Encore une œuvre magnifique d'un metteur en scène époustouflant de maîtrise et de densité qui, de film en film, creuse et fouille dans l'opacité des relations affectives contaminées par la dissimulation, la perte et la disparition. Le titre du film réfère bien sûr au nom du local où travaille Johnny Lenz, mais aussi à cet oiseau mythique et légendaire qui a le pouvoir de renaître de ses cendres, comme Nelly, la rescapée.