Premier film parlant de l'illustre metteur en scène nippon et déjà sa trente-cinquième réalisation, magnifiée par une étonnante palette chromatique du noir et blanc dans l'utilisation de la lumière naturelle, à travers une parfaite maîtrise du clair-obscur, rehaussée par la rigoureuse composition du cadrage, surtout des plans moyens et à travers une grammaire cinématographie de plus en plus personnelle et dépouillée.