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LA MAITRESSE DU VAMPIRE-1960-
Nationalité : Italie
Titre VO : L'amante del vampiro
Durée : 1h23
Film Inédit en salle en France
Genre : FANTASTIQUE
Themes
Vampires
- cinéma italien -
Danse
- cinéma italien -
Résumé
Une jeune paysanne prénommée Brigida se fait violemment agresser par un nocturne vampire, en allant chercher de l'eau près d'une cascade proche de la ferme parentale. Une brutale exaction de plus en plus fréquente dans la région, surtout en période de pleine lune. Ces mordants faits divers ne semblent guère déranger les pensionnaires de la spacieuse villa de Crescenzio, une troupe de pimpantes danseuses dirigées par l'imposant chorégraphe Giorgio. Un soir, pris dans un orage, deux jeunes filles de la petite communauté, Luisa, Francesca et le fiancé de cette dernière, un certain Luca, pénètrent, pour se protéger des intempéries, dans un château qu'ils croyaient désaffecté depuis des années et y font connaissance avec la comtesse Alda et son supposé domestique, répondant au nom de Herman, en fait deux authentiques vampires. Ce dernier contamine Luisa en la mordant sauvagement alors que la mystérieuse aristocrate tente de séduire le jeune garçon, l'invitant à revenir la nuit prochaine pour faire plus ample et plus intime connaissance. Elle lui avouera être sous l'emprise possessive de son compagnon, sans lui dévoiler son besoin fréquent de sang frais, fourni par le zélé Herman. Une nuit, Luisa, désormais esclave et soumise aux maléfiques créatures, attire Francesca au château, mais Luca et Girgio accourent à son aide. Elle mourra finalement exsangue, alors que les deux vampires se désintègrent inexorablement aux premières lueurs de l'aube naissante.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 10/20
Deux longues séquences de danse plutôt suggestive voire lascive, qui en ce début des années 1960 devaient fort titiller la libido des spectateurs mâles et coincés de l'époque, ne suffisent pas à densifier cette oeuvre vampirique fort longuette, au scénario mille fois réitéré dans de pesantes et plutôt banales productions similaires. Reste une excellente photographie en noir et blanc, souvent d'une morbide poésie.
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