisateur met en scène et en images, avec un certain brio évident, l'égoïste proverbe "la fin justifie les moyens", une démonstration immorale et certainement fort fréquente, qu'il serait bien sûr prétentieux et fallacieux de cantonner à la seule Roumanie.
  • LE POIRIER SAUVAGE (2018)
    Note : 16/20
    A travers une trame minimaliste prenant comme aimantation scénaristique la création littéraire et ses nombreuses pierres d'achoppement, le réalisateur agrémente sa narration des moult difficultés éditoriales de son personnage principal par une infinie ponctuations de sentiments et d'émotions dans des domaines aussi variés que la religion, la paternité, la compassion, la ruralité, avec conviction et complicité.
  • THE GAMBLER (2013)
    Note : 14/20
    Malgré une intrigue d'une impertinente originalité, on peut reprocher au réalisateur un traitement cinématographique émietté, ponctuant son scénario de quelques événements annexes superfétatoires voire inutiles qui alourdissent et dispersent l'intérêt principal, laissant à chaque fois le spectateur dans une impasse narrative.
  • PERSONAL SHOPPER (2015)
    Note : 8/20
    Un indigeste et filandreux conglomérat d'inepties saturées, mélangeant sans aucune intelligence ni finesse des éléments classiques du fantastique (d'ailleurs fort bien filmés) avec une trame basique d'un banal règlement de compte amoureux. D'une lourdeur pachydermique en ce qui concerne un déferlement incongru et stupide de SMS et une accumulation d'habillages et de déshabillages de l'actrice principale, font de ce quinzième long métrage de fiction du réalisateur, un maladif pensum prétentieux.
  • BEZUCELNA PROCHAZKA (1930)
    Note : 16/20
    Une œuvre séduisante au montage irréprochable !
  • AMERICAN SNIPER (2014)
    Note : 15/20
    D'après un best-seller autobiographique, une œuvre intéressante et complexe quant à la dualité de sa narration qui met en scène une massive et pesante imagerie de l'héroïsme et du patriotisme, en partie neutralisée par l'esquisse d'un personnage finalement délabré physiquement et psychologiquement, qui revenu à la vie civile durant les permissions, n'arrive pas à se détacher des aimantations guerrières et du stressant vacarme des déflagrations, une forme de sourde et récurrente toxicomanie aux armes et aux combats. De plus le film fourmille d'invraisemblances logistiques et techniques, comme téléphoner benoîtement à sa bien-aimée en pleine opération militaire, ainsi que de lourds et grossiers relents de xénophobie, avec un ennemi systématiquement décrit comme sournois, barbare et tortionnaire.
  • THE GUEST (2014)
    Note : 12/20
    Sur la traditionnelle thématique de la "home invasion", une œuvre plutôt plaisante, fortement ripolinée, avec le charismatique Dan Stevens en "guest star", que l'on peu accepter comme telle, pourvu que l'on parvienne à faire fi des évidentes lourdeurs et autres flagrantes invraisemblances inhérentes à ce jour de production.
  • THE PRIVATE LIFE OF A CAT (1947)
    Note : 13/20
    De la naissance aux premiers pas, le quotidien de cinq chatons et de leurs parents !
  • BAAL (1970)
    Note : 9/20
    Qui a eu la chance de lire ou de voir la sublime (première) pièce écrite par Bertolt Brecht ne peut que ressortir amèrement déçu de la projection de cette œuvre cacophonique, brouillonne et atone qui dénature profondément la subtile violence et la troublante sensualité présentes en permanence dans le continuum du texte original. Ainsi, certains personnages littéraires resteront à jamais ancrés dans notre fictive représentation personnelle qui fait que Marcello Mastroanni ne sera jamais le Meursault d'Albert Camus ni Rainer-Werner Fassbinder, le Baal de Bertolt Brecht.
  • FAIS DE BEAUX RÊVES (2016)
    Note : 16/20
    C'est avec une surprenante fraîcheur d'esprit et de créativité, à la croisée de ses soixante-dix-sept printemps et de son vingt-cinquième longs métrage de fiction, que le réalisateur transalpin Marco Bellocchio nous offre cette œuvre de maturité et de solidité qui, malgré la tourmentée et perturbante thématique abordée, dégage un apaisement et une sérénité assumées, en diapason et filigrane d'une œuvre précieuse et unique.
  • VALLFARTEN TILL KEVLAAR (1921)
    Note : 16/20
    Avec comme support scénaristique, un célèbre poème de l'écrivain allemand Heinrich Heine, une œuvre souvent étonnante par l'hétérogénéité de sa composition narrative qui brasse et entremêle avec efficacité un lointain christianisme primitif avec un profond paganisme ancestral. Une copie récemment restaurée par les archives cinématographiques suédoises, fut ainsi proposée à la bénédiction des nombreux spectateurs des 34e Internationale Stummfilmtage de Bonn (2018).
  • UNE MERVEILLEUSE HISTOIRE DU TEMPS (2014)
    Note : 13/20
    Au-delà de la réelle performance artistique d'Eddie Reymane pour son interprétation hors pair du fameux astrophysicien britannique et une première partie plutôt entrainante et d'un intérêt réel, la suite s'enlise ensuite dans une stagnation évidente, avec un essoufflement scénaristique, quelques dérives sentimentales inutiles et vers un lent mais inexorable étiolement de notre attention.
  • NOCTURNAL ANIMALS (2015)
    Note : 16/20
    Etonnant entrelacs d'une histoire virtuelle, alimentée par une fiction livresque, avec la formelle réalité quotidienne d'une femme en doute et en questionnement, un récit d'ailleurs lui-même concocté par un scénariste, qui se lance dans une double narration en abyme, avec un solide brio, flirtant avec une forme d'insistante préciosité, gênante pour certains, pétillante pour d'autres, qui mérite pourtant une candide immersion.
  • MOUNTAIN VIGIL (1964)
    Note : 14/20
    Un réalisateur toujours intéressant !
  • BIRDMAN : OU (LA SURPRENANTE VERTU DE L'IGNORANCE) (2014)
    Note : 11/20
    Il serait malvenu de mettre en cause la composition, -certains parleront de performance-, de Michael Keaton parfaitement habité par son personnage bipolaire et perturbé. En regardant au plus près de l'hystérie générale qui se dégage de l'ensemble de la prestation des acteurs et du filmage du metteur en scène, on perçoit de plus en plus nettement un profond narcissisme des protagonistes qui surjouent et s'agitent dans une insupportable cacophonie de basse-cour que notre coq mexicain s'est évertué à tourner en un faux plan séquence qui le fait dresser fièrement sur ses ergots à chaque fois qu'on l'évoque. Honnêtement, c'est souvent laborieux et barbant, d'une platitude décousue et creuse avec en prime une détestable interprétation d'Emma Stone qui semble réciter son texte comme une zombie anémique et catatonique.
  • MELANCHOLIA (2008)
    Note : 16/20
    Avec un constant et discret arrière-plan historique et dramatique, la douloureuse et agitée période de la dictature militaire aux Philippines, le réalisateur met doublement en scène et en relief des personnages à la fois sublimes et dérisoires, comédiens interprétant des protagonistes déchirés, eux-mêmes en représentation dans des rôles assignés par un prétendu démiurge en doute permanent. Magnifique et perturbant.
  • FIN (1992)
    Note : 7/20
    Abscons et inutile !
  • NUITS BLANCHES SUR LA JETÉE (2014)
    Note : 15/20
    Cette quatrième adaptation d'une nouvelle de Fédor Dostoïevski, après celle de Luchino Visconti, celle d'Ivan Pyriev et celle de Robert Bresson confrontée à la logorrhée introspective et romanesque de Paul Vecchiali, présente bien des séductions et des assentiments, dans la continuité d'une œuvre essentielle et toujours singulière.
  • LA ROSIÈRE DE GONFALON (1950)
    Note : 8/20
    Une piteuse rareté !
  • ST KILDA : BRITAIN'S LONELIEST ISLE (1928)
    Note : 14/20
    Une rareté ethnographique !
  • HEADHUNTERS (2011)
    Note : 15/20
    Un thriller nordique d'une redoutable subtilité qui déroule avec bonheur et célérité un scénario haut de gamme dont les méandres et les chausse-trappes foisonnent pour le plus grand bonheur d'un spectateur souvent subjugué. Avec en prime et en immersion, une des scènes les plus nauséabondes visionnées sur un écran de cinéma.
  • LA STATION (2000)
    Note : 16/20
    Remarquable court métrage soviétique d'un grand réalisateur de documentaires qui filme avec obstination et méticulosité le sommeil d'anonymes quidams engoncés dans leur léthargie tels de fantomatiques gisants en place pour une aphasique perpétuité ou quelques personnages de Goya en quête d'éternité salvatrice.
  • BURNING (2018)
    Note : 17/20
    Traversée par de foisonnantes incertitudes et des interprétations vacillantes, cette narration polymorphe et disloquée se déguste comme une succulente mandarine fictive que l'on dépiaute avec élégance et grâce, devant un public forcément carbonisé.
  • BRUMES D'AUTOMNE (1929)
    Note : 14/20
    Une actrice et un réalisateur bienvenus.
  • MANCHESTER BY THE SEA (2016)
    Note : 16/20
    Une superbe et rigoureuse composition de Casey Affleck dans son rôle de monolithique personnage belliqueux et fracassé, mais surtout étonnante construction scénaristique donnant lieu à une fine et délicate imbrication du présent narratif et du passé rémanent, avec une pertinence émotionnelle vivace et prégnante.
  • PARADA (1962)
    Note : 14/20
    Conviction populaire ou contrainte populaire ?
  • LA PÈGRE (2004)
    Note : 16/20
    Avec un solide savoir-faire et une forme de dialectique brechtienne qui conditionne le comportement humain non plus prioritairement aux affects mais aux soubresauts et aux remous politiques qui engendrent inévitablement cupidité et corruption, le metteur en scène, pour sa centième réalisation, dévoile en filigrane quinze années de la vie politique de son pays avec ses pions, ses pièces et ses interchangeables marionnettes.
  • LES VOITURES D'EAU (1968)
    Note : 16/20
    Troisième et dernier volet d'une œuvre ethnographique essentielle qui suinte une émouvante authenticité moribonde dont on ne peut savourer la richesse, l'humour et la force qu'à travers l'inimitable phrasé québécois et pour le spectateur profane, par un nécessaire sous-titrage adéquat en ce qui concerne les dialogues autochtones.
  • THE RUSALKA (2018)
    Note : 8/20
    Sur une thématique fantastique assez courante dans les pays slaves, le metteur en scène Perry Blackshear nous livre son second long métrage, guère plus intéressant que sa précédente tentative de création cinématographique, qui véhicule des flots de torpeur et de langueur constamment dilués dans une fréquente musicalité grégorienne qui nous submerge dans son aqueuse fadeur jusqu'à son ridicule dénouement. Une discutable programmation du 11e Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg.
  • PHOENIX (2014)
    Note : 16/20
    Encore une œuvre magnifique d'un metteur en scène époustouflant de maîtrise et de densité qui, de film en film, creuse et fouille dans l'opacité des relations affectives contaminées par la dissimulation, la perte et la disparition. Le titre du film réfère bien sûr au nom du local où travaille Johnny Lenz, mais aussi à cet oiseau mythique et légendaire qui a le pouvoir de renaître de ses cendres, comme Nelly, la rescapée.
  • PORTRAIT (2002)
    Note : 14/20
    Une étrange impression se dégage finalement de l'ensemble de la séquence, durant laquelle tous les bruits environnants, stridulations, écoulement de l'eau, aboiements, gémissements du vent, etc... sont en permanence tellement audibles que la présence humaine devient presque parasitaire, surnuméraire, abusive.
  • THUNDER ROAD (2018)
    Note : 16/20
    A l'origine, un court métrage concocté en toute discrétion, deux années auparavant par l'acteur / metteur en scène Jim Cummings d'une durée d'un peu plus d'une dizaine de minutes. A l'arrivée, une époustouflante réalisation ponctuée de deux séquences anthologiques (l'une introductive, à la morgue et l'autre à l'école, avec le professeur principal de Crystal), qui oscille et vacille sans cesse entre un faramineux humour débridé et une insidieuse et diffuse tristesse navrante et maladive.
  • THE VOICES (2014)
    Note : 13/20
    Grosse farce macabre et libidineuse qui manie avec une discutable réussite le mélange des genres, allant du gore dégoulinant au picotin sentimental en passant par des relents de comédie musicale christique, pour un résultat honorable sans plus qui ressemble bien plus à un pot-pourri pseudo-horrifique qu'à une œuvre maîtrisée.
  • SUPER (2010)
    Note : 9/20
    Sans être vraiment excellentes ni inoubliables, les vingt premières minutes de cette comédie américaine, tricotent une originalité sympathique et quelques (presque) hilarantes trouvailles scénaristiques plutôt bienvenues. C'est ensuite que tout se gâte progressivement, devenant même parfois besogneux, voire ridicule, avec un Rainn Wilson insipide et pesant et une Ellen Page, hystérique et laborieuse, le tout couronné par un dénouement en queue de poisson (de lapin si vous préférez).
  • HOLIDAY (2018)
    Note : 5/20
    Des personnages sans aucune consistance psychologique, animés par des motivations insaisissables et floues, dans un environnement vacancier sans intérêt (hormis pour l'équipe de tournage) dans une œuvre disloquée et bancale, nimbée d'une sournoise prétention cinématographique, proposée par le Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg (2018), lors de sa 11e édition, dans la section "Crossovers".
  • CROSSWIND - LA CROISEE DES VENTS (2014)
    Note : 13/20
    Malgré un sujet hautement émouvant et historiquement d'une puissante dramaturgie, l'obstiné parti pris de figer systématiquement les personnages dans des plans fixes, statiques, la caméra se déplaçant entre eux, certes dans un superbe noir et blanc, engendre un dispositif radical qui à la longue devient fastidieux et même quelquefois exaspérant, reléguant ainsi l'émotion induite souvent au second plan.
  • LES PETITS MÉTIERS DE LÀ-BAS (1955)
    Note : 11/20
    Rien de bien ethnographique dans cette incursion touristique dans un milieu local en lente finitude et qu'on filme comme dans un zoo en pleine activité pittoresque.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
IT FOLLOWS (2014) 17
HEREMIAS (BOOK ONE : THE LEGEND OF THE LIZARD PRINCESS) (2006) 17
BURNING (2018) 17
LE RÉPROUVÉ (1929) 16
HARD DAY (2014) 16
SNOW THERAPY (2013) 16
LA PÈGRE (2004) 16
PHOENIX (2014) 16
BACCALAURÉAT (2016) 16
FAIS DE BEAUX RÊVES (2016) 16
NOCTURNAL ANIMALS (2015) 16
MELANCHOLIA (2008) 16
LA STATION (2000) 16
MANCHESTER BY THE SEA (2016) 16
LES VOITURES D'EAU (1968) 16
LE POIRIER SAUVAGE (2018) 16
BEZUCELNA PROCHAZKA (1930) 16
VALLFARTEN TILL KEVLAAR (1921) 16
THUNDER ROAD (2018) 16
AMERICAN SNIPER (2014) 15
NUITS BLANCHES SUR LA JETÉE (2014) 15
HEADHUNTERS (2011) 15
MA' ROSA (2016) 15
PREMIER CONTACT (2016) 15
LA BATAILLE DE KERJENETZ (1970) 15
THE GAMBLER (2013) 14
BRUMES D'AUTOMNE (1929) 14
WAITER ! (2006) 14
PORTRAIT (2002) 14
VINGT-CINQ OCTOBRE PREMIER JOUR (1968) 14
MOUNTAIN VIGIL (1964) 14
ST KILDA : BRITAIN'S LONELIEST ISLE (1928) 14
PARADA (1962) 14
UNE MERVEILLEUSE HISTOIRE DU TEMPS (2014) 13
THE VOICES (2014) 13
CROSSWIND - LA CROISEE DES VENTS (2014) 13
THE PRIVATE LIFE OF A CAT (1947) 13
ATTACK THE BLOCK (2011) 12
THE GUEST (2014) 12
BIRDMAN : OU (LA SURPRENANTE VERTU DE L'IGNORANCE) (2014) 11
LES PETITS MÉTIERS DE LÀ-BAS (1955) 11
BAAL (1970) 9
SUPER (2010) 9
BABY BUMP (2015) 9
UNDER THE SILVER LAKE (2018) 9
PERSONAL SHOPPER (2015) 8
LA ROSIÈRE DE GONFALON (1950) 8
THE RUSALKA (2018) 8
FIN (1992) 7
HOLIDAY (2018) 5