Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 24 films notés

Page 7 sur 332 (16566 critiques au total)

  • LA SOIF DE L'OR (1993)
    Note : 9/20
  • LA CITÉ DE LA PEUR (1993)
    Note : 12/20
  • ET AU MILIEU COULE UNE RIVIÈRE (1992)
    Note : 12/20
    Voila le type même de production oscarisable. Redford retrouve son thème de prédilection : la difficulté des rapports familiaux; malheureusement le scenario manque singulièrement de relief et sa mise en scène demeure toujours contemplative malgré de jolies performances d'acteurs.
  • LE PRINCE DES MARÉES (1991)
    Réponse à inconnu(e)
    Primo, une note ne peut jamais être objective ; disons, qu'habituellement, les nôtres correspondent à notre appréciation personnelle ..... secundo, l'un de nous n'a pas encore vu le film et donc, le jugement n'est pour le moment que parcellaire .....
    inconnu(e)
    ALORS QU'IL EST FREQUENT QUE VOS NOTES SOIENT OBJECTIVES, CELLE-CI EST VRAIMENT SCANDALEUSE ..... PAR RAPPORT AUX NOTES DONNEES A D'AUTRES FILMS, CELUI-CI MERITAIT 13 SOIT 14 SUR 20 ..... BARBRA STREISAND EST SUPERBE, AINSI QUE TOUTE LA DISTRIBUTION, EXCEPTE PEUT-ETRE NICK NOLTE .....
  • JOE ET MARIE (1994)
    Réponse à inconnu(e)
    Des milliers de films, chaque année, restent invisibles, pour la simple raison qu'ils ne trouvent aucune distributeur pour l'acheter !
    inconnu(e)
    Salut à tous. Etrange, étrange. Un film qui est censé exister et dont-on ne peut rien avoir. Il existe absolument rien sur ce film, alors ma question est : ce film existe-il vraiment ? Car c'est surprenant de ne rien trouver là dessus. J'ai passé des heures sur internet, y compris côté suisse, l'origine du film rien de chez rien. Etrange !!!!. D'autant qu'il existe plusieurs films en DVD qui pour parler franc sont nuls. Alors, pourquoi celui là. "Joe et Marie" est impossible à trouver. Il doit bien y avoir une raison. Non ????????
  • NUIT D'ÉTÉ EN VILLE (1990)
    Note : 15/20
  • LE PROFESSEUR (1972)
    Réponse à inconnu(e)
    Vous enfoncez des portes ouvertes :
    - des neuf films que vous citez, presque la totalité a une bonne critique ....
    - neuf bons films sur l'ensemble de la filmographie, cela ne fait même pas 10 pour cent ...
    inconnu(e)
    "Dans l'insignifiance générale de la presque totalité de la filmographie d'Alain Delon"... Ben voyons. "Le guépard", "Rocco et ses frères", "Le cercle rouge", "Plein soleil", "Le samouraï", "Monsieur Klein", "L'éclipse", "Mélodie en sous-sol", "Les félins", belle insignifiance en effet.
  • L'EDUCATION DE RITA (1983)
    Réponse à inconnu(e)
    Que vous n'ayez pas apprécié ce film n'est en rien en votre déshonneur. Primo : l'appréciation d'une œuvre est toujours subjective. Secundo : votre âge ne vous permet pas encore d'avoir un large échantillon de films vus. Tertio : notre avis n'est que notre avis ....
    inconnu(e)
    MOI,JE N'AI PAS AIME. MAIS J'AI 15 ANS. A PART PEUT-ETRE LA SCENE OU, ROND COMME UNE QUEUE DE PELLE, MICHAEL CAINE PRODIGUE SON COURS MAGISTRAL DEVANT L'ASSEMBLEE EBAHIE ET PROSTREE DE SES DISCIPLES. MA NON-APPRECIATION DE L'OEUVRE EST-ELLE PEUT-ETRE DUE A MON MANQUE EVIDENT DE MATURITE DONT JE PALIERAI JE L'ESPERE AU FIL DES ANS. J'AI 15 ANS....PARDON.
  • GET CRAZY (1982)
    Réponse à inconnu(e)
    L'intérêt du film ne semble donc que musical et non cinématographique...
    inconnu(e)
    Ok pour les tâtonnements et les dialogues insipides. Mais ce film vraiment rock comporte quelques morceaux de bravoure inoubliables dans la veine de Cheech et Chong. En particulier les apparitions d'Electric Larry, Cow Boy Squellette, inspiré d'une bd underground, Lone Ranger ou Lone rider, je ne sais plus. Il est resté une semaine à l'affiche à Paris.
  • EMBRASSE-MOI VAMPIRE (1989)
    Note : 11/20
  • LA QUEUE DE LA COMETE (1987)
    Réponse à inconnu(e)
    Hervé Lièvre m'a prêté quelques cassettes (que je devrais lui renvoyer fort rapidement) Téléphonez-lui pour lui demander la permission que je vous en fasse une copie (si le film figure dans le lot qu'il m'a envoyé et que je vais revoir incessamment)
    inconnu(e)
    C'EST UN FILM FORT ETRANGE ET ETRANGEMENT PERSISTANT QUE J'AIMERAIS BIEN REVOIR. QUE FAIT LA CINEMATHEQUE ? OU LA VIDEOTHEQUE DE PARIS ? PUISQU'APRES TOUT, CELA SE PASSE A PARIS. OU COURT CE LIEVRE AUJOURD'HUI ?
  • LES PROIES (1971)
    Réponse à inconnu(e)
    On ne l'aurait pas deviné ...
    inconnu(e)
    Pas d'accord sur la misogynie : dans un cadre de guerre, les "mantes religieuses" du pensionnat ne sont pas présentées comme plus cruelles ou condamnables que le soldat qu'elles recueillent et qui ment, triche, trompe -ce sont elles qui sont "beguiled"- avant qu'il soit pris à son propre piège et introduit le premier la violence dans cet îlot de paix. Le film n'est ni misogyne ni féministe, simplement lucide, comme bien peu de film d'hommes dès qu'il s'agit de voir la noirceur de la nature humaine ... chez une femme ........ NB.: je suis une femme.
  • SUBWAY (1984)
    Réponse à N.R.
    bien sûr, vous avez raison. Certainement un abus de Single Malt ou de Marie-Jeanne. Merci du signalement, je viens de rectifier l'erreur...
    N.R.
    "Subway" est un film médiocre, comme tous les films de Besson. Ce cher Luc court désespérément après une touche personnelle et un univers propre, mais passe ses films à imiter ceux des autres. Ceci étant dit, cela me semble un peu excessif d'attribuer dans vos "Nota" l'"Oscar" du meilleur acteur à Christophe Lambert. un César, c'est déjà bien trop !
  • L'OR SE BARRE (1969)
    Note : 12/20
  • LA LISTE DE SCHINDLER (1993)
    Réponse à inconnu(e)
    Votre exemple n'est guère convaincant : le Polonais Wajda (bien sûr, pas si inconnu) eut les mêmes réticences pour son film "Korczak" et Jacques Lanzmann, réalisateur de « Shoah » est aussi d’origine juive !
    inconnu(e)
    Dans dix ans, on comprendra que Spielberg n'a pas fait un film sur l'holocauste, mais un autoportrait, mais un film sur l'humanisme et la cruauté humaine ..... alors, arrêtez-la de nous gonfler avec « Shoah ». Refusez qu'un juif puisse faire un film, un tableau, un livre ou une chanson sur cette période douloureuse de son peuple, ce ne sera bien sur jamais aussi grave, que ce que le film ne montre pas, mais c'est pas sympa du tout ..... et d'ailleurs certains intellectuels ont aussi rappelé qu'on a fait les mêmes reproches à Lubitsch pour "To be or not to be" et a Chaplin pour "Le dictateur" ..... Et ça, on évite dans parler dans les histoires du cinéma ...... Si un polonais inconnu avait fait exactement le même film, au micron près, il n'y aurait même pas eu de polémique ....
  • CATCH 22 (1970)
    Note : 16/20
  • DRACULA (1931)
    Note : 16/20
  • STATION 3 ULTRA SECRET (1965)
    Réponse à JPC
    Ian Stuart est un pseudonyme d'Alistair Mac Lean ...
    JPC
    J'avoue ma perplexité : A ma connaissance, "The Satan Bug" est un roman d'Alistair MacLean, publié en 1959, et dont l'argument est similaire (vol de virus du labo de Mordon, Essex, puis chantage sur Londres en hélico). Alors, Y a-t-il eu plagiat, télépathie ou... salade ? Pour rajouter à la confusion, je signale que ce film fut passé à la TV française autrefois sous le titre "Alerte au Belzebuth" ..... Merci de toute précision !
  • WITHNAIL ET MOI (1986)
    Note : 11/20
  • UN TOUR DE MANÈGE (1987)
    Note : 7/20
  • BLANCS CASSES (1988)
    Note : 12/20
  • NEW YORK STORIES (1988)
    Note : 11/20
  • PEAUX DE VACHES (1989)
    Note : 15/20
  • ERIK LE VIKING (1989)
    Note : 13/20
  • MONA ET MOI (1989)
    Note : 15/20
  • JOURS TRANQUILLES À CLICHY (1989)
    Note : 4/20
  • ENNEMIES : UNE HISTOIRE D'AMOUR (1989)
    Note : 8/20
  • VOYAGEURS SANS PERMIS (1989)
    Note : 11/20
  • ALEXANDRIE ENCORE ET TOUJOURS (1990)
    Note : 13/20
  • AFFAIRE NON CLASSEE (1991)
    Note : 9/20
  • IN BED WITH MADONNA (1990)
    Note : 11/20
  • OÙ QUE TU SOIS (1986)
    Note : 9/20
  • TABATABA (1987)
    Note : 14/20
  • CHEESEBURGER FILM SANDWICH (1987)
    Note : 13/20
  • LES VIEUX DE LA VIEILLE (1960)
    Réponse à inconnu(e)
    Je suis stupéfait d'apprendre qu'il y avait quelque chose à comprendre dans ce film !
    inconnu(e)
    Vous n'avez visiblement rien compris à ce film. Les caractères des acteurs sont remarquables. Les dialogues d'Audiard sont incisifs dont certaines répliques sont maintenant cultes.
  • QUAND PASSENT LES CIGOGNES (1957)
    Réponse à signature non-référencée
    Le film existe en dvd, si vous voulez, je vous envoie une copie.
    signature non-référencée
    J'ai vu ce film en 1958 -j'avais exactement 8 ans, au cinéma patronal, en noir et blanc. Mon père, qui avait connu 5 ans de Stalag et qui avait été délivré par l'Armée Rouge, voulait voir la Russie en guerre "de l'intérieur". J'ai vu ce film une seule et unique fois et il m'a marquée de façon indélébile. J'ai pleuré comme une Madeleine ! Aujourd'hui encore, 57 ans après, j'en ai encore des images très précises et je donnerais cher pour le revoir. Nul doute qu'avec des yeux d'adulte, j'en aurais une vision différente, mais la charge émotionnelle serait aussi forte et je suis sûre de reverser des torrents de larmes ! CHRISTIANE.
  • LE BOUCHER (1969)
    Réponse à inconnu(e)
    Vous êtes sûr de votre scène et de votre film ? A vous lire, on se croirait dans une production gore à connotation vampirique. Mes souvenirs de la réalisation de Chabrol sont désormais bien trop lointains ....
    inconnu(e)
    Les gouttes de sang du second cadavre pleuvant sur la tartine beurrée de l'écolière, à l'heure du goûter, c'est un grand moment...
  • LE CHAT NOIR (1981)
    Réponse à inconnu(e)
    Le film d'Argento figure bien dans la base ...
    inconnu(e)
    C'est la meilleure version comparée à celle de l'original de 1934 d'Edgar Ullmer avec Boris Karloff et Bela Lugosi qui pour moi me parait la plus décevante. Il en existe une autre version que vous avez oublié, dirigée par Dario Argento en 1990 intitulée "Deux yeux maléfiques" avec Kim Hunter ("La septième victime" "Un tramway nomme Désir).
  • TROCADERO BLEU CITRON (1978)
    Réponse à inconnu(e)
    Qui parle de mettre en doute la légitimité d'un film ? Même le pire navet a droit à son existence propre dans la vaste cuisine cinématographique. Et depuis quand le succès public d'un film le fait glisser automatiquement dans la catégorie des productions de qualité ? Je n'ai pas souvenir que des chefs-d'œuvre de Bergman, Kurosawa, Lubitsch ou Wilder (reconnus par tous, de Transylvanie occidentale jusqu'au fin fond de l'Acadie, en passant par la lointaine Papouasie) aient eu un quelconque succès commercial pour être considérés comme des films "phare" du Septième Art. Il s'avère que nous somme pour le moment, encore, dans une république, (même si...) et qu'il est possible et nécessaire que les opinions divergent sur l'interprétation ou l'appréciation de telle ou telle réalisation. Plutôt que de grogner sur la forme, j'aurais aimé vous voir objecter sur le fond et lire ce qui vous avez effectivement affectionné dans ce film ....
    inconnu(e)
    Il me semble assez réducteur de prouver la légitimité d'un film uniquement sur les critiques de films. D'après vos références, le film a donc été descendu lors de sa sortie. Ce n'est pas pour autant qu'il n'a pas été un succès, et il est aujourd'hui enfin reconnu. En ce qui concerne les critiques ciné, je vous rappelle pour info que lors de la sortie du film "Les Valseuses" en 1974, le film a été qualifié de "vulgaire", "pornographique", "dégradant"... ce qui ne l'a pas empêché d'être un succès populaire. Ce sont les spectateurs qui donnent la force d'exister à un film. Pas les critiques (souvent bobos frustrés qui ne jurent que par le cinéma d'art et d'essais).
  • VILLA LES DUNES (1974)
    Réponse à inconnu(e)
    Et qui pourrait se permettre, en toute décontraction et légèreté, de vous dénier le droit d'embrasser un film, uniquement ou en grande partie seulement sous la focale trouble et troublante du sentimental ? Cette optique de la perception ou du ressenti d'une œuvre (quelle soit cinématographique, littéraire, musicale ou picturale) me paraît primordiale, incontournable, voire d'une nécessité absolue. Ce n'est d'ailleurs pas sûr que la dialectique visuelle et scénaristique de "l'école Godardienne" (que vous évoquez et que vous semblez révérer) soit dans la même perspective d'appréhension et de communion ...
    inconnu(e)
    Un film typique du "cinéma vérité" mais charpenté par un scénario construit. Je me souviens l'avoir vu pour la première fois au ciné-club du cercle des étudiants de l'ULB ( Université libre de Bruxelles) dans les années 70. La réalisatrice était présente. Après un départ assez lent, l'action se passe lors de grandes vacances en bord de mer. Les propriétaires de la villa reçoivent comme tout les ans des amis et la vie s'écoule à la plage et en soirée par des "boum" fortement arrosées... Les dialogue sont fignolés et parfaitement rendu au point qu'ils nous paressent être de l'impro. Selon Madeleine HARTMANN-CLAUSSET, la part d'impro était minime sauf dans les scènes d'ivresse en fin de soirée. Elle ne pouvait plus contrôler les protagonistes. Un film a voir en se remémorant l'esprit et le climat des années soixante-dix. A cette époque, nous étions des inconditionnels de ce film. nous le considérions comme la juste suite de l'école "Godardienne". J'ai énormément d'attachement pour ce film... mais c'est, peut-être, sentimental ...
  • LE PROCÈS (1962)
    Réponse à inconnu(e)
    Libre à vous de ne pas avoir perçu dans le roman de Kafka, une "atmosphère glauque et absurde" au-delà de la farce et de l'angoisse existentielles et de la dénonciation d'une bureaucratique oppressante ....
    inconnu(e)
    Je veux bien croire que c'est un bon film, mais de là à dire qu'il "retranscrit" l'atmosphère du roman de Kafka, c'est avouer ouvertement que l'on n'a pas lu le roman... 
  • JE SUIS CUBA (1964)
    Réponse à signature non-référencée
    Effectivement, si le film n'est pas noté, c'est que je ne l'ai pas (encore) visionné. Et une copie dvd attend sagement au fin fond de son tiroir, de faire une virée sur mon lecteur. Une question de temps, de patience et de hasard ....
    signature non-référencée
    Et voici tout simplement l'une des œuvres les plus splendidement étonnante de toute l'histoire du cinéma. " Si, à l'époque, ce film avait pu être diffusé dans le monde entier au lieu de rester quarante ans sur une étagère, c'est le devenir même du cinéma qui aurait pu s'en trouver modifier". Dixit ( à peu près ) Scorsese. J'ajouterai, moi, que c'est le film qui aurait pu sauver le cinéma de la lente agonie dans la quelle il s'est engagé depuis trente ans.
    A découvrir ( et à noter* ) d'urgence par notre infatigable gestionnaire du site. ( Qui a quand même du accuser un petit coup de fatigue pour être passé à côté d'un tel chef-d'œuvre !)
    Film en DVD édité par MK2 * Toute note inférieure à 19 et demi sur 20 serait, par moi, considérée comme infâmante. P.M.
  • LAUREL ET HARDY AU FAR WEST (1937)
    Réponse à inconnu(e)
    Même si je ne suis pas vraiment d'accord avec vous, que c'est effectivement le meilleur film du merveilleux duo de notre jeunesse (et de notre présent), vous avez certainement été "béni des dieux" (du cinéma) pour savoir encore et (toujours) apprécier le haut de gamme du slapstick américain, que nos deux compères illustrent si divinement ...
    inconnu(e)
    Laurel et Hardy au Far West est mon film comique préféré. Il y a quelque chose de rare dans ce film : une transparence et une naïveté, cela en fait une œuvre universelle et atemporel. La transparence dans une œuvre littéraire, cinématographique, musicale ou picturale est une indication sans faille d'une œuvre importante. Elle règne dans beaucoup de films avec Laurel et Hardy. Mais avec Laurel et Hardy au Far West, la séquence musicale de la petite danse des deux compères est aussi forte, sinon plus, que la danse des petits pains de la Ruée vers l'Or de Charlie Chaplin. Et la séquence avec Laurel et Hardy avec l'âne est une merveille que je ne me lasse pas de regarder. J'ai découvert cet extrait avec l'âne, en muet, du temps des petites cinémathèques en film de 8 mm, lorsque la télévision était encore balbutiante. Muet ou sonore, cet extrait était tout autant jubilatoire. Il faut garder son âme d'enfant pour apprécier pleinement ce chef-d'œuvre, faire abstraction de notre époque où il y a trop de tout, et s'installer devant l'écran avec une sorte de religiosité, comme quand on va faire une chose importante dans sa vie. Et puis, quel plaisir de revoir James Finlayson, le petit grincheux à la moustache.
  • O CANGACEIRO (1953)
    Réponse à signature non-référencée
    C'est désormais chose faite : mars 2010
    signature non-référencée
    Remarquable film. Introuvable. Il mérite une réédition au plus vite en DVD. Gustave Grandjean.
  • FARGO (1996)
    Réponse à S.H.
    Cher S(téphane) H(aegeli).
    Nous avons pris l'habitude, venant de votre part, de bien plus de rigueur et de pertinence, dans vos propos. Nous dirons plutôt que vous êtes de mauvaise foi, faisant un mauvais procès (intelligentsia) à qui vous pensez.
    S.H.
    Vous avouerez qu'ils ont usé de gros moyens pour pas grand chose. Mais ce n'est pas l'avis de tout le monde, à en juger la note de et les critiques dithyrambiques que l'on peut lire un peu partout. Mais bon, tout le monde ne peut pas rester insensible aux courants de mode qui traversent à coups de prix de la mise en scène l'intelligentsia cinéphile !
  • THELONIOUS MONK (1988)
    Réponse à inconnu(e)
    Vous avez parfaitement raison, cette incroyable et essentielle mécène figure bien dans le film. Nous avons complété et rajouté d'autres personnages clés, proches du célèbre jazzman ....
    inconnu(e)
    Parmi les acteurs il serait juste de noter la baronne Nica de Koenigswater. essentiel !
  • VAN GOGH (1991)
    Réponse à inconnu(e)
    L'intolérance n'est pas de trouver nul, un film que d'autres apprécient, ou inversement. C'est plutôt de traiter de nuls ceux qui ont une opinion différente ...
    inconnu(e)
    Comment a t'on pu laisser faire un film aussi raté et vaniteux que celui-ci ? Comment des crétins ont-ils pu applaudir au chef-d'œuvre pour une œuvre aussi mal montée ? Toute une cérémonie des Césars pour ça ? Mais on va sûrement nous faire croire que c'est un film hautement intellectuel avec des scènes qui n'ont rien à voir avec le sujet; des acteurs sans aucune envergure et que le spectateur moyen ne peut rien y comprendre ..... Donc vive la stupidité!
  • PRETTY WOMAN (1990)
    Réponse à signature non-référencée
    avec ou sans les pépins ?
    signature non-référencée
    Richard Gere a un beau cul, Julia Roberts de belles fesses et tous les deux jouent fort bien. Un film chiraquien avant l'heure. A redécouvrir d'urgence ! POMME PIDOUX.
  • ATTACHE-MOI ! (1989)
    Réponse à inconnu(e)
    Je vois que vous ne lisez pas les critiques de TOUS les films d'Almodovar. Au contraire, nous avons adoré ces premières œuvres, ce n'est plus le cas, maintenant. Mais rien n'est définitif par rapport à ses productions à venir ....
    inconnu(e)
    Très bon film, mais un peu surprenant... Je vois que vous n'aimez pas beaucoup les films d'Almodovar.
  • KES (1969)
    Réponse à inconnu(e)
    Vous avez parfaitement raison ; la seule différence notable est que l'école de Prague avait moult difficultés pour contourner la censure, ce que Ken Loach n'a jamais eu à faire. Mais la démarche d'un cinéma "naturaliste-social" est la même, avec un bonheur identique ....
    inconnu(e)
    Oui, vraiment Loach est un cinéaste exemplaire ... Il a également une indéniable filiation avec le réalisme tchèque de la grande époque de Forman et consorts (« Les amours d'une blonde », « L'as de pique » etc. ) qu'en pensez-vous ?