Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 49 films notés

Page 47 sur 332 (16566 critiques au total)

  • BOULEVARD DE LA MORT (2007)
    Note : 11/20
    Vraiment pas de quoi faire exploser l'applaudimètre avec cette réalisation lourdement binaire, déversant une pesante logorrhée artificielle de rodomontades pseudo-féminines qui se veulent croustillantes et libérées, dans une oeuvre fastidieuse et interminable se définissant comme un hommage parodique et transcendé au cinéma de série Z, sans bien sûr en revendiquer la banale médiocrité afférente à ce genre de production sérigraphé "drive-in" populeux et populaires.
  • LA MAITRESSE DU VAMPIRE (1960)
    Note : 10/20
    Deux longues séquences de danse plutôt suggestive voire lascive, qui en ce début des années 1960 devaient fort titiller la libido des spectateurs mâles et coincés de l'époque, ne suffisent pas à densifier cette oeuvre vampirique fort longuette, au scénario mille fois réitéré dans de pesantes et plutôt banales productions similaires. Reste une excellente photographie en noir et blanc, souvent d'une morbide poésie.
  • INSIDE MAN (2006)
    Note : 16/20
    D'une brillante originalité sophistiqué, avec son élégante construction scénaristique oscillant entre percutant thriller à la redoutable efficacité et clairvoyante radiographie d'une société américaine en plein doute et questionnements, une oeuvre paradigmatique du genre qui laisse une indéfectible trace dans la mémoire, comme un petit diamant trouvé subrepticement dans une poche de veste.
  • PIRATES DES CARAÏBES : LE SECRET DU COFFRE MAUDIT (2006)
    Note : 13/20
    Des scènes bien enlevées, drôles et même parfois originales, mais aussi de lourdes longueurs scéniques fort préjudiciables au rythme et à l'ambiance de l'ensemble.
  • THE DARK (2005)
    Note : 13/20
    Plutôt correcte dans sa réalisation et son interprétation, évitant les gros effets faciles, une oeuvre fantastique bienvenue qui manque pourtant cruellement de poésie, la noire, celle qui tremble et s'agite au fond de notre lointaine mémoire amibienne.
  • MIAMI VICE - DEUX FLICS À MIAMI (2006)
    Note : 10/20
    Peu de suspense, d'évidentes longueurs et de gênantes inerties dans l'action et le suspense, pour un scénario lourdement monolitique, dans un ensemble pas vraiment désagréable, mais qui finalement s'oublie très vite.
  • LES PROTOCOLES DE LA RUMEUR (2005)
    Note : 13/20
    L'oeuvre est certes nécessaire et incontournable, mais manque cruellement d'efficacité et de rigueur dans sa courageuse dénonciation. On songe à ce qu'aurait fait un Claude Lanzmann aux commandes d'un tel scénario.
  • TED BUNDY (2002)
    Note : 10/20
    Hélas, Matthew Bright n'est pas Richard Brooks et l'insistance visuelle sur les meurtres devient vite fastidieuse et bien sûr inutile. On pouvait sans peine s'en douter.
  • QUI A DIT QUE NOUS ÉTIONS MORTS ? (2006)
    Note : 10/20
    On ne peut pas dire qu'on fait dans la dentelle arachnéenne et le raffinement extrême, même si le réalisateur revendique l'ambiance et la texture de la commedia del'arte à la mode transalpine, on tapine plutôt du coté de la grosse et lourde farce et de l'humour poussif et simpliste. Peut-être pas le plus subtil et le plus efficace moyen pour défendre la corsitude, le cismontano et l'oltramontano.
  • TRANSYLVANIA (2006)
    Note : 14/20
    Tony Gatlif continue avec fougue et tenacité son petit bout de chemin parmi le peuple des errants et les trop humains en recherche de paix et d'harmonie.
  • LES CHEMINS DE SAN DIEGO (2006)
    Note : 14/20
    Sympathique road-movie sud-américain, confirmant une évidente renaissance d'un certain cinéma argentin de proximité, entre tranquille poésie de l'ordinaire et tendre regard sans mièvrerie ni complaisance sur des personnages chaleureusement simples et quotidiens (ou simplement chaleureux) une oeuvre fragile et sereine, réalisée sans grand moyens techniques, mais emprunte de beaucoup de délicatesse et de légèreté, qui a foi dans la constante générosité de la nature humaine.
  • NAUSICAÄ DE LA VALLÉE DU VENT (1984)
    Note : 17/20
    Un chef-d’œuvre incontournable, entre poésie, tendresse et message écologique, qui mit vingt-deux ans à sortir sur nos écrans, pour notre plus grand bonheur.
  • LE BONHEUR D'EMMA (2006)
    Note : 16/20
    Une étonnante et lumineuse seconde oeuvre, confirmant à nouveau l'éclatant renouveau d'un cinéma allemand longtemps moribond, fragile et brutale comme la vie et ses nombreux aléas existentiels, incertaine et débordante comme un désarmant sourire désarmé, violente et radicale comme une longue lame acérée qui vous délivre, enfin. Le bonheur d'Emma, c'est aussi le nôtre.
  • LES YEUX CLAIRS (2005)
    Personnage émouvant sans cesse en contact primaire avec la vie. Magnifique passage d’errance en pleine nature. S’agit-il d’une renaissance ?
  • LE CAIMAN (2006)
    Note : 15/20
    Cyniquement consciencieux et ironiquement vigilant comme toujours, Nanni Moretti dénonce avec un humour acide et une bienvenue sagacité les scandaleuses dérives inévitables qui s'énoncent et s'affirment quand trop de pouvoirs (politique, médiatique, juridique, financier) se cristallisent sur une personne, dans une seule main, que se soit un fat Berlusconi, un narcissique Poutine ou un agité Sarkozy.
  • LES ANGES EXTERMINATEURS (2006)
    Note : 9/20
    Une intéressante et noble quête, totalement galvaudée par une flagrante hypocrisie, pour une oeuvre lourdement inutile dans sa médiocre auto-justification et son patent et constant ridicule. Pour notre part, on aime plutôt les gros cochons qui s'assument, loin des pseudos-plaidoyers fallacieux, entre faconde libidineuse, apitoiement narcissique et faux martyre médiatique dans lesquels se complaît et se morfond un piteux cinéaste.
  • GOODBYE E AMEN (1977)
    Note : 13/20
    On retiendra les dix dernières minutes, d'une brillante efficacité dans le suspense et hautement dénonciateur des magouilles et des perfidies des services secrets.
  • JE VAIS BIEN, NE T'EN FAIS PAS (2006)
    Note : 15/20
    Une oeuvre profondément émouvante, traversée par la beauté et la densité des élans du coeur (paternel, fraternel, amoureux) avec d'excellents acteurs bienvenus et convaincants, à la présence certaine.
  • LE MIROIR DE LA SORCIERE (1960)
    Note : 10/20
    Production fauchée, comme la majeure partie des réalisations mexicaines du genre et de l'époque, tournée en noir et blanc et flirtant du coté des mains d'Orlac qui véhicule et accumule allègrement certains thèmes disparates et récurrents du fantastique.
  • L'EQUIPIER (2004)
    Note : 15/20
    De film en film, Philippe Lioret s'affirme comme un metteur en scène incontournable qui, avec finesse et discrétion, aborde l'essence même des relations humaines, avec une nette prédilection pour les déchirements et les proximités affectives, sans aucune lourdeur pseudo-existentielle ni pathos surdimensionné. Beaucoup de discrétion dans le filmage pour une efficacité optimale.
  • PERSEPOLIS (2007)
    Note : 15/20
    Grand Prix Spécial du Jury 2007 au festival de Cannes, ex-aequo avec le film de Carlos Reygadas : "Lumière silencieuse", ce solide long métrage d'animation français, adapté d'une série de bandes dessinées devenue depuis peu culte qui fut éditée en quatre tomes entre les années 2000 et 2003, largement autobiographique, manie avec dextérité un humour désabusé, sur fond de pertinente dénonciation des errements de la petite et de la grande histoire ; celle d'une sympathique gamine qui s'éveille à la vie et celle d'un pays humilié qui s'éteint à la liberté, sans lourdes images de synthèse ni calamiteuse exubérance d'effets spéciaux et spécieux.
  • PRIVILÈGE (1966)
    Note : 17/20
    D'une violence éthique et morale inouïe, traversée d'une radicalité inhumaine et vomitive, cette oeuvre majeure de Peter Watkins, profondément visionnaire, dénonce un scandaleux état de fait et de culture, largement entré dans les moeurs et les outrances, aujourd'hui et à tout jamais, assujetti aux sonnantes exigences du business.
  • LE MARI (1957)
    Note : 12/20
    Teintée d'une sympathique misogynie bon enfant, une insidieuse diatribe matrimoniale qui se regarde avec ravissement et volupté entre une fraîche rupture sentimentale et une spacieuse et divine période d'allègre et nombriliste célibat.
  • FLANDRES (2006)
    Note : 17/20
    C'est avec une revêche et bienheureuse habitude que les réalisations de Bruno Dumont nous agrippent, laissant le coeur en charpie et l'esprit en effervescence.
  • DON'T TAKE IT TO HEART (1944)
    Note : 12/20
    Petite comédie confidentielle, inédite dans l'hexagone qui promène un humour largement britannique décelable jusque dans l'ironie de certains dialogues.
  • LE VENT SE LÈVE (2006)
    Note : 17/20
    Sobriété, efficacité, émotion, dans une percutante dénonciation, limpide, lucide et politiquement assumée d'un dramatique épisode de l'histoire irlandaise.
  • NADINE (2007)
    Note : 14/20
    Tourné en noir et blanc, avec juste deux plans en couleur, une oeuvre pessimiste et sombre qui flirte du coté du documentaire, entre désespérant constat social et suffocante appréhension des rapports humains...
    "J’ai cherché à raconter l’histoire et l’existence solitaire d’une adolescente, Nadine, à travers un récit réaliste et dépouillé. Bien des jeunes, aujourd’hui, ne savent pas comment faire face aux responsabilités, au fait de mûrir dans un monde qui, de plus en plus frileusement, se détourne de la question du sens de la vie. À la question "qui suis-je ?" répond un silence assourdissant et s’ouvre un abîme indicible. Ce film trouve son identité dans une fusion de réalisme et de fable allégorique. Son style proche du documentaire (longs plans-séquence, lents travelling…) renforce la sensation de réalisme pour esquisser un portrait de l’adolescence qui se veut à la fois compatissant et brutal." (Notes du réalisateur).
  • CHACUN SA NUIT (2006)
    Note : 5/20
    Une daube cinématographique, pour un scénario issu d'un fait divers défrayant la chronique de l'époque qui sidère par la médiocrité bêtifiante de l'ensemble.
  • LONDON TO BRIGHTON (2006)
    Note : 15/20
    Une étonnante actrice, à la présence certaine (Georgia Groome) pour une oeuvre bien maîtrisée, sans pathos excessif ni voyeurisme complaisant dont les terrifiantes zones d'ombres illuminent le film de son noir halo de désespoir humain et social.
  • LES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES (2006)
    Note : 12/20
    Rarement personnage plus odieux (et finalement douloureusement pathétique) fut ainsi montré au cinéma, dans une production teutonne plutôt incertaine et bancale, somme toute sans réel intérêt ni envergure cinématographiques.
  • SANS PEUR ET SANS REPROCHE (1939)
    Note : 10/20
    Si l'on reste strictement cantonné dans la prestation humoristique du facétieux W.C. Fields, les soixante-seize minutes du film restent supportables. Mais s'il l'on prend en compte (et ce n'est pas vraiment possible de l'éviter) le stupide humour environnant, la médiocrité de certains trucages et la viduité scénaristique de l'ensemble, on ne peut que fuir cette triste pochade, "sans peur et sans reproche".
  • LE RAMONEUR DES LILAS (1998)
    Note : 8/20
    C'est bête et quelconque, se croyant subtil mais d'un prétendu humour introuvable.
  • L'EXORCISME D'EMILY ROSE (2005)
    Note : 11/20
    Entre quelques insipides séquences de transes à connotation pseudo-satanique et de longues plages statiques agrémentées d'un fastidieux blabla médico-juridico-religieux, on se retrouve finalement, après cent-dix-neuf minutes de lourdes confrontations idéologico-mystiques, posséder par un ennui tenace et définitif, sans aucune rémission ni absolution possibles. Autant voir ou revoir l'excellent film allemand de Hans-Christian Schmid, "Requiem" sur la même discutable thématique.
  • GOOD BOYS USE CONDOMS (1998)
    Note : 12/20
    Réalisé par l'épouse du metteur en scène Gaspard Noé, dans un but pédagogique et didactique, dans la lutte contre le sida, l'essentiel du message véhiculé pour le court métrage est de changer de préservatif à chaque nouvelle partenaire, dans une relation multiple.
  • MINES DE RIEN (1940)
    Note : 12/20
    Le festival W.C. Fields est bien réel et constant dans la durée de "l'exercice", à peine 72 minutes de projection. Reste tout de même à être sensible à ce comique quelquefois besogneux, souvent sans génie ni grandeur humoristiques. Question de goût, de décontraction et de disponibilité. On peut apprécier, mine de rien.
  • INNOCENCE (2004)
    Note : 14/20
    Un ensemble de prime abord fort séduisant et mystérieux qui tourne finalement un peu à vide, où se côtoient pusillanimes ébranlements pubertaires et lointains mythes ancestraux, avec un charme certain et un bonheur discutable.
  • LA LEON (2007)
    Note : 15/20
    D'une extraordinaire plasticité visuelle, arborant un époustouflant noir et blanc originel, une oeuvre intemporelle, austère jusqu'à l'épuisement, figée dans sa mortelle lassitude environnementale, qui véhicule en profondeur, sans aucune frilosité, quelques inéluctables et classiques schèmes (dé)structurant toute relation humaine, comme le désir et la peur, la violence, la vengeance et la haine.
  • SODOMITES (1998)
    Note : 7/20
    Se voudrait didactique, se retrouve ridicule !
  • C.R.A.Z.Y. (2005)
    Note : 13/20
    Malgré une longueur quelque peu préjudiciable, cette oeuvre plaisante et habile, aux situations finement observées, joyeusement croquées, nous laisse un agréable souvenir durable, rappelant avec bonheur l'incandescente poésie (ici souvent absente) de l'admirable film de Jean-Claude Lauzon : "Leolo" quelque peu oublié.
  • CARMEN (1933)
    Note : 13/20
    Une adaptation plutôt drôle et facétieuse.
  • LA VENDEUSE DE CIGARETTES DU MOSSELPROM (1924)
    Note : 16/20
    Considérée pour certains comme la première comédie soviétique, cette oeuvre souvent espiègle et cocasse, fut un étonnant succès populaire, malgré une critique désastreuse des stupides apparatchiks du Kremlin, jugeant le film inutile et médiocre à cause de son excessif éloignement des stricts et réglementés canons politiques et révolutionnaires de la cinématographie soviétique de l'époque. Grâce à la précieuse Cinémathèque de Toulouse qui détenait une copie du film en provenance du Gosfilmofond (les archives cinématographiques russes) et du méticuleux travail de restauration mis en chantier par le laboratoire "L'immagine Ritrovata" de Bologne, nous pouvons maintenant visionner cette oeuvre excellente, déjà projetée au Festival International du Film de La Rochelle (2007) dont une copie dvd est enfin disponible.
  • PAPAGENO (1935)
    Note : 14/20
    C'est frais, léger et distrayant.
  • HULA (1927)
    Note : 16/20
    Une superbe Clara Bow, en demoiselle délurée, puis en femme transfigurée, pour une bienvenue comédie sentimentale plaisante, sereine et d'une complice proximité.
  • VARAN (1958)
    Note : 13/20
    Oeuvre sympathique du maître du genre, aux trucages hélas souvent trop visibles.
  • DIE HARD 4 : RETOUR EN ENFER (2006)
    Note : 14/20
    Pour qui veut de l'action et encore de l'action, pas de problèmes, le service flirte avec le cinq étoiles, à condition que l'on se désintéresse de toute crédibilité et autre vraisemblance et que l'on oublie de faire fonctionner ses neurones. Ce qui ne devrait pas être d'une extrême difficulté en ce début d'été versatile.
  • LA SCIENCE DES RÊVES (2005)
    Note : 8/20
    Vraiment pas de quoi s'évader ou rêvasser dans cette stupide pochade post-adolescente d'une confondante bêtise qui fera, comme de bien attendu, crier certains au nouveau petit génie de la cinématographie française.
  • ADRÉNALINE LE FILM (4) (1990)
    Note : 11/20
    Scénario bêtement absurde et stupidement méchant, d'une vaine gratuité.
  • L'HOMME À L'AFFUT (1952)
    Note : 17/20
    Excellent film noir américain avec un dernier quart d'heure anthologique.
  • ADRÉNALINE LE FILM (5) (1989)
    Note : 14/20
    Du fantastique contestataire fort bienvenu !
  • LA SIXIÈME VICTIME (1999)
    Note : 13/20
    Même si tout cela manque de finesse, suintant l'hémoglobine et le carnage à outrance, et véhicule tous les stéréotypes du genre, on peut se laisser tenter.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
NAUSICAÄ DE LA VALLÉE DU VENT (1984) 17
PRIVILÈGE (1966) 17
FLANDRES (2006) 17
LE VENT SE LÈVE (2006) 17
L'HOMME À L'AFFUT (1952) 17
INSIDE MAN (2006) 16
LE BONHEUR D'EMMA (2006) 16
LA VENDEUSE DE CIGARETTES DU MOSSELPROM (1924) 16
HULA (1927) 16
JE VAIS BIEN, NE T'EN FAIS PAS (2006) 15
L'EQUIPIER (2004) 15
LE CAIMAN (2006) 15
PERSEPOLIS (2007) 15
LONDON TO BRIGHTON (2006) 15
LA LEON (2007) 15
TRANSYLVANIA (2006) 14
INNOCENCE (2004) 14
PAPAGENO (1935) 14
LES CHEMINS DE SAN DIEGO (2006) 14
NADINE (2007) 14
DIE HARD 4 : RETOUR EN ENFER (2006) 14
ADRÉNALINE LE FILM (5) (1989) 14
PIRATES DES CARAÏBES : LE SECRET DU COFFRE MAUDIT (2006) 13
CARMEN (1933) 13
VARAN (1958) 13
LA SIXIÈME VICTIME (1999) 13
THE DARK (2005) 13
LES PROTOCOLES DE LA RUMEUR (2005) 13
GOODBYE E AMEN (1977) 13
C.R.A.Z.Y. (2005) 13
LES PARTICULES ÉLÉMENTAIRES (2006) 12
GOOD BOYS USE CONDOMS (1998) 12
LE MARI (1957) 12
DON'T TAKE IT TO HEART (1944) 12
MINES DE RIEN (1940) 12
BOULEVARD DE LA MORT (2007) 11
L'EXORCISME D'EMILY ROSE (2005) 11
ADRÉNALINE LE FILM (4) (1990) 11
LA MAITRESSE DU VAMPIRE (1960) 10
MIAMI VICE - DEUX FLICS À MIAMI (2006) 10
TED BUNDY (2002) 10
QUI A DIT QUE NOUS ÉTIONS MORTS ? (2006) 10
LE MIROIR DE LA SORCIERE (1960) 10
SANS PEUR ET SANS REPROCHE (1939) 10
LES ANGES EXTERMINATEURS (2006) 9
LE RAMONEUR DES LILAS (1998) 8
LA SCIENCE DES RÊVES (2005) 8
SODOMITES (1998) 7
CHACUN SA NUIT (2006) 5