Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 48 films notés

Page 31 sur 332 (16566 critiques au total)

  • DIRECTION NOWA-HUTA (1951)
    Note : 10/20
    Et la pesanteur idéologique !
  • MÉGALOPOLE (1974)
    Note : 14/20
    Trente cinq années plus tard, Sao Polo est considérée comme la cinquième aire urbaine la plus grande au monde et Rio de Janeiro occupe la quatorzième place mondiale avec 12 millions d'habitants. Un malström d'individus et d'activités menant vers une folle tératologie humaine irrépressible.
  • GRANDDAD (1913)
    Note : 13/20
    Fort étonnamment la prude Amérique, loin de fustiger le vieux poivrot, prend fait et cause pour son histoire et sa situation, l'héroïsme primant ainsi sur l'alcoolisme.
  • FIANCÉS PAR ERREUR (1930)
    Note : 14/20
    De loin, une des meilleures réalisations mettant en scène et en action le célèbre duo scandinave, mais qui n'arrive hélas jamais à la tonicité et à la finesse de leur alter ego yankee, Laurel et Hardy, une autre paire de comiques magnifiquement inoubliable.
  • GLASS (2018)
    Note : 14/20
    On ne peut dénier à l'ensemble une certaine cohérence, même si quelques séquences peuvent paraître incompréhensibles ou alambiquées au vu des dix-huit années qui séparent le début et la fin de la réalisation de la trilogie.
  • PARIS BY NIGHT OF THE LIVING DEAD (2009)
    Note : 7/20
    Hormis les trucages, l'ensemble est sans intérêt, prétentieux et inutile.
  • CRIMSON PEAK (2015)
    Note : 15/20
    Mélange délicieusement amer entre gothique et fantastique, dans une étonnante et fastueuse scénographie angoissante et pourpre, sur fond d'horribles forfaits incestueux et meurtriers, pour un conte noir digne des grands romans anglais du genre.
  • THE HARVEST (2013)
    Note : 15/20
    D'un méphitique machiavélisme médical et parental, scrupuleusement entretenu par un scénario sournois et pervers à souhait, une œuvre incisive et réussie dont l'intérêt est rehaussé par une interprétation haut de gamme des principaux acteurs.
  • DER UNTERGANG DER TITANIC (1912)
    Note : 11/20
    Loin d'être méprisable !
  • ENGLISH REVOLUTION (2013)
    Note : 10/20
    On aura beau gloser sur l'étrange folie qui traverse l'oeuvre de part en part, échafaudant quelques scènes d'une étrange fascination hypnotique, pointer avec raison une étonnante plasticité visuelle qu'un magnifique noir et blanc rehausse et radicalise ou bien encore notifier l'étonnante interprétation de l'ensemble des acteurs, entre subtile composition décalée, inquiétante dérive fantastique teintée d'absurdité et de folie permanentes, il faut avant tout savoir raconter une histoire, ce que Ben Wheatley ne sait plus faire, engoncé dans une possible prétention narcissique et grandiloquente qui n'augure rien de bon pour ses prochaines créations.
  • SINDBAD (1971)
    Note : 16/20
    Rarement œuvre cinématographique aura approché la nature avec une telle sensualité festive. Forêts environnantes, neige et glace saisonnières, feuilles mortes, insectes et lumières, dans un permanent hymne à la nature merveilleusement mis en images et en résonance par le sublime chef-opérateur Sandor Sara. Devant tant de magnificence luxurieuse et d'ivresse visuelle, dénotant une insatiable et débordante joie de vivre, malgré la vieillesse et la mort qui se positionnent fièrement au quotidien, on est en étonnement et en interrogation devant le sombre mystère du décès volontaire de l'acteur principal Zoltán Latinovits et quelques années plus tard de celui du cinéaste Zoltán Huszárik, peut-être décelé dans le commentaire désabusé et serein d'un des personnages du film qui affirme que "la vie n'est qu'une suite de beaux mensonges".
  • MÜLHEIM (RUHR) (1964)
    Note : 16/20
    De l'école au cimetière, en passant par la case football, une existence lugubre dans l'atmosphère glauque de quelques usines encore en activité, le bonheur allemand de la réussite.
  • EL REINO (2018)
    Note : 15/20
    Sur fond de prévarication intensive et protéiforme, une constante et solide dénonciation, toute en efficace impétuosité excavatrice, un thriller politique qui rappelle avec bonheur un genre transcendé par le cinéma transalpin des années 1970.
  • UNE FEMME EN HABIT (1926)
    Note : 16/20
    Encore une étonnante production suédoise projetée aux désormais fameuses Journées du Cinéma Muet de Pordenone (2013) réalisée par une personnalité artistique de son pays beaucoup plus connue pour ses prestations d'actrices que pour ses rares mises en scène (4), qui pointe avec humour et conviction les lourdeurs et les aigreurs d'un monde machiste sclérosé, entretenu et soutenu, en toute bêtise et conviction, par une horde de marâtres grassouillettes et de rachitiques vieilles filles survoltées.
  • POUVEZ-VOUS VOUS PASSER DE MOI ? (1932)
    Note : 14/20
    C'est souvent drôle et humoristique, malgré l'inévitable mainmise finale de la rigide censure d'état qui se devait de faire de ce lieu collectif de réfection soviétique, une nouvelle preuve indéniable de l'efficacité du socialisme triomphant.
  • AM SIEL (1962)
    Note : 16/20
    D'une évidente poésie mélancolique, teintée d'ironie et de fatalisme !
  • VITA BREVIS (2014)
    D'une évanescente beauté fragile, en fluettes métamorphoses volatiles, ces insectes éphémères ont la grâce et la beauté des œuvres de Thierry Knauff.
  • SETRELE PISMO (1920)
    Note : 10/20
    On ne peut vraiment pas dire que l'on ressort ravi ou seulement enchanté de cette histoire poussive et tortueuse d'où seule émerge la fragile beauté d'Anny Ondra.
  • LE ROYAUME (2007)
    Note : 16/20
    D'une rare pertinence et d'une redoutable efficacité, cette quatrième réalisation de l'acteur Peter Berg propose une percutante lecture, souvent proche du documentaire, du dramatique conflit au Proche-Orient, alimenté par de sordides visions géopolitiques et entretenu en profondeur et en durabilité par un esprit de haine, de vengeance et de ressentiment, dans les deux camps, fort justement évoqué en épilogue du film.
  • LA PLANÈTE DES SINGES : SUPRÉMATIE (2017)
    Note : 9/20
    Neuvième mouture d'une stagnante et percluse saga adaptée du fameux roman de Pierre Boulle, qui s'enfonce et s'enlise dans des marécages d'ineptie et de fatuité avec ses insipides séquences d'une lourdeur faramineuse teintée de ridicule et de mièvrerie.
  • APRIL SNOW (2005)
    Note : 15/20
    Sur une trame proche du film de Sidney Pollack, dans sa variante aérienne, cette discrète production sud-coréenne manie avec un doigté certain et une finesse remarquable, tous les éléments mélodramatiques d'un scénario plutôt banal, pourtant galvanisé par une émouvante interprétation des deux principaux acteurs.
  • CHYT'TE HO ! (1925)
    Note : 13/20
    Petite comédie policière d'origine tchécoslovaque fort entraînante, qui ne se prive pas de nous offrir quelques gags bienvenus, avec une atmosphère fort proche des slapsticks américains et un inévitable happy end romantique.
  • UNE POULE MOUILLÉE (1920)
    Note : 14/20
    Menée à un rythme débonnaire et souriant, avec un Douglas Fairbanks visiblement enchanté par son personnage de poule mouillée qui se métamorphose en héroïque redresseur de torts, l'œuvre vaut surtout par un impressionnant éboulement d'un gigantesque pan de montagne filmé avec un réalisme et une pertinence extraordinaires.
  • ALPS (2011)
    Note : 16/20
    Entre un discret humour grinçant et un abyssal vertige existentiel, émiettant avec délectation une réalité souvent ordinaire et banale pour en faire, dans une absurdité désormais vécue comme une normalité quotidienne, une nouvelle réalité, un autre monde, d'une effarante proximité qui dans son individualité est encore considéré aujourd'hui comme la manifestation d'un dérangement de l'esprit et qui dans une globalité sociétale dérive gaillardement vers l'autocratisme, le fascisme et la dictature.
  • BEAU (2011)
    Note : 11/20
    On reste bien dubitatif quant au final de ce court métrage bien sibyllin.
  • GRAVITY (3D) (2013)
    Note : 16/20
    Impossible de se voiler la face, le spectacle proposé nous immerge dans une fulgurance visuelle époustouflante que la discrète utilisation de la prise de vue en relief ne fait que consolider dans sa dimension sidérante et sidérale. Nous sommes effectivement en présence d'une fascinante plongée dans le cosmos environnant, avec aux avant-postes scénographiques, notre planète si belle et si bleue, perdue dans l'immensité céleste. Mais quand on prend conscience que toute cette effarante beauté n'est que le fruit d'un art émérite des trucages et que sorti du charme visuel de l'ensemble, on se retrouve en face d'un scénario classique et lourdement basique, l'enthousiasme peut se tempérer, se relativiser, en toute sérénité.
  • UNE NUIT TRÈS MORALE... (1977)
    Note : 14/20
    Une œuvre cinématographique bienvenue, à l'atmosphère éthérée et nostalgique qui rappelle avec un certain bonheur les écrits romanesque d'un Tchekhov et que l'interprétation de la plupart des protagonistes rehausse et peaufine admirablement.
  • FATHER OF A SOLDIER (1965)
    Note : 15/20
    Une heureuse et positive conjonction cinématographique (un acteur imposant et un réalisateur talentueux) a suffi pour produire ce bienvenu film géorgien par-delà l'habituel et sempiternel hymne au courage du combattant soviétique, ici mis en sourdine et catimini, sans débordement excessif et plastronneur.
  • DANS LA BRUME (2017)
    Note : 14/20
    Malgré quelques invraisemblances psychologiques et scénaristiques, l'ensemble ne manque pas d'air, dans un genre cinématographique peu fréquent dans les réalisations hexagonales et dont les réussites restent plutôt peu nombreuses.
  • SOUS LE LAMPADAIRE (1928)
    Note : 18/20
    Une fastueuse et bouleversante illustration du mélodrame allemand durant la période des années 1920 dont ce film de Gerhard Lamprecht (et quelques autres de ses réalisations) représentent la magistrale quintessence d'un style et d'un genre qui sans cesse dénonce et fustige une société injuste et profondément inégalitaire, dont les premières victimes sont toujours les enfants, les femmes et les pauvres.
  • THE PLEASURE OF BEING ROBBED (2008)
    Note : 6/20
    La face pesante et saumâtre d'un certain cinéma prétendu indépendant, certes des grands majors yankees, mais non de la prétention narcissique et de la viduité cinématographique, qui propose, à défaut d'imposer, un scénario translucide, inexistant et d'une fadeur hautement émétique, non dénué d'un certain ridicule.
  • QUE DIOS NOS PERDONE (2016)
    Note : 15/20
    Thriller hispanique efficace et souvent percutant qui ne se contente pas de montrer crûment la frénésie maladive d'un serial killer mais assimile ce déchaînement de violence et de mort à un épiphénomène de société qui contamine en profondeur même les éléments les plus amènes à lutter contre cette prolifération d'une sauvagerie institutionnelle, telles la police, l'église, la politique qui la banalisent quotidiennement.
  • MEURS, MONSTRE, MEURS (2018)
    Note : 12/20
    Par sa sournoise atmosphère ésotérique, à la lisière entre deux mondes, le film côtoie avec un certain bonheur l'inquiétante existence d'un ailleurs innommé (innommable ?), évoqué par Clément Cogitore et dans certains romans de Lovecraft que la monstrueuse créature de ce film évoque immanquablement.
  • POLYTECHNIQUE (2009)
    Note : 15/20
    Prenant comme point de départ historique, un dramatique fait divers qui s'est effectivement déroulé dans l'accueillante cité canadienne, le réalisateur ne se contente pas, comme les apparences pourraient le faire croire, d'un impassible et mécanique compte-rendu d'une horreur qui se banalise au fil des années et des pertes de repères, mais parvient dans son apparente distanciation avec l'événement, à rendre sensible, palpable le drame individuel vécu par les anonymes protagonistes et victimes présents dans ce violent malström de froide folie et de haine exacerbée.
  • LE FILS DE SAUL (2015)
    Note : 18/20
    Par un constant filmage en plans serrés, générés via l'utilisation d'une mobile steadicam qui permet des prises de vue rapprochées induisant une vision frontale de l'environnement immédiat perçu par le principal protagoniste, le réalisateur fomente chez le spectateur une insidieuse oppression narrative et visuelle d'une exceptionnelle et déstabilisante puissance émotionnelle. Cinématographiquement, une perturbante réussite qui soulève à nouveau la problématique morale de l'évocation de l'Holocauste, hors des créneaux du documentaire, par le biais de la représentation fictionnelle, quelque part obscène et immorale dans son "authentique" simulacre "artistique".
  • PREHISTORIC CABARET (2013)
    Note : 7/20
    Cinéma dit d'avant-garde, film connoté expérimental et foutage de gueule assuré !
  • MACHORKA-MUFF (1963)
    Note : 13/20
    Le passé nazi en discrète réhabilitation !
  • HEIMAT (2013)
    Note : 18/20
    Une oeuvre magique d'une phénoménale intelligence qui allie avec efficacité et dextérité, le compte-rendu politique d'une époque, l'exposé en finesse de quelques individualités confrontés aux vicissitudes historiques, une remarquable maîtrise scénaristique et une technicité époustouflante, avec quelques étonnantes et subtiles touches de couleur éparses d'une indéniable et troublante beauté...
    A mettre en parallèle, toute proportion gardée, avec l'intéressant film suédois du metteur en scène Jan Troell : "Les émigrants" réalisé en 1971.
  • SHERLOCK HOLMES (1916)
    Note : 15/20
    Longtemps considérée comme perdue, cette œuvre précieuse et rare, magnifiquement restaurée par la cinémathèque française, nous permet de revoir les traditionnels personnages de Conan Doyle adaptés au théâtre par William Gillette qui dans la foulée et l'enthousiasme de sa création, s'est aussi octroyé le rôle principal dans cette étonnante mise en scène redécouverte avec bonheur et contentement.
  • FEMINISME, RAFALE ET POLITIQUE (2013)
    Note : 2/20
    D'un intérêt inexistant et d'une insondable prétention.
  • WOMAN AT WAR (2017)
    Note : 16/20
    D'une évidente conviction communicative, avec une actrice convaincante dans son double rôle, ce second long métrage nordique fédère l'adhésion et l'enthousiasme de la plupart des spectateurs souvent conquis par le message écologique et politique énoncé. A noter l'originale et judicieuse façon d'incorporer dans la trame scénaristique du film, le groupe de musiciens de l'œuvre cinématographique.
  • LILLY TURNER (1933)
    Note : 15/20
    Une oeuvre étrange et amorale, comme un brumeux rêve éveillé, entre sensible psychologie humaine et généreuse irréalité des coeurs, qui à nouveau confirme l'excellence de William Wellman, décidément un grand metteur en scène.
  • L'ABOMINABLE HOMME DES NEIGES (1954)
    Note : 6/20
    Sur une thématique fantastique assez rarement abordée au cinéma, dont le meilleur exemplaire reste à ce jour la production britannique du surprenant Val Guest, le réalisateur, propre frère de Billy Wilder, nous propose une insipide et blafarde décoction faite d'approximations et de carton-pâte mâché, d'une ennuyeuse fadeur anesthésiante qui rappelle que le génie est tout, sauf héréditaire ou contagieux.
  • LES CAMPS DE CONCENTRATION NAZIS (1945)
    Note : 17/20
    Une horreur sans nom qui ne nécessite aucun commentaire.
  • LA PRINCESSE DU NEBRASKA (2007)
    Note : 11/20
    On peut rester parfaitement insensible, voire indifférent aux problèmes pataphysiques de ces insipides demoiselles, futilement attachées au paraître et aux apparences, déconnectées des réalités politiques et sociales de leur environnement et de leur pays. Car finalement, on s'ennuie fort de cette puérile agitation monolithique, à mille lieux d'un véritable et solide mal de vivre existentiel. De son coté, si notre inspiré metteur en scène Wayne Wang a l'intention, comme annoncé, de réaliser son prochain film avec une caméra intégré dans un téléphone portable, il est désormais sur la bonne lancée. Ne restera vraiment dans notre mémoire visuelle et sonore que la toute dernière scène du film et son insidieuse et lancinante mélopée.
  • ET PUIS LES TOURISTES (2007)
    Note : 14/20
    Sur la fragile et précieuse thématique de la préservation de la mémoire collective, contre l'oubli et le temps qui (tré)passe, une oeuvre bienvenue, jamais grinçante ni accablée, qui constate, sans amertume ni condamnation, avec une certaine gravité impuissante et débonnaire, que seule compte finalement la représentation ou la commémoration, au détriment du vécu et de la réalité.
  • E-CLIP-SE (1999)
    Le jour s'en va, la nuit s'en vient, puis, le jour revient.
  • LE PETIT LORD FAUNTLEROY (1921)
    Note : 15/20
    Excellente transposition d'un classique de la littérature enfantine, maintes fois adapté au cinéma, où la pétulante Mary Pickford interprète deux rôles différents : celui de Cédric et celui de la propre mère de ce dernier. Et pour les nombreux exégètes de la divine actrice, une curieuse anecdote : Madame de Bodamere qui interprète le personnage de Mrs Higgins, est en fait la propre domestique de Mary Pickford.
  • LA RÉGATE (2009)
    Note : 15/20
    Rarement film aura généré autant de violence et de tension larvées, avec autant d'acuité psychologique et d'efficacité scénique, dans une folle combinaison d'amour galvaudé et de mépris personnel. D'une redoutable efficacité technique dans le découpage au cordeau des plans de confrontation entre les deux protagonistes, avec un trio d'acteurs brillamment efficace où se distingue la radicalité toute en souffrance et en brutalité d'un Thierry Hancisse éblouissant, une première oeuvre de fiction prometteuse, qui suinte d'insondables douleurs autobiographiques dans la genèse et l'écriture d'un scénario vraiment impeccable.
  • RAFIKI (2009)
    Note : 14/20
    Sympathique production norvégienne pour jeune public, fort émouvante dans sa séquence parlementaire, qui évite toute mièvrerie et facilités scénaristiques.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
SOUS LE LAMPADAIRE (1928) 18
HEIMAT (2013) 18
LE FILS DE SAUL (2015) 18
LES CAMPS DE CONCENTRATION NAZIS (1945) 17
UNE FEMME EN HABIT (1926) 16
GRAVITY (3D) (2013) 16
SINDBAD (1971) 16
LE ROYAUME (2007) 16
MÜLHEIM (RUHR) (1964) 16
AM SIEL (1962) 16
ALPS (2011) 16
WOMAN AT WAR (2017) 16
LILLY TURNER (1933) 15
LE PETIT LORD FAUNTLEROY (1921) 15
LA RÉGATE (2009) 15
POLYTECHNIQUE (2009) 15
CRIMSON PEAK (2015) 15
SHERLOCK HOLMES (1916) 15
THE HARVEST (2013) 15
FATHER OF A SOLDIER (1965) 15
QUE DIOS NOS PERDONE (2016) 15
EL REINO (2018) 15
APRIL SNOW (2005) 15
ET PUIS LES TOURISTES (2007) 14
RAFIKI (2009) 14
MÉGALOPOLE (1974) 14
POUVEZ-VOUS VOUS PASSER DE MOI ? (1932) 14
UNE POULE MOUILLÉE (1920) 14
UNE NUIT TRÈS MORALE... (1977) 14
FIANCÉS PAR ERREUR (1930) 14
GLASS (2018) 14
DANS LA BRUME (2017) 14
CHYT'TE HO ! (1925) 13
GRANDDAD (1913) 13
MACHORKA-MUFF (1963) 13
MEURS, MONSTRE, MEURS (2018) 12
LA PRINCESSE DU NEBRASKA (2007) 11
DER UNTERGANG DER TITANIC (1912) 11
BEAU (2011) 11
ENGLISH REVOLUTION (2013) 10
SETRELE PISMO (1920) 10
DIRECTION NOWA-HUTA (1951) 10
LA PLANÈTE DES SINGES : SUPRÉMATIE (2017) 9
PARIS BY NIGHT OF THE LIVING DEAD (2009) 7
PREHISTORIC CABARET (2013) 7
L'ABOMINABLE HOMME DES NEIGES (1954) 6
THE PLEASURE OF BEING ROBBED (2008) 6
FEMINISME, RAFALE ET POLITIQUE (2013) 2