Cette quatrième adaptation d'une nouvelle de Fédor Dostoïevski, après celle de Luchino Visconti, celle d'Ivan Pyriev et celle de Robert Bresson confrontée à la logorrhée introspective et romanesque de Paul Vecchiali, présente bien des séductions et des assentiments, dans la continuité d'une œuvre essentielle et toujours singulière.