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Critique(s)/Commentaire(s) Publiques de
Jean-Claude

Voir ses 2 films notés
  • ROSSIGNOLS EN DECEMBRE (2011)
    le 24/10/2022
    Une occasion unique de s'immerger dans ce magnifique court métrage et de découvrir un réalisateur canadien talentueux ...
  • EXILE (2006)
    Réponse à signature non-référencée
    Très cher, je peux doublement comprendre ton enthousiasme pour cette œuvre hautement surestimée. EN EFFET :
    1) J'ai la (mal)chance de connaître un peu le contenu vidéo et dvd de tes vastes rayonnages cinématographiques qui s'allongent et s'énoncent avec un noble enthousiasme juvénile et un digne recueillement zélateur dans le bis crapouilleux et la série Z à la chaîne et au fouet .....
    2) Je connais la variété faramineuse de tes affinités dans le 7e Art qui éclosent avec Al Adamson, se diabolisent avec Jésus Franco et s'épanouissent fièrement en compagnie d'Ed Wood Junior .....
    Que vienne le temps béni où tu ne prendras plus Andreï Tarkovski pour un couturier à la mode, Ernst Lubitsch pour un coureur automobile batave et Johnnie To pour un metteur en scène génial .....
    signature non-référencée
    Jean-Claude...!!! Honte à toi, tu vieillis, qu'est ce que c'est que cette critique vive et non pas enthousiaste du film EXILE (véritable revival des néo polars de Hong Kong), si le tiers des films d'action étaient comme ça, on se ferait moins chier !!! A bon entendeur et merci de prendre ma remarque en compte!! (Philippe Lux de WILD SIDE FILMS) Philippe Lux.
  • QUI A TUÉ BAMBI ? (2003)
    Réponse à signature non-référencée
    Même si je partage entièrement votre point de vue, il s'avère aussi que je n'ai pas à me placer comme censeur ou juge en ce qui concerne les formulations des internautes .....
    signature non-référencée
    Pour avoir l'occasion de consulter souvent ce site pour des raisons professionnelles : j'achète des dvd pour la médiathèque dans laquelle je travaille en tant que vidéothècaire, je suis souvent sidéré par la violence des propos et le manque de tolérance de nombre "d'apprentis-critiques" qui déversent leur dans ces chroniques. Pourquoi par exemple aller jusqu'à dire : "On est heureux à la fin du film de quitter Sophie Quinton (que j'espère ne plus voir de si tôt)" ? Il y a dans ce genre de réflexion comme un plaisir sadique à détruire les comédiens ou les réalisateurs (voir les critiques sur "Léon" de L. Besson.). En bref, pourquoi tant de haine ? On est au cinéma que diable ! Gilles Barthélémy.
  • LA VIE DE JÉSUS (1997)
    Réponse à Margotte
    Je vous précise qu'effectivement les jeunes interprètes du film ne sont pas des acteurs, mais ont été recrutés par le biais du service "chômage" de la mairie du lieu .....
    Margotte
    Si l'une des qualités du cinéma est de nous faire rêver, le mérite essentiel de "La vie de Jésus" serait plutôt de nous rappeler de quoi le monde est fait, dans toute sa médiocrité et sa crudité. Freddy, entouré d'une bande d'amis dont la seule occupation est la ballade en mob, vit bel et bien dans le même monde que le notre. On aurait tendance à l'oublier. Horizon bouché par le chômage et l'ennui, incapacité au dialogue faute d'une éducation suffisante, télévision pour tout univers culturel, tout cela est à vomir. Alors quand le crime raciste arrive, mêlé de rancœurs passionnelles, que penser de Freddy ? Victime d'une société qui le dépasse, ou coupable ? Coupable de bestialité avec la seule personne qui semble lui prêter un peu d'amour, coupable de laisser l'instinct l'emporter sur la raison... Le film décrit admirablement cette ambiance glauque et étouffante de mois d'août dans le trou du cul de la France, où l'inaction imprime aux corps des attitudes molles, laides. La manière qu'a Freddy de faire l'amour est à l'image du personnage : brutale, sans dialogue, sans esprit. Rarement des personnages aussi navrants auront réussi à captiver mon attention à ce point. Belle chronique, enfin, du racisme ordinaire : on pressent que le genre de population décrite ici serait l'électorat favori des Le Pen et autres De Villiers. Très beau film, à voir absolument quand on veut savoir ce qui se passe à quelques kilomètres des grandes villes. A noter que l'interprétation de Freddy et de ses potes est tellement criante de vérité qu'on se demande s'il s'agit là d'acteurs ou de jeunes paumés tirés pour l'occasion d'un village ou d'une petite ville. Par contre, le rapport entre le film et le titre ne me saute pas aux yeux, même si on peut voir quelques métaphores possibles entre le comportement de Freddy et ce que fut la vie du Christ.
  • FARGO (1996)
    Réponse à Margotte
    Cher S(téphane) H(aegeli).
    Nous avons pris l'habitude, venant de votre part, de bien plus de rigueur et de pertinence, dans vos propos. Nous dirons plutôt que vous êtes de mauvaise foi, faisant un mauvais procès (intelligentsia) à qui vous pensez.
    Margotte
    Vous avouerez qu'ils ont usé de gros moyens pour pas grand chose. Mais ce n'est pas l'avis de tout le monde, à en juger la note de et les critiques dithyrambiques que l'on peut lire un peu partout. Mais bon, tout le monde ne peut pas rester insensible aux courants de mode qui traversent à coups de prix de la mise en scène l'intelligentsia cinéphile !
  • PORTRAIT DES HOMMES QUI SE BRANLENT (1995)
    le 12/10/2022
    Sur un long poème incantatoire dont il est l'heureux prosateur, Vincent Ravalec filme avec brio et folie, le ballet nocturne des voitures dans certaines allées contiguës au Bois de Boulogne où se croisent entre misère et bonheur les stakhanovistes du sexe et de la jouissance, où l'offre et la demande parviennent toujours à se conjuguer dans une confuse harmonie incroyablement codifiée...
  • GAZON MAUDIT (1994)
    Réponse à inconnu(e)
    c'est déjà son quatrième film ! (voir filmographie)
    inconnu(e)
    Film dans l'ensemble réussi, mais toutefois les dialogues sont parfois très crus. On rit, et pour un premier film en tant que réalisatrice, Josiane Balasko a témoigné d’un certain talent. jeudi 16 février 1995.
  • JOE ET MARIE (1994)
    Réponse à inconnu(e)
    Des milliers de films, chaque année, restent invisibles, pour la simple raison qu'ils ne trouvent aucune distributeur pour l'acheter !
    inconnu(e)
    Salut à tous. Etrange, étrange. Un film qui est censé exister et dont-on ne peut rien avoir. Il existe absolument rien sur ce film, alors ma question est : ce film existe-il vraiment ? Car c'est surprenant de ne rien trouver là dessus. J'ai passé des heures sur internet, y compris côté suisse, l'origine du film rien de chez rien. Etrange !!!!. D'autant qu'il existe plusieurs films en DVD qui pour parler franc sont nuls. Alors, pourquoi celui là. "Joe et Marie" est impossible à trouver. Il doit bien y avoir une raison. Non ????????
  • LA LISTE DE SCHINDLER (1993)
    Réponse à inconnu(e)
    Votre exemple n'est guère convaincant : le Polonais Wajda (bien sûr, pas si inconnu) eut les mêmes réticences pour son film "Korczak" et Jacques Lanzmann, réalisateur de « Shoah » est aussi d’origine juive !
    inconnu(e)
    Dans dix ans, on comprendra que Spielberg n'a pas fait un film sur l'holocauste, mais un autoportrait, mais un film sur l'humanisme et la cruauté humaine ..... alors, arrêtez-la de nous gonfler avec « Shoah ». Refusez qu'un juif puisse faire un film, un tableau, un livre ou une chanson sur cette période douloureuse de son peuple, ce ne sera bien sur jamais aussi grave, que ce que le film ne montre pas, mais c'est pas sympa du tout ..... et d'ailleurs certains intellectuels ont aussi rappelé qu'on a fait les mêmes reproches à Lubitsch pour "To be or not to be" et a Chaplin pour "Le dictateur" ..... Et ça, on évite dans parler dans les histoires du cinéma ...... Si un polonais inconnu avait fait exactement le même film, au micron près, il n'y aurait même pas eu de polémique ....
  • LA BELLE HISTOIRE (1991)
    Réponse à D.W. GRAPHITE
    Walid, tu as bu ?
    D.W. GRAPHITE
    La générosité échevelée de Claude Lelouch, même si elle le conduit à quelques maniérismes et maladresses, est communicative. Elle agit d'abord sur les comédiens (qui irradient l'écran), sur les spectateurs ensuite, emportés par ce film fleuve où confluent moult rivières narratives. Lelouch est visiblement touché par la grâce. On le savait déjà. Mais cette fois, résolument, le mot doit s'écrire avec un G majuscule.
  • VAN GOGH (1991)
    Réponse à inconnu(e)
    L'intolérance n'est pas de trouver nul, un film que d'autres apprécient, ou inversement. C'est plutôt de traiter de nuls ceux qui ont une opinion différente ...
    inconnu(e)
    Comment a t'on pu laisser faire un film aussi raté et vaniteux que celui-ci ? Comment des crétins ont-ils pu applaudir au chef-d'œuvre pour une œuvre aussi mal montée ? Toute une cérémonie des Césars pour ça ? Mais on va sûrement nous faire croire que c'est un film hautement intellectuel avec des scènes qui n'ont rien à voir avec le sujet; des acteurs sans aucune envergure et que le spectateur moyen ne peut rien y comprendre ..... Donc vive la stupidité!
  • LE PRINCE DES MARÉES (1991)
    Réponse à inconnu(e)
    Primo, une note ne peut jamais être objective ; disons, qu'habituellement, les nôtres correspondent à notre appréciation personnelle ..... secundo, l'un de nous n'a pas encore vu le film et donc, le jugement n'est pour le moment que parcellaire .....
    inconnu(e)
    ALORS QU'IL EST FREQUENT QUE VOS NOTES SOIENT OBJECTIVES, CELLE-CI EST VRAIMENT SCANDALEUSE ..... PAR RAPPORT AUX NOTES DONNEES A D'AUTRES FILMS, CELUI-CI MERITAIT 13 SOIT 14 SUR 20 ..... BARBRA STREISAND EST SUPERBE, AINSI QUE TOUTE LA DISTRIBUTION, EXCEPTE PEUT-ETRE NICK NOLTE .....
  • MERCI LA VIE (1990)
    "Cinéfiches" se fait le plaisir de vous donner l'excellent avis du cher Patrice Vautier, critique de cinéma à l'incontournable "Canard Enchaîné" : ""L'histoire est d'une simplicité biblique : une jeune femme vêtue d'une robe de mariée se fait avoiner par un Porsche-man sur une plage héraultaise. C'est Joelle, (Anouk Grinberg, nous en reparlerons). Camille (Charlotte Gainsbourg) passait par là, poussant son caddie plein de produits surgelés et de mouettes -vos gueules!- bien vivantes. Ensuite, elles deviennent copines, se font consciencieusement sauter par un ringard à l'arrière d'une voiture, -bonjour "les valseuses"- se retrouvent dans un autre film ("taillons-nous dans un film en couleurs", "pourquoi on est en noir et blanc?" bonjour "Helzapoppin" échappent aux SS, mais pas à la déportation, encore moins à la chtouille et au sida, etc. Etc., cela signifie bref, le film de Bertrand Blier est incompréhensible, prétentiard, emmerdant comme la pluie .. On peut être truculent sans être vulgaire. Que penser de répliques comme : "Mes bagages se sont mes couilles" ou, excusez, "Tiens, sens mes doigts qui puent! Tu les sens comme ils puent ? C'est ma moule qui est pourrie" Bonjour la poésie ...... Et la séquence du vigile inceste, grotesque, inutile, celle de la compresse où Depardieu enfuit tristement un œil de verre dans le vagin de Joelle ..... Quel dommage pour Anouk Grinberg, stupéfiante de dynamisme, de fragilité, pétillante, émouvante. Pour Charlotte Gainsbourg aussi, qui prépare son bac et emploie davantage la langue ordurière que celle de Molière. Bertrand Blier affirme qu'il s'est bien amusé avec ce "petit télescopage des genres". L'un des rares cinéastes à pouvoir manipuler ce genre de puzzle avec cohérence est Claude Lelouch. L'un des derniers cinéastes à avoir réussi un film dans un film, est François Truffaut ("La nuit américaine")
  • PRETTY WOMAN (1990)
    Réponse à signature non-référencée
    avec ou sans les pépins ?
    signature non-référencée
    Richard Gere a un beau cul, Julia Roberts de belles fesses et tous les deux jouent fort bien. Un film chiraquien avant l'heure. A redécouvrir d'urgence ! POMME PIDOUX.
  • ATTACHE-MOI ! (1989)
    Réponse à inconnu(e)
    Je vois que vous ne lisez pas les critiques de TOUS les films d'Almodovar. Au contraire, nous avons adoré ces premières œuvres, ce n'est plus le cas, maintenant. Mais rien n'est définitif par rapport à ses productions à venir ....
    inconnu(e)
    Très bon film, mais un peu surprenant... Je vois que vous n'aimez pas beaucoup les films d'Almodovar.
  • TROP BELLE POUR TOI (1988)
    Réponse à inconnu(e)
    1) UN critique des Cahiers du Cinéma a parlé de chef-d'œuvre .....
    2) La différence entre notre appréciation et celle que vous évoquez va foncièrement dans le même sens. Non ?
    3) Le mieux est peut-être tout simplement de vous faire une idée personnelle en visionnant le film .....
    4) Et de la noter, ici même !
    inconnu(e)
    Les "Cahiers du Cinéma" disent que ce film est un chef-d'œuvre !
    Qui écouter ? : Vous, ou les "Cahiers du cinéma"...
  • THELONIOUS MONK (1988)
    Réponse à inconnu(e)
    Vous avez parfaitement raison, cette incroyable et essentielle mécène figure bien dans le film. Nous avons complété et rajouté d'autres personnages clés, proches du célèbre jazzman ....
    inconnu(e)
    Parmi les acteurs il serait juste de noter la baronne Nica de Koenigswater. essentiel !
  • LA QUEUE DE LA COMETE (1987)
    Réponse à inconnu(e)
    Hervé Lièvre m'a prêté quelques cassettes (que je devrais lui renvoyer fort rapidement) Téléphonez-lui pour lui demander la permission que je vous en fasse une copie (si le film figure dans le lot qu'il m'a envoyé et que je vais revoir incessamment)
    inconnu(e)
    C'EST UN FILM FORT ETRANGE ET ETRANGEMENT PERSISTANT QUE J'AIMERAIS BIEN REVOIR. QUE FAIT LA CINEMATHEQUE ? OU LA VIDEOTHEQUE DE PARIS ? PUISQU'APRES TOUT, CELA SE PASSE A PARIS. OU COURT CE LIEVRE AUJOURD'HUI ?
  • SUBWAY (1984)
    Réponse à N.R.
    bien sûr, vous avez raison. Certainement un abus de Single Malt ou de Marie-Jeanne. Merci du signalement, je viens de rectifier l'erreur...
    N.R.
    "Subway" est un film médiocre, comme tous les films de Besson. Ce cher Luc court désespérément après une touche personnelle et un univers propre, mais passe ses films à imiter ceux des autres. Ceci étant dit, cela me semble un peu excessif d'attribuer dans vos "Nota" l'"Oscar" du meilleur acteur à Christophe Lambert. un César, c'est déjà bien trop !
  • L'EDUCATION DE RITA (1983)
    Réponse à inconnu(e)
    Que vous n'ayez pas apprécié ce film n'est en rien en votre déshonneur. Primo : l'appréciation d'une œuvre est toujours subjective. Secundo : votre âge ne vous permet pas encore d'avoir un large échantillon de films vus. Tertio : notre avis n'est que notre avis ....
    inconnu(e)
    MOI,JE N'AI PAS AIME. MAIS J'AI 15 ANS. A PART PEUT-ETRE LA SCENE OU, ROND COMME UNE QUEUE DE PELLE, MICHAEL CAINE PRODIGUE SON COURS MAGISTRAL DEVANT L'ASSEMBLEE EBAHIE ET PROSTREE DE SES DISCIPLES. MA NON-APPRECIATION DE L'OEUVRE EST-ELLE PEUT-ETRE DUE A MON MANQUE EVIDENT DE MATURITE DONT JE PALIERAI JE L'ESPERE AU FIL DES ANS. J'AI 15 ANS....PARDON.
  • GET CRAZY (1982)
    Réponse à inconnu(e)
    L'intérêt du film ne semble donc que musical et non cinématographique...
    inconnu(e)
    Ok pour les tâtonnements et les dialogues insipides. Mais ce film vraiment rock comporte quelques morceaux de bravoure inoubliables dans la veine de Cheech et Chong. En particulier les apparitions d'Electric Larry, Cow Boy Squellette, inspiré d'une bd underground, Lone Ranger ou Lone rider, je ne sais plus. Il est resté une semaine à l'affiche à Paris.
  • LE CHAT NOIR (1981)
    Réponse à inconnu(e)
    Le film d'Argento figure bien dans la base ...
    inconnu(e)
    C'est la meilleure version comparée à celle de l'original de 1934 d'Edgar Ullmer avec Boris Karloff et Bela Lugosi qui pour moi me parait la plus décevante. Il en existe une autre version que vous avez oublié, dirigée par Dario Argento en 1990 intitulée "Deux yeux maléfiques" avec Kim Hunter ("La septième victime" "Un tramway nomme Désir).
  • TROCADERO BLEU CITRON (1978)
    Réponse à inconnu(e)
    Vous affirmez haut et fort que ce film est considéré à l’heure actuelle comme le premier film qui parla de la culture des skateurs en France. Vous m’en voyez fort aise. Cet historique rappel (que vous nommez culture) ne suffit pas pour octroyer au film une quelconque envergure, un intérêt particulier. A l’évidence, si vous faites abstraction de ce qui se nomme pompeusement la grammaire cinématographique et vous n’appréhendez un film que par le biais de l’émotion qu’il vous procure, on ne parle pas, en toute bonne foi, le même langage. De plus, je vous trouve bien téméraire et quelque peu présomptueux quant à vos affirmations concernant "l’âme des enfants", oublieux ou ignorant que les émotions, qu’elle soit enfantines ou adultes, chaleureuses ou affligeantes, sont en grande partie la résultante directe ou indirecte d’une éducation et conséquemment d’une culture. A vous lire, il s’avère effectivement que nous n’ayons pas vraiment la même définition de la culture. Et cela, loin de me navrer, aurait plutôt tendance à me rassurer et me faire sourire. En compulsant quelques revues d'époque, dont vous ne connaissiez peut-être pas l'existence, il me semble que déjà bien des critiques, ou qui se nomment "indûment" ainsi, insensibles, grincheux et péremptoires, avec leurs lourdes âmes d'adultes, avaient décrié, hélas, ce chef-d'oeuvre, dans un même élan d'ignorance et de spontanéité :
    "Le film, outre ses visées commerciales directes, utilise une « love story » qui ne dupera, je pense que les naïfs adultes. Tout ceci est nul sur le plan cinématographique, la grâce aérienne des jeunes skate-boarders n’a même pas été saisie par la caméra, le scénario est invraisemblable, seule Anny Duperey fait preuve de beaucoup de talent pour servir une bien mauvaise cause et un film particulièrement déplaisant"
    SAISON CINEMATOGRAPHIQUE 1978
    "Bleu citron ? Rose, plutôt. Très rose. Tout rose. C’est la Comtesse de Ségur qui aurait toqué l’évocation des vacances chez les De Fleurville pour le skateboard de la place du Trocadero. Tout baigne dans l’ouate sinon dans l’huile. Le scénario, comme la réalisation, ne visent qu’à faire passer, à ceux pour qui le cinéma c’est effectivement cette couleur assez vague qu’est le bleu-citron, 90 minutes agréables. Mission accomplie (Annie Duperey oblige !) en dépit de la facilité rosâtre de ce produit de luxe aseptisé" FICHES DU CINEMA 1979
    "Entré dans la salle, j’ai cru que c’était encore la pub de l’entracte. Mais c’était bien le début du film. Tout s’explique : l’auteur est un publicitaire sans doute "senior confirmé" comme ils disent dans les petites annonces ronflantes. Son produit de marketing est d’autant plus dangereux qu’il est correctement réalisé sur un scénario mielleux attrape-mouches. A la sortie du film, par acquit de conscience, je suis allé demander l’avis des petits enfants. Ils m’ont exhibé un prospectus qui les invite à rendre visite à la boutique Trocadero-Bleu-Citron, miraculeusement ouverte à Paris" ... ECRAN NUMERO 73
    "Avec ses planches à roulettes TBC véhicule des visées commerciales évidentes. Les décors en intérieur très "design", les vêtements, les jouets, tout est "in", dernier cri et fait pour susciter la convoitise des petits et des grands. A cette idéologie de la consommation, s’ajoute, et c’est encore plus déplaisant, une "éducation sentimentale" celle d’un petit garçon de dix ans guidé par une mère très "cop", super chic. Il va apprendre, pour conquérir la famille de sa belle et sa belle elle-même, à ruser, à duper, effrontément, cyniquement. Faut-il rajouter que la réalisation est faible" ...
    LA REVUE DU CINEMA NUMERO 333
    inconnu(e)
    Apparemment vous avez perdu votre âme d'enfant depuis bien longtemps, très cher chroniqueur... Pour votre info (et vos lacunes en matière de culture), ce film est considéré à l'heure actuelle comme le premier qui parla de la culture des skateurs en France...A bon entendeur.
    Réponse à inconnu(e)
    Qui parle de mettre en doute la légitimité d'un film ? Même le pire navet a droit à son existence propre dans la vaste cuisine cinématographique. Et depuis quand le succès public d'un film le fait glisser automatiquement dans la catégorie des productions de qualité ? Je n'ai pas souvenir que des chefs-d'œuvre de Bergman, Kurosawa, Lubitsch ou Wilder (reconnus par tous, de Transylvanie occidentale jusqu'au fin fond de l'Acadie, en passant par la lointaine Papouasie) aient eu un quelconque succès commercial pour être considérés comme des films "phare" du Septième Art. Il s'avère que nous somme pour le moment, encore, dans une république, (même si...) et qu'il est possible et nécessaire que les opinions divergent sur l'interprétation ou l'appréciation de telle ou telle réalisation. Plutôt que de grogner sur la forme, j'aurais aimé vous voir objecter sur le fond et lire ce qui vous avez effectivement affectionné dans ce film ....
    inconnu(e)
    Il me semble assez réducteur de prouver la légitimité d'un film uniquement sur les critiques de films. D'après vos références, le film a donc été descendu lors de sa sortie. Ce n'est pas pour autant qu'il n'a pas été un succès, et il est aujourd'hui enfin reconnu. En ce qui concerne les critiques ciné, je vous rappelle pour info que lors de la sortie du film "Les Valseuses" en 1974, le film a été qualifié de "vulgaire", "pornographique", "dégradant"... ce qui ne l'a pas empêché d'être un succès populaire. Ce sont les spectateurs qui donnent la force d'exister à un film. Pas les critiques (souvent bobos frustrés qui ne jurent que par le cinéma d'art et d'essais).
  • L'ESSAYEUSE (1975)
    Réponse à inconnu(e)
    Démarche facilement compréhensible par l'internationalisation des copies, la censure locale et les lois du marché. Compréhensible ne veut pas dire acceptable.
    inconnu(e)
    Un des rare chefs-d'œuvre du cinéma porno. J'en ai trouvé une version anglaise sur le web, mais hélas avec des scènes différentes, ce qui est dommage, car ce sont les scènes cultes du film qui ont été changées, pourquoi ???
  • VILLA LES DUNES (1974)
    Réponse à inconnu(e)
    Et qui pourrait se permettre, en toute décontraction et légèreté, de vous dénier le droit d'embrasser un film, uniquement ou en grande partie seulement sous la focale trouble et troublante du sentimental ? Cette optique de la perception ou du ressenti d'une œuvre (quelle soit cinématographique, littéraire, musicale ou picturale) me paraît primordiale, incontournable, voire d'une nécessité absolue. Ce n'est d'ailleurs pas sûr que la dialectique visuelle et scénaristique de "l'école Godardienne" (que vous évoquez et que vous semblez révérer) soit dans la même perspective d'appréhension et de communion ...
    inconnu(e)
    Un film typique du "cinéma vérité" mais charpenté par un scénario construit. Je me souviens l'avoir vu pour la première fois au ciné-club du cercle des étudiants de l'ULB ( Université libre de Bruxelles) dans les années 70. La réalisatrice était présente. Après un départ assez lent, l'action se passe lors de grandes vacances en bord de mer. Les propriétaires de la villa reçoivent comme tout les ans des amis et la vie s'écoule à la plage et en soirée par des "boum" fortement arrosées... Les dialogue sont fignolés et parfaitement rendu au point qu'ils nous paressent être de l'impro. Selon Madeleine HARTMANN-CLAUSSET, la part d'impro était minime sauf dans les scènes d'ivresse en fin de soirée. Elle ne pouvait plus contrôler les protagonistes. Un film a voir en se remémorant l'esprit et le climat des années soixante-dix. A cette époque, nous étions des inconditionnels de ce film. nous le considérions comme la juste suite de l'école "Godardienne". J'ai énormément d'attachement pour ce film... mais c'est, peut-être, sentimental ...
  • LES VALSEUSES (1973)
    Réponse à signature non-référencée
    Et les intolérants pour écrire ainsi ....
    signature non-référencée
    Certainement le meilleur film du petit Blier. Dewaere et Depardieu sont trop tordants. il n'y a que les cons pour dire qu'il est médiocre. MARTINE PRUNE.
    Réponse à inconnu(e)
    Et en plus, d'une finesse exemplaire .....
    inconnu(e)
    Martine Prune, le retour sur le jugement qui sera le dernier, en fait, vous n'êtes que des sales enculés qui puent l'intellectualisme .....
  • LE PROFESSEUR (1972)
    Réponse à inconnu(e)
    Vous enfoncez des portes ouvertes :
    - des neuf films que vous citez, presque la totalité a une bonne critique ....
    - neuf bons films sur l'ensemble de la filmographie, cela ne fait même pas 10 pour cent ...
    inconnu(e)
    "Dans l'insignifiance générale de la presque totalité de la filmographie d'Alain Delon"... Ben voyons. "Le guépard", "Rocco et ses frères", "Le cercle rouge", "Plein soleil", "Le samouraï", "Monsieur Klein", "L'éclipse", "Mélodie en sous-sol", "Les félins", belle insignifiance en effet.
  • LES PROIES (1971)
    Réponse à inconnu(e)
    On ne l'aurait pas deviné ...
    inconnu(e)
    Pas d'accord sur la misogynie : dans un cadre de guerre, les "mantes religieuses" du pensionnat ne sont pas présentées comme plus cruelles ou condamnables que le soldat qu'elles recueillent et qui ment, triche, trompe -ce sont elles qui sont "beguiled"- avant qu'il soit pris à son propre piège et introduit le premier la violence dans cet îlot de paix. Le film n'est ni misogyne ni féministe, simplement lucide, comme bien peu de film d'hommes dès qu'il s'agit de voir la noirceur de la nature humaine ... chez une femme ........ NB.: je suis une femme.
  • KES (1969)
    Réponse à inconnu(e)
    Vous avez parfaitement raison ; la seule différence notable est que l'école de Prague avait moult difficultés pour contourner la censure, ce que Ken Loach n'a jamais eu à faire. Mais la démarche d'un cinéma "naturaliste-social" est la même, avec un bonheur identique ....
    inconnu(e)
    Oui, vraiment Loach est un cinéaste exemplaire ... Il a également une indéniable filiation avec le réalisme tchèque de la grande époque de Forman et consorts (« Les amours d'une blonde », « L'as de pique » etc. ) qu'en pensez-vous ?
  • LE BOUCHER (1969)
    Réponse à inconnu(e)
    Vous êtes sûr de votre scène et de votre film ? A vous lire, on se croirait dans une production gore à connotation vampirique. Mes souvenirs de la réalisation de Chabrol sont désormais bien trop lointains ....
    inconnu(e)
    Les gouttes de sang du second cadavre pleuvant sur la tartine beurrée de l'écolière, à l'heure du goûter, c'est un grand moment...
  • L'AFFAIRE THOMAS CROWN (1968)
    Réponse à inconnu(e)
    Le baiser le plus long du cinéma est dans le film "You're in the army now" (1940). il dure 3 minutes 5 secondes .....
    inconnu(e)
    Un film tout à fait remarquable, malgré un scénario un peu mince, surtout sur la fin, mais largement compensé par le brio du style et l'interprétation magnifique de Faye Dunaway et de Steve Mac Queen dans un rôle inattendu. On se souviendra notamment de la célèbre partie d'échecs qui fit en partie la réputation du film et nécessita avec son "plus long baiser de l'histoire du cinéma" trois jours de tournage.
  • LE TRESOR DES NIBELUNGEN (1966)
    Réponse à AXEL
    Ndlr : En ce qui concerne Uwe Beyer, il fut effectivement un des plus grands lanceurs de marteau des années 60 qui reconnu un peu tard, avoir abusé des anabolisants et qui en subit d'ailleurs les fatales conséquences : infarctus à quarante-neuf ans, lors d'une partie de tennis en Turquie.
    AXEL
    Même si on ne peut la comparer à la version de Lang, cette superproduction teutonne est très divertissante et passionnante, se plaçant il est vrai plus du côté de l'héroïc fantasy que de la légende germanique. Uwe Beyer (ancien athlète) et Maria Marlow ne sont pas très charismatiques, mais ils sont bien épaulés notamment par la très belle Karin Dor.
  • STATION 3 ULTRA SECRET (1965)
    Réponse à JPC
    Ian Stuart est un pseudonyme d'Alistair Mac Lean ...
    JPC
    J'avoue ma perplexité : A ma connaissance, "The Satan Bug" est un roman d'Alistair MacLean, publié en 1959, et dont l'argument est similaire (vol de virus du labo de Mordon, Essex, puis chantage sur Londres en hélico). Alors, Y a-t-il eu plagiat, télépathie ou... salade ? Pour rajouter à la confusion, je signale que ce film fut passé à la TV française autrefois sous le titre "Alerte au Belzebuth" ..... Merci de toute précision !
  • JE SUIS CUBA (1964)
    Réponse à signature non-référencée
    Effectivement, si le film n'est pas noté, c'est que je ne l'ai pas (encore) visionné. Et une copie dvd attend sagement au fin fond de son tiroir, de faire une virée sur mon lecteur. Une question de temps, de patience et de hasard ....
    signature non-référencée
    Et voici tout simplement l'une des œuvres les plus splendidement étonnante de toute l'histoire du cinéma. " Si, à l'époque, ce film avait pu être diffusé dans le monde entier au lieu de rester quarante ans sur une étagère, c'est le devenir même du cinéma qui aurait pu s'en trouver modifier". Dixit ( à peu près ) Scorsese. J'ajouterai, moi, que c'est le film qui aurait pu sauver le cinéma de la lente agonie dans la quelle il s'est engagé depuis trente ans.
    A découvrir ( et à noter* ) d'urgence par notre infatigable gestionnaire du site. ( Qui a quand même du accuser un petit coup de fatigue pour être passé à côté d'un tel chef-d'œuvre !)
    Film en DVD édité par MK2 * Toute note inférieure à 19 et demi sur 20 serait, par moi, considérée comme infâmante. P.M.
  • LES TROIS VISAGES DE LA PEUR (1963)
    En ce qui concerne le nom de Guy de Maupassant au générique du sketch : "Le téléphone" la référence paraît impossible et stupide. En effet, jusqu'en 1890, toute communication téléphonique passait par une opératrice. Ce n'est qu'en 1891 et seulement aux States que le 1er téléphone automatique est né, mis sur le marché français bien plus tard. Guy de Maupassant est décédé en 1893, avec une longue période d'inactivité dans l'écriture suite à sa syphilis et la dégradation de son état mental. Il lui était matériellement impossible de concevoir une histoire avec un téléphone automatique permettant à deux personnes de se joindre.
  • LE PROCÈS (1962)
    Réponse à inconnu(e)
    Libre à vous de ne pas avoir perçu dans le roman de Kafka, une "atmosphère glauque et absurde" au-delà de la farce et de l'angoisse existentielles et de la dénonciation d'une bureaucratique oppressante ....
    inconnu(e)
    Je veux bien croire que c'est un bon film, mais de là à dire qu'il "retranscrit" l'atmosphère du roman de Kafka, c'est avouer ouvertement que l'on n'a pas lu le roman... 
  • LA PLANÈTE FANTÔME (1961)
    Réponse à inconnu(e)
    Il s'avère que nous sommes peut-être de la même génération (des années 50/60) et que je puisse ainsi, avec plus ou moins de souvenirs et de référencements identiques voire communs, comprendre les évocations de lectures BDs que vous rappelez fort judicieusement. Mais cela ne m'empêche aucunément de considérer ce film comme une sombre nullité, m'imposant de médiocres et stupides trucages, des jeux d'acteurs à la limite de la débilité, que mon âme d'enfant, à l'époque, n'avait pas à subir, complètement imprégnée par des histoires subtilement dessinées, qui me laissaient toutes libertés d'imagination, de rêverie et d'accommodation .
    inconnu(e)
    Ce film découle des publications SF américaines en BD des éditions Artima des années 50. Style "Météor" avec les conquérants de l'Espace dessiné par Giordan....Si l'on se recadre dans cette optique d'ado qui se délectait de ce genre de publications (et c'était mon cas) le film reste jouissif et colle parfaitement avec l'esprit de la BD. Le noir et blanc renforce encore cet attrait.Si vous n'avez pas connu ce genre de BD, je comprends que le propos parait puérile.
  • LES VIEUX DE LA VIEILLE (1960)
    Réponse à inconnu(e)
    Je suis stupéfait d'apprendre qu'il y avait quelque chose à comprendre dans ce film !
    inconnu(e)
    Vous n'avez visiblement rien compris à ce film. Les caractères des acteurs sont remarquables. Les dialogues d'Audiard sont incisifs dont certaines répliques sont maintenant cultes.
  • UN MOMENT DE SILENCE (1960)
    le 06/11/2022 - Note : 14/20
    Un réalisateur souvent mésestimé, ignoré par toute une frange de la cinéphilie contemporaine.
  • QUAND PASSENT LES CIGOGNES (1957)
    Réponse à signature non-référencée
    Le film existe en dvd, si vous voulez, je vous envoie une copie.
    signature non-référencée
    J'ai vu ce film en 1958 -j'avais exactement 8 ans, au cinéma patronal, en noir et blanc. Mon père, qui avait connu 5 ans de Stalag et qui avait été délivré par l'Armée Rouge, voulait voir la Russie en guerre "de l'intérieur". J'ai vu ce film une seule et unique fois et il m'a marquée de façon indélébile. J'ai pleuré comme une Madeleine ! Aujourd'hui encore, 57 ans après, j'en ai encore des images très précises et je donnerais cher pour le revoir. Nul doute qu'avec des yeux d'adulte, j'en aurais une vision différente, mais la charge émotionnelle serait aussi forte et je suis sûre de reverser des torrents de larmes ! CHRISTIANE.
  • LES DIX COMMANDEMENTS (1956)
    Réponse à inconnu(e)
    Il existe plusieurs sens à l'adjectif "légendaire" :
    1) qui est de la nature de la légende
    2) qui n'existe que dans la légende
    3) bien connu de tous
    inconnu(e)
    Non, Moïse n'est pas un personnage légendaire comme votre résume l'indique, mais un personnage historique qui a été effectivement l'homme de Dieu pour sauver son peuple. Nous croyons en l'authenticité des saintes écritures et apprécions ce film, bien que trop rempli d'intrigues féminines. La première partie nous semble trop longue par rapport à la deuxième. Le film comporte quelques inexactitudes par rapport au récit biblique. Moïse présente à plusieurs reprises comme le libérateur de son peuple, annonce le christ, sauveur de tous les hommes "Si le Christ vous affranchit, vous serez réellement libres". JEAN 8:36.
  • LA NUIT DU CHASSEUR (1955)
    Réponse à inconnu(e)
    Il est classé dans les 10 meilleurs de l'histoire du cinéma. Je tiens à votre disposition une excellente paire de lunettes. Voir rubrique : "Les incontournables" .
    inconnu(e)
    Je n'ai pas eu le cœur d'aller vérifier qu'il se trouvait au moins dans la troisième catégorie... prenez-vous volontairement le contre-pied de la critique mondiale en ne citant pas ce film dans les, allez, je dirai, 20 meilleurs films???? Si vous ne l'avez pas visionné, je tiens une cassette à votre disposition !
  • O CANGACEIRO (1953)
    Réponse à signature non-référencée
    C'est désormais chose faite : mars 2010
    signature non-référencée
    Remarquable film. Introuvable. Il mérite une réédition au plus vite en DVD. Gustave Grandjean.
  • LETTRE D'UNE INCONNUE (1948)
    Réponse à Loïc Pessaud, cinéphage
    Avant de vous "énerver", vous auriez pu remarquer que nous avions noté ce film 16 sur 20 et qu'il ne pouvait que s'agir d'une erreur d'inattention de la pigiste .....
    Loïc Pessaud, cinéphage
    Votre opinion est révoltante car ce film est l'un des chefs-d'oeuvre d'Ophüls et le meilleur de sa période hollywoodienne. Il porte à son apogée les thèmes chers à Ophüls tels l'emprise du passé et la fuite du temps. De plus il bénéficie d'une très bonne interprétation de Joan Fontaine et Louis Jourdan. Ce n'est en rien larmoyant et encore moins de l'eau de rose. D'ailleurs, bien que fraîchement accueilli a sa sortie, il a été reconnu depuis comme l'un des plus beaux films d'Ophüls par de nombreux critiques. Un très grand film.
  • LAUREL ET HARDY AU FAR WEST (1937)
    Réponse à inconnu(e)
    Même si je ne suis pas vraiment d'accord avec vous, que c'est effectivement le meilleur film du merveilleux duo de notre jeunesse (et de notre présent), vous avez certainement été "béni des dieux" (du cinéma) pour savoir encore et (toujours) apprécier le haut de gamme du slapstick américain, que nos deux compères illustrent si divinement ...
    inconnu(e)
    Laurel et Hardy au Far West est mon film comique préféré. Il y a quelque chose de rare dans ce film : une transparence et une naïveté, cela en fait une œuvre universelle et atemporel. La transparence dans une œuvre littéraire, cinématographique, musicale ou picturale est une indication sans faille d'une œuvre importante. Elle règne dans beaucoup de films avec Laurel et Hardy. Mais avec Laurel et Hardy au Far West, la séquence musicale de la petite danse des deux compères est aussi forte, sinon plus, que la danse des petits pains de la Ruée vers l'Or de Charlie Chaplin. Et la séquence avec Laurel et Hardy avec l'âne est une merveille que je ne me lasse pas de regarder. J'ai découvert cet extrait avec l'âne, en muet, du temps des petites cinémathèques en film de 8 mm, lorsque la télévision était encore balbutiante. Muet ou sonore, cet extrait était tout autant jubilatoire. Il faut garder son âme d'enfant pour apprécier pleinement ce chef-d'œuvre, faire abstraction de notre époque où il y a trop de tout, et s'installer devant l'écran avec une sorte de religiosité, comme quand on va faire une chose importante dans sa vie. Et puis, quel plaisir de revoir James Finlayson, le petit grincheux à la moustache.
  • MONSIEUR FANTÔMAS (1937)
    le 02/05/2023 - Note : 15/20
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
MONSIEUR FANTÔMAS (1937) 15 Voir la critique
UN MOMENT DE SILENCE (1960) 14 Voir la critique