Deux longues séquences de danse plutôt suggestive voire lascive, qui en ce début des années 1960 devaient fort titiller la libido des spectateurs mâles et coincés de l'époque, ne suffisent pas à densifier cette oeuvre vampirique fort longuette, au scénario mille fois réitéré dans de pesantes et plutôt banales productions similaires. Reste une excellente photographie en noir et blanc, souvent d'une morbide poésie.