Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 50 films notés

Page 58 sur 332 (16566 critiques au total)

  • STILL LIFE (2006)
    Note : 15/20
    Des histoires du passé, bousculées par un incontrôlable présent cinétique, vers une Chine mondialisée où le ciel anticipe déjà les vaisseaux spatiaux de demain et qui rejette sous les eaux la nostalgique beauté de ce qui ne sera plus jamais. Et quand on aura déplacé les milliers d'orphelins de la modernité à tous crins, il ne restera peut-être plus que des mots oubliés et des plaisirs perdus (cigarette, vin, bonbon, thé) pour ne pas sombrer, corps et âme, dans le néant de l'uniformité programmée.
  • CET INNOMMABLE PETIT BALAI (1985)
    Note : 11/20
    Souvent hermétique et abscons.
  • L'AMI DE LA FAMILLE (2006)
    Note : 14/20
    Une étrange oeuvre transalpine, déconcertante et singulière qui se regarde et se dessine comme un (mauvais) rêve, avec ses histoires impossibles et ses "évidentes" irréalités incongrues et fantasques. Dommage que l'ensemble suinte trop la recherche presque systématique de l'effet visuel assuré, du contraste forcé et forcené dans le comportement insolite des individus en présence et la méthodique accumulation surréalisante de scènes ad hoc dans les moult péripéties scénaristiques.
  • ANAMORPHOSIS (1991)
    Note : 16/20
    Magnifiquement didactique !
  • DANS ARLES OÙ SONT LES ALYSCAMPS (1966)
    Note : 14/20
    C'est avec son lumineux et légendaire regard affuté que l'éminent Lucien Clergue parcourt cette immense nécropole dont le nom signifie en provençal "Champs Elysées", accompagné d'un texte magnifique de l'universitaire Pierre Bertaux.
  • LE CABINET DE JAN SVANKMAJER (1984)
    Note : 17/20
    D'une fascinante beauté formelle !
  • FRAYEURS (1980)
    Note : 11/20
    Un des films phare du gore transalpin qui, hélas, ne vaut pas d'éloges dithyrambiques malgré une allègre accumulation (dans la version non censurée) de scènes pseudo-vomitives, tripes et boyaux compris.
  • IL COURT, IL COURT LE MONDE (1987)
    Note : 11/20
    Pas vraiment de quoi "s'envoyer en l'air".
  • LA FAILLE (2006)
    Note : 12/20
    Retors et tordu à souhait (sauf pour le spectateur perspicace qui devine rapidement une partie de la manipulation initiale) le film ne déroule pas moins une lourde machinerie hollywoodienne, scandée et minutée avec efficacité et savoir-faire, pour un agréable divertissement quelque peu facile et laborieux, voire bancal, mais comme dit : "même une pendule cassée indique l'heure exacte, deux fois par jour".
  • CODE 46 (2003)
    Note : 9/20
    Comme les principaux protagonistes, on s'ennuie ferme dans cette médiocre pochade de science-fiction qui n'a même eu droit à une distribution dans les salles de l'hexagone. C'est dire. Cela se comprend parfaitement aux vues des quatre-vingt treize minutes de remplissage fastidieux et de bavardage inutiles.
  • IRINA PALM (2007)
    Note : 12/20
    Sujet original, hélas maltraité par d'inutiles redondances masturbatoires, une fastidieuse et banale musique rédhibitoire, une réalisation académique et normative, un humour facile, voire infantile (tennis elbow / pénis elbow) et un stupide happy end invraisemblable et vertueux. A la décharge du film (une façon de parler) l'excellente interprétation de Miki Manojlovic et la lumineuse présence de Dorka Gryllus. Ce qui reste le plus étonnant, voire consternant, affligeant, se passait finalement hors de l'écran, dans la salle, avec les insupportables et fréquents gloussements (?) intempestifs d'un large public essentiellement féminin (!).
  • DANGEREUSE INTENTION (1995)
    Note : 9/20
    Du niveau d'un médiocre téléfilm !
  • SPIDER-MAN 3 (2006)
    Note : 12/20
    Combien de passables moutures et autres inévitables suites bancales, d'adaptations médiocres et de resucées soporifiques, devrons-nous encore subir avant l'extinction définitive d'une pénible série qui se dessine comme bien prolifique ? Que revienne le temps béni de l'efficace et mortel dichlorodiphényltrichloroéthane !
  • GRIZZLY MAN (2005)
    Note : 13/20
    Werner Herzog, de moins en moins inspiré, s'est contenté de monter les rushes des prises de vue de l'appétissant énergumène, d'insérer de plats interviewes des vagues relations de ce dernier, sans une once d'analyse de son inconsciente démarche et de sa mortelle fascination pour les carnivores ursidés.
  • ZODIAC (2007)
    Note : 14/20
    Adaptation d'un sanglant fait divers, l'épuisante oeuvre de David Fincher (156 minutes) est loin de soulever l'enthousiasme auquel on aurait pu espérer. Certaines scènes s'étirent inutilement et leur fatigante prolongation n'apporte strictement rien à l'intrigue. Des longueurs donc, pesantes et fastidieuses, mais aussi un réel manque de densité psychologique pour la plupart des acteurs / protagonistes qui parcourent et traversent l'histoire comme on traverse hors des clous, en catimini, furtivement, comme pressés de se faire oublier, d'aller déjà sur un nouveau casting, se perdre sur un autre tournage. Pour notre part, on laissera benoîtement à d'autres le (be)soin pressant, de parler des "bons cotés du film" qui existent tout de même, sans ironie aucune.
  • LES DERNIERS JOURS DE MUSSOLINI (1973)
    Note : 14/20
    Fin d'un dictateur, à travers une vision plutôt objective des événements et de la situation historique, ce qui est tout à l'honneur de Carlo Lizzani.
  • DIPTYQUE (1967)
    Note : 15/20
    Deux mondes apparemment opposés. Mais le sont ils vraiment ?
    Ou tout simplement l'alpha et l'oméga de l'existence ?
  • EDVARD MUNCH OU LA DANSE DE LA VIE (1976)
    Note : 17/20
    Solide coproduction suédo-norvégienne incontournable !
  • PLUS VITE (1965)
    Note : 15/20
    D'une incontestable originalité graphique.
  • L'ART D'AIMER (1985)
    Note : 13/20
    Un texte haut en couleur, sous forme de narration-confession, avec une illustration visuelle
    un peu moins marquante, mais à l'intérêt toujours évident.
  • LES LIP L'IMAGINATION AU POUVOIR (2006)
    Note : 16/20
    C'était presque déjà le temps des cerises et celui des orgueilleuses luttes fraternelles, avec des femmes et des hommes remarquables, dignes, courageux et solidaires qui avaient comme noms Charles Piaget, Rolland Vittot, Raymond Burgy, Jean Raguenès, Fatima Demougeot, Jeanine Pierre-Emile avec en face d'eux des dizaines " d'Eric Besson, d'Hervé Morin, de Jean-Marie Bockel et autres consorts" *****
    Nous reste au fond du coeur et de la mémoire, une inoubliable chanson (hélas absente du film) de l'incontournable Jacques Bertin sur cette période vivante de notre histoire et de notre éternelle jeunesse revendicative que nous vous recopions in extenso dans son intangible douceur et sa mélancolique pudeur :
    A Besançon, cette année-là, un millier d'hommes et de femmes se sont levés
    Est-ce qu'on fait des vers avec l'actualité immédiate
    Poète, est-ce ton rôle de témoigner pour le feu qui naît
    Est-ce qu'on peut écrire des chansons sur ces femmes
    Qui se sont mises en dimanche pendant huit mois parce qu'il fallait
    Montrer qu'on était des gens responsables
    Et que la grève ce n'est pas le laisser-aller, mais la rigueur
    Tu fais donc des vers avec la dignité des autres
    Poète, depuis ta chambre parmi tes bouquins
    Est-ce qu'il est digne de saluer la classe ouvrière
    De loin quand peut-être tes vers elle n'y comprendra rien
    Il va bien falloir s'y résoudre
    L'étincelle ce n'est pas moi
    Je vais de ville en ville
    Je porte le feu, je suis le sang
    O jeunes femmes qui descendiez sur Besançon
    Cette année-là vers le quinze août en portant comme un sacrifice
    Vos clameurs car c'était la première fois et vous aviez un peu peur
    Je reste au bord de vous, timide, n'osant rien faire
    Est-ce qu'on peut faire des vers avec la gravité de vos gestes et votre honneur
    Vous vous êtes mis debout. Soudain vous étiez devenus l'espoir du monde
    L'espoir du monde, vous, petite dame coquette et sans histoires, sans passion
    Le premier jour l'un de vous a dit : la grève sera longue
    C'est avec les pieds dans la neige que nous finirons
    C'est donc facile de faire des vers sur le courage et sur la peur
    On fait des vers avec l'espoir, avec la vie
    Avec les ongles qui s'accrochent au réel
    Avec des mots qui m'ont été soufflés cet hiver
    A Besançon, parce que le vent souffle dans le dos du poète
    Et le crible de mots qui ne lui appartiennent pas" .....
    ***** Oscillants hommes politiques de gauche ou du centre, benoîtement qualifiés de traîtres, félons, rénégats, fourbes, perfides ... alors qu'ils ne souffraient peut-être que d'appétence hiérarchique, d'indigence existentielle, de comateux troubles du discernement qui, après bien des ataxies idéologiques semblent avoir enfin (re)trouvé leur équilibre quinquennal dans une élyséenne cantine cinq étoiles de droite.
  • LE BOUFFON DE L'HORREUR (1994)
    Note : 2/20
    D'une stupidité phénoménale, servi par un scénario inexistant, une oeuvre insipide et stupide à vous dégoûter du cinéma et du jeu de cartes, trois vies durant.
  • LE SCAPHANDRE ET LE PAPILLON (2006)
    Note : 15/20
    On retiendra tout d'abord la réelle performance d'acteur de Mathieu Amalric, qui a dû se désinvestir de toutes les habitudes et fonctionnalités d’une personne à la normative mobilité, mais aussi la lumineuse présence de Marie-Josée Croze, parfaite dans son ingrat et studieux rôle d'orthophoniste infiniment dévouée. Puis quelques trouvailles scénaristiques fort bienvenues et parfaitement intégrées dans le processus mental du personnage principal. A noter, une curieuse incursion nocturne dans les avenues mercantiles de Lourdes qui ne suinte pas l’eau bénite ni l’apologie miraculeuse. Restent à la charge de l'oeuvre, une longueur quelque peu excessive et une vision hautement proprette, clean, lourdement simpliste d'une désespérante (sur)vie pathologiquement et psychologiquement dévastatrice voire mortifère, qui évite de justesse les asphyxiants débordements lacrymaux. Auréolé du Prix de la Mise en Scène au dernier festival de Cannes, ce "scaphandrier" qui rêvait d’être palmé, nous plonge dans une adaptation appliquée et généreuse d’un roman autobiographique douloureusement désabusé qui ne permettra pas, cette fois-ci encore, de faire "papillonner" son réalisateur au pinacle du 7e Art.
  • LE NECROPHILE (2004)
    Note : 12/20
    Voilà un réalisateur qui n'assume pas ses fantasmes. Sinon pourquoi affubler son personnage d'un langue de caméléon, renoncer à une réalité pour rentrer dans le domaine "ouvert" du fantastique. Et pour ce qui est de la nécrophilie, qu'il aille voir les réalisation du metteur en scène allemand Jörg Buttgereit.
  • MEURS UN AUTRE JOUR (2002)
    Note : 11/20
    Pas vraiment de quoi monter au septième ciel du septième art !
  • DANS LES GRIFFES DE LA MODE (2000)
    Note : 6/20
    D'une fadeur confondante et d'une stupidité affligeante, une œuvre, commise par un metteur en scène spécialisée dans les productions télévisées bas de gamme pullulant sur le petit écrans, qui mérite de se rhabiller.
  • ALIEN APOCALYPSE (2005)
    Note : 7/20
    Hormis la présence de quelques verdâtres bestioles, rien à retenir de cette pochade médiocre, quelconque et d'une lancinante platitude apocalyptique.
  • WHISKY (2004)
    Note : 16/20
    Voilà comment avec une intrigue minimaliste au possible, on peut faire une oeuvre grave et souvent bouleversante. Et l'on n'oubliera pas de si tôt un trio d'acteurs aussi étonnants de véracité humaine que ces derniers !
  • UNE GAMINE SILENCIEUSE (1995)
    Note : 14/20
    Une oeuvre insolite, quelquefois fascinante, mêlant éléments symboliques et surréalistes, qui laisse étrangement perplexe et dubitatif. Un réalisateur peu prolifique, plus connu dans le milieu cinématographique nippon comme producteur.
  • EL AURA (2005)
    Note : 17/20
    Une œuvre remarquable en tous points : des acteurs étonnants de véracité, un scénario efficace, intelligent et puissant, une réalisation concise et percutante. Un des fleurons d'un certain renouveau du cinéma argentin.
  • TEHILIM (2006)
    Note : 15/20
    A priori, le scénario semble nous amener vers une complexe et pesante introspection dans les arcanes ésotériques et les subtils mystères de la loi et de la foi hébraïques. S'il est vrai que la religion judaïque est omniprésente dans l'atmosphère et la sensibilité du film et aurait pu ainsi restreindre lourdement l'universalité du propos (comment faire face à une perte douloureuse) on reste loin de cet écueil réducteur et forcément thuriféraire, l'ensemble du film étant une vraie et solide leçon de cinéma par ses qualités techniques indéniables, l'extraordinaire fluidité d'une efficace caméra, affectivement complice et proche de ses personnages et une remarquable interprétation de tous les acteurs, adultes et enfants compris, nimbés dans une troublante authenticité et une fragile humanité en dérive et en blessures.
  • BLIZZARD (1990)
    Note : 11/20
    Un scénario un peu trop fabriqué pour un ensemble qui piétine, sans jamais trouver sa vitesse de croisière, malgré les rafales de la tempête.
  • LE NOMBRE 23 (2006)
    Note : 8/20
    Solide tâcheron inamovible et souvent pachydermique du cinématographe, l'increvable Joel Schumacher, nous livre à nouveau, avec une obstination remarquable et une louable sagacité, une énième oeuvre sans réel intérêt notoire, avec ici, comme notable particularité, d'être lourdement absconse, agrémenté d'un scénario cafardeux et terne au possible, confinant à la sidération catatonique.
  • MUNICH (2005)
    Note : 15/20
    Une oeuvre solide, sous forme de thriller géopolitique, qui dépasse son propos premier (une parfaite réplique "oeil pour oeil, dent pour dent" de la radicale prise d'otages de Munich) pour affirmer un pénible constat nauséeux, la violence amène à une indispensable terreur justifiable et justifiée.
  • ODETE (2005)
    Note : 14/20
    Entre mélodrame (volontairement ?) inabouti, bridé, et affective (re)quête identitaire, une oeuvre profondément sincère qui souffre d'un manque de folie et d'outrance auxquelles nous étions en droit d'attendre du réalisateur (peut-être à tort) après la splendide déflagration de son long métrage précédent.
  • BLACK KILLERS (1997)
    Note : 6/20
    C'est creux comme un discours chiraquien et ce n'est pas le semblant de coup de théâtre final qui va changer grand chose à notre appréciation.
  • LE FILS UNIQUE (1936)
    Note : 16/20
    Premier film parlant de l'illustre metteur en scène nippon et déjà sa trente-cinquième réalisation, magnifiée par une étonnante palette chromatique du noir et blanc dans l'utilisation de la lumière naturelle, à travers une parfaite maîtrise du clair-obscur, rehaussée par la rigoureuse composition du cadrage, surtout des plans moyens et à travers une grammaire cinématographie de plus en plus personnelle et dépouillée.
  • AMERICAN SUMMER (1996)
    Note : 5/20
    Lourdement bête, d'une médiocre vulgarité, une oeuvre pénible.
  • AMIS EN COMBAT (1929)
    Note : 15/20
    Pas de copie de disponible à ce jour, de l'intégralité du film qui dure 100 minutes, hormis une version raccourcie (quinze minutes en format Pathé Baby destinée à l'usage familial) qui malgré sa gênante brièveté, nous a enchantés.
  • L'ATTAQUE DES SANGSUES GÉANTES (1959)
    Note : 9/20
    Le film pêche par l'évident manque de moyens et de fréquents passages à vide.
  • UNE AUBERGE A TOKYO (1935)
    Note : 16/20
    D'une infinie noirceur, dans un dédale d'usines et d'indifférence, une œuvre puissante et mémorable, d'une maîtrise technique époustouflante qui fut une des dernières réalisations muettes du prolifique et talentueux metteur en scène.
  • H IS FOR HOUSE (1973)
    Note : 14/20
    Une séduisante ritournelle verbale.
  • LA COLLINE A DES YEUX (2006)
    Note : 13/20
    Sympathique petit film d'horreur qui malgré toute notre contentement, pèche lourdement par un complaisant débordement d'hémoglobine, menant de temps à autre, vers d'inutiles excès et de superflues surenchères horrifiques.
  • L'ENQUÊTE EST CLOSE (1951)
    Note : 13/20
    Quelques acteurs plutôt sincères et convaincants, malgré une réalisation souvent un peu pataude, pour un ensemble somme toute honnête, essentiellement dû à la qualité scénaristique de Philip Mac Donald, toujours aussi efficace.
  • LE DERNIER AVERTISSEMENT (1928)
    Note : 14/20
    Une splendide copie restaurée à l'occasion de la 30e édition du festival "Il Cinéma Ritrovato" de Bologne, (2016) accompagnée d'une originale partition musicale, pour la dernière réalisation du metteur en scène Paul Leni, dans une œuvre bien entraînante avec un final remarquable de technicité et de vivacité, plutôt rares pour l'époque.
  • BIENVENUE AU GITE (2003)
    Note : 14/20
    C'est foncièrement drôle, jamais graveleux, lourd ou facile, malgré l'inévitable défilé de personnages hauts en couleur et in(volontairement) stéréotypés et cela nous apporte donc un excellent moment de détente, sans jamais se prendre la tête, mais l'occasion d'un incontournable et corsé pastis provençal.
  • SPIDERS 2 (2001)
    Note : 6/20
    Pauvreté d'un scénario banal; acteurs ennuyeux et ennuyés, faisant le minimum syndical; tromperie sur la marchandise comme 99% de ce genre de production.
  • LINA BRAAKE FAIT SAUTER LA BANQUE (1974)
    Note : 14/20
    Même si le sujet reste éminemment bienvenu et que la déroute des instances bancaires soit accueillie avec enthousiasme et complicité, on regrette que le film ne sache point choisir délibérément son genre, entre la comédie humoristique débridée et la dénonciation cinglante, oscillant sans cesse entre un ersatz de mollesse et une pâlotte revendication gentillette, nous laissant dans une réelle insatisfaction.
  • LANTANA (2001)
    Note : 17/20
    Une oeuvre apparemment complexe, mais dont l'évidence et la rigueur en font un plaisir raffiné et un solide argument pour la cinématographie australe.
  • UNE FILLE NOMMÉE FATHOM (1967)
    Note : 6/20
    Pour Fathom comme pour le spectateur, il sera difficile de faire la part entre les vrais et les faux espions, dans ce film strictement insupportable !
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
LANTANA (2001) 17
LE CABINET DE JAN SVANKMAJER (1984) 17
EDVARD MUNCH OU LA DANSE DE LA VIE (1976) 17
EL AURA (2005) 17
ANAMORPHOSIS (1991) 16
WHISKY (2004) 16
LES LIP L'IMAGINATION AU POUVOIR (2006) 16
LE FILS UNIQUE (1936) 16
UNE AUBERGE A TOKYO (1935) 16
MUNICH (2005) 15
STILL LIFE (2006) 15
DIPTYQUE (1967) 15
PLUS VITE (1965) 15
LE SCAPHANDRE ET LE PAPILLON (2006) 15
TEHILIM (2006) 15
AMIS EN COMBAT (1929) 15
LINA BRAAKE FAIT SAUTER LA BANQUE (1974) 14
LE DERNIER AVERTISSEMENT (1928) 14
BIENVENUE AU GITE (2003) 14
LES DERNIERS JOURS DE MUSSOLINI (1973) 14
H IS FOR HOUSE (1973) 14
L'AMI DE LA FAMILLE (2006) 14
DANS ARLES OÙ SONT LES ALYSCAMPS (1966) 14
ZODIAC (2007) 14
UNE GAMINE SILENCIEUSE (1995) 14
ODETE (2005) 14
L'ENQUÊTE EST CLOSE (1951) 13
GRIZZLY MAN (2005) 13
L'ART D'AIMER (1985) 13
LA COLLINE A DES YEUX (2006) 13
LE NECROPHILE (2004) 12
LA FAILLE (2006) 12
IRINA PALM (2007) 12
SPIDER-MAN 3 (2006) 12
CET INNOMMABLE PETIT BALAI (1985) 11
IL COURT, IL COURT LE MONDE (1987) 11
BLIZZARD (1990) 11
FRAYEURS (1980) 11
MEURS UN AUTRE JOUR (2002) 11
CODE 46 (2003) 9
DANGEREUSE INTENTION (1995) 9
L'ATTAQUE DES SANGSUES GÉANTES (1959) 9
LE NOMBRE 23 (2006) 8
ALIEN APOCALYPSE (2005) 7
UNE FILLE NOMMÉE FATHOM (1967) 6
SPIDERS 2 (2001) 6
DANS LES GRIFFES DE LA MODE (2000) 6
BLACK KILLERS (1997) 6
AMERICAN SUMMER (1996) 5
LE BOUFFON DE L'HORREUR (1994) 2