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LA PLANÈTE FANTÔME-1961-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The phantom planet
Durée : 1h25
Themes
Mutité
- cinéma américain -
Réalisation : William MARSHALL
Prise de vues : Elwood J. NICHOLSON
Musique : Gordon ZAHLER
Nota
Le film se termine par le mot : "Début".
Résumé
Nous sommes le 16 mars 2048. La lune est devenue une habituelle base terrienne, point de départ avancé pour de lointaines expéditions galactiques. A nouveau, une fusée a dévié de sa trajectoire et dramatiquement disparu près d'une planète inconnue qui apparaît et s'évanouit, sans laisser de trace, dans l'hyperespace. Le capitaine Frank Chapman, au commande de la fusée Pégase 4, accompagné de son collègue le lieutenant Ray Makonnen, est chargé d'enquêter sur ces inquiétantes disparitions. Lorsque leur engin spatial est gravement touché par un champ de fulgurantes météorites et que d'urgentes réparations se présentent comme nécessaires, le coéquipier de Chapman perd le contrôle de son assise et finit par s'éloigner de la fusée pour une mortelle dérive dans l'espace. Attiré par un intriguant astéroïde, le vaisseau finit par se poser et notre astronaute rescapé, sorti de son évanouissement, commence par s'aventurer hors de son habitacle. Au contact de l'atmosphère environnante, il rapetisse mystérieusement, jusqu'à une taille minuscule qui est celle des habitants du lieu qui l'arrêtent et le mettent en procès. En fait, nous sommes sur la planète Reton et notre héros est condamné à y rester définitivement. Bien sûr, il aura la possibilité de choisir une âme soeur, (un choix cornélien entre la belle Liara et la silencieuse Zeta) ce qui provoquera l'ire et la jalousie du violent Herron qui le provoque en un étonnant duel (pousser son adversaire avec un barre métallique tenue à chaque bout par un des adversaires et pousser son concurrent vers des plaques de gravité qui désintègre le malheureux, au moindre contact. Chapman, comme de bien entendu gagne, et noble coeur, épargne son "ennemi". Et voilà que les Solarites (des sortes de risibles Donald Duck dégénérés) attaquent la planète et ses habitants. Heureusement que les autochtones possèdent la bombe à chaleur intensive qui leur permettra de vaincre les monstres et leurs mortelles flammèches. Finalement (l'ex-jaloux) Herron devenue le meilleur ami de notre Terrien, va l'aider à retrouver sa planète qu'il quittera le coeur brisé par l'impossible amour de la belle Zeta, retrouvant enfin la parole.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 1/20
Dans l'incapacité intellectuelle et psychologique de voir cette chose "immonde" au premier degré, encore moins au sixième, malgré d'incessants et surhumains efforts, cela devient douloureusement nul au point de vous dégoûter à tout jamais du cinéma !
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
Il s'avère que nous sommes peut-être de la même génération (des années 50/60) et que je puisse ainsi, avec plus ou moins de souvenirs et de référencements identiques voire communs, comprendre les évocations de lectures BDs que vous rappelez fort judicieusement. Mais cela ne m'empêche aucunément de considérer ce film comme une sombre nullité, m'imposant de médiocres et stupides trucages, des jeux d'acteurs à la limite de la débilité, que mon âme d'enfant, à l'époque, n'avait pas à subir, complètement imprégnée par des histoires subtilement dessinées, qui me laissaient toutes libertés d'imagination, de rêverie et d'accommodation .
inconnu(e)
Ce film découle des publications SF américaines en BD des éditions Artima des années 50. Style "Météor" avec les conquérants de l'Espace dessiné par Giordan....Si l'on se recadre dans cette optique d'ado qui se délectait de ce genre de publications (et c'était mon cas) le film reste jouissif et colle parfaitement avec l'esprit de la BD. Le noir et blanc renforce encore cet attrait.Si vous n'avez pas connu ce genre de BD, je comprends que le propos parait puérile.
inconnu(e)
Ce film découle des publications SF américaines en BD des éditions Artima des années 50. Style "Météor" avec les conquérants de l'Espace dessiné par Giordan....Si l'on se recadre dans cette optique d'ado qui se délectait de ce genre de publications (et c'était mon cas) le film reste jouissif et colle parfaitement avec l'esprit de la BD. Le noir et blanc renforce encore cet attrait.Si vous n'avez pas connu ce genre de BD, je comprends que le propos parait puérile.