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THE PLEASURE OF BEING ROBBED-2008-
Nationalité : États-Unis
Titre VO : The pleasure of being robbed
Durée : 1h11
Date de sortie en France : 29/04/2009
Themes
Chiens
- cinéma américain -
Métro
- cinéma américain -
Taxis
- cinéma américain -
Récompenses
Prix d'Interprétation au Festival Entrevue de Belfort pour Eleonore Hendricks
Distributeur : Sophie Dulac Distribution
Visa d'exp. : 122813
Résumé
Elaine, âgée d'une bonne vingtaine d'années, sillonne les rues de la mégalopole de New-York, à longueur de journées et d'avenues avec comme principale occupation dilettante et fantasque de voler quelque chose, à portée de main ou de démangeaison kleptomane. Entre l'inconnue qu'elle aborde et qu'elle feint de connaître, à laquelle elle subtilise son sac à main et le quidam descendant d'un taxi auquel elle dérobe un énorme cabas fermé contenant finalement un petit chien et quatre chatons destinés à la gamine de ce dernier, les appropriations éclectiques et illicites s'accumulent. Quelques grains de raisin grappillés à l'étal d'une épicerie, une vague partie de ping-pong et la voilà carottant dans un bar de nuit fort animé, un autre sac contenant, entre autres, les clés d'une voiture dont elle va rechercher l'emplacement avec l'aide de Joshua, un vague copain croisé dans la rue. Après avoir enfin débusqué le véhicule, une spacieuse Volvo, le duo prend la poudre d'escampette, avec au volant Elaine, sans permis de conduire. Après avoir ramené le garçon chez lui à Boston, elle se retrouve le lendemain, arrêtée par deux policiers pour avoir fouillé les affaires d'une jeune femme dans un parc public et mise en garde à vue pour la journée, non sans avoir fait un détour avec les pandores au zoo du quartier pour récupérer un quidam importunant quelques animaux. Libérée le lendemain, dès sa sortie, elle subtilise un cd dans un magasin.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 6/20
La face pesante et saumâtre d'un certain cinéma prétendu indépendant, certes des grands majors yankees, mais non de la prétention narcissique et de la viduité cinématographique, qui propose, à défaut d'imposer, un scénario translucide, inexistant et d'une fadeur hautement émétique, non dénué d'un certain ridicule.
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Bibliographie