Troisième et dernier volet d'une œuvre ethnographique essentielle qui suinte une émouvante authenticité moribonde dont on ne peut savourer la richesse, l'humour et la force qu'à travers l'inimitable phrasé québécois et pour le spectateur profane, par un nécessaire sous-titrage adéquat en ce qui concerne les dialogues autochtones.