Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

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Page 30 sur 332 (16566 critiques au total)

  • L'ÉPOPÉE DE L'EVEREST (1924)
    Note : 16/20
    Un intéressant documentaire britannique sur cette ascension légendaire, avec des plages ethnographiques sur les autochtones de la région et la lancinante interrogation sur l'éventuelle réussite des deux alpinistes décédés d'atteindre le plus haut sommet de la planète. Officiellement, ce ne sera qu'une trentaine d'années plus tard, que l'exploit fut accompli par Edmund Hillary et son sherpa Tensing Norgay, le 29 mai 1953.
  • MALOMBRA (1917)
    Note : 16/20
    Un classique de la littérature gothique italienne, plusieurs fois adapté au cinéma qui scintille et s'irise de l'interprétation haut de gamme d'une Lyda Borelli visiblement inspirée par son rôle arachnéen et gracile avec comme point d'orgue, l'inoubliable et fameuse promenade en barque abondamment fleurie sur le lac de Côme.
    Une bienvenue et précieuse programmation, après une complexe restauration, par la 31e édition du festival "Il Cinéma Ritrovato" de Bologne, année 2017.
  • LA CHUTE DE L'EMPIRE AMERICAIN (2018)
    Note : 15/20
    Même si le film peine un peu à trouver sa terminaison, même si bien des séquences sont cousues de fil blanc dans leur aimable dénonciation fiduciaire, les principaux acteurs de cette comédie boursière ont une présence certaine et un charisme évident qui peuvent suffire aujourd'hui à notre contentement présent et souriant.
  • UN JEU SI SIMPLE (1965)
    Note : 16/20
    D'une minutieuse architecture scénaristique, filmant les hockeyeurs en couleur (hormis les séquences d'entraînement, d'interviewes ou sur le banc de touche) et le public en noir et blanc, entraînant par cette dichotomie colorée une starification du joueur face au vulgum pecus plébéien, insérant judicieusement quelques courts mais incisifs échanges verbaux entre un adulte noir et un enfant blanc, ce dernier questionnant sur "les animaux sacrés de son pays", "les sorciers qui tuent pour se venger", etc... le court métrage, en apparence dithyrambique et festif, n'est en réalité qu'une insidieuse et solide charge contre ce sport et ses beuglants aficionados.
  • GERMAN ANGST (2015)
    Note : 12/20
    Par vraiment d'unité narrative ou conceptuelle, de cordon ombilical ou de colonne vertébrale pour ces trois courts métrages teutons, hormis un vague lieu géographique sans intérêt dans le déroulement des différents opus dont le plus mauvais reste sans conteste le dernier ; le plus violent, le second et le plus tranchant et classique, celui réalisé par Buttgereit, en évidente perte de folie créatrice.
  • PREMIER AMOUR (1927)
    Note : 15/20
    C'est toujours un plaisir évident de retrouver le lunaire Harry Langdon dans des aventures souvent désopilantes et somptueusement décalées.
  • BEIJING BICYCLE (2001)
    Note : 14/20
    Sur une intrigue plutôt minimaliste pigmentée de bien des redondances vélocipèdes fort éloignées du puissant constat social d'un Vittorio de Sica, une œuvre, certes correcte et bien filmée, mais sans réelle ampleur émotionnelle ou politique.
  • VOIR MIAMI (1962)
    Note : 15/20
    D'une saine et suave méchanceté, sur un ton souvent détaché et léger, sont dépliés les errements et les médiocrités hauts de gamme que permettent les portefeuilles bien garnis et les pensées bien creuses de ces Américains nantis et décervelés, sur fond d'éternel farniente, arrogance et futilité en bandoulière.
  • NI LE CIEL NI LA TERRE (2015)
    Note : 14/20
    Pour un premier long métrage, l'ensemble de l'œuvre (scénario, interprétation et prise de vue) présente une unicité et une cohérence parfaite durant les trois-quarts de son déroulement, avec une réelle efficacité et une pénétrante tension endogène, subtile et palpable. Mais tout se délite et s'étiole banalement dans les deux dernières séquences, celle de la découverte de la grotte et celle du déclassement du capitaine.
  • EN BUTINANT LES FLEURS (1924)
    Note : 12/20
    Qualitativement, des hauts et des bas !
  • LES ETERNELS (2018)
    Note : 14/20
    Sur fond de bouleversements économiques et sociaux de la Chine, en pleine mutation accélérée, aiguillonnée par un néolibéralisme exacerbé, l'esquisse d'une déliquescence sentimentale et d'un marasme affectif de plus en plus généralisé.
  • LA FRANCE SUR UN CAILLOU (1960)
    Note : 14/20
    C'est avec une infinie distanciation poussant à une constante objectivité narrative et visuelle que le réalisateur québécois Gilles Groulx décrit les autochtones d'un bout de terre et de pierres stérile surnommé le "Caillou" qui imprime sur son environnement humain et géographique, une étrange chape de désolation et de perdition qu'une fréquente brume marine tenace ne fait que confirmer, durablement.
  • EMELIE (2015)
    Note : 15/20
    Thriller parfaitement réussi et maîtrisé, au scénario classique et pourtant prenant de bout en bout, sélectionné avec bonheur à la 8e édition du Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg, qui par son parti pris délibéré du huis clos résidentiel et une excellente composition des acteurs principaux, même enfants, donnent à cette œuvre de solides lettres / images de créance pour une méritée sortie hexagonale.
  • REPOS HEBDOMADAIRE (1926)
    Note : 14/20
    Plutôt sympathique et quelque peu misogyne !
  • UN AMOUR PAS COMME LES AUTRES (1962)
    Note : 16/20
    Méconnu représentant du Free Cinéma britannique sur les écrans de l'hexagone, ce premier long métrage de John Schlesinger, futur transfuge cinématographique vers les States, bénéficie d'un superbe travail en noir et blanc de l'image, sans oublier la solide présence des deux acteurs principaux, d'une exemplaire et séduisante complémentarité.
  • 117 BIS GRANDE RUE (1926)
    Note : 15/20
    Entre une approche méticuleuse et fine du comportement et de la réactivité d'un certain microcosme humain confronté individuellement et collectivement aux aléas de la vie quotidienne et un témoignage quasi documentaire de ce que fut la vie citadine dans un immeuble des années 1920, une œuvre incontournable réalisée par l'un des plus grands réalisateurs de cette période fastueuse de la cinématographie allemande.
  • THE LOBSTER (2015)
    Note : 16/20
    Une pertinente et cinglante radiographie du corpus social, de ses contraintes et de ses obligations, dénoncées avec les armes et les stimuli habituels du metteur en scène, c'est à dire l'humour décalé et l'absurde situationnel, pour dévoiler la dictature du conformisme et la contrainte psychique, obligeant d'endosser les attributs et les atours de son milieu, social, professionnel, relationnel, quitte à transiger sans cesse et sans honte avec ses convictions intimes et son éthique personnel.
  • ULTIMATUM (2016)
    Note : 15/20
    Historique et didactique !
  • KNIGHTS ON BIKES (1956)
    Note : 5/20
    Premier court métrage d'une confondante bêtise qui préfigure des médiocrités à venir d'un metteur en scène aux réalisations en grande partie inintéressantes.
  • LE CAS 39 (2009)
    Note : 15/20
    On reste fort étonné que cette oeuvre calibrée "enfance et possession maléfiques" n'ait pas eu le compréhensible privilège, dans l'hexagone, d'une distribution en salles, restant seulement cantonnée au strict baptistère du rayon DVD, alors que le scénario, l'interprétation et le filmage dégagent une densité et un intérêt cinématographique indéniables et dont l'originalité reste, de toute évidence, présente.
  • LA GUEULE QUE TU MERITES (2004)
    Note : 9/20
    Une œuvre hébétée et saugrenue qui se voudrait fantasque et surréaliste dont on cherche vainement la pseudo-poésie, la folie créatrice, l'imagination légère et débridée. On se retrouve finalement à subir, surtout dans la seconde partie, une cacophonique lourdeur, sans aucun charme ni fragilité qu'on hésite encore à cataloguer dans la jobarderie post-estudiantine à connotation prétentieuse et nombriliste.
  • FATTY'S NEW ROLE (1915)
    Note : 14/20
    Il est évident que le débonnaire comique de Fatty est fort plaisant.
  • PEEPSHOW (1956)
    Note : 5/20
    Dieu que c'est ridicule et stupide !
  • BLUE JASMINE (2013)
    Note : 17/20
    D'une méticuleuse construction scénaristique, qui alterne avec souplesse intuitive et rigueur cartésienne le fluide enchaînement des séquences, entre la caducité d'un présent fragile et l'insouciance d'un passé moribond, rehaussée par la prestation souvent époustouflante de deux actrices percutantes et pertinentes, cette nouvelle oeuvre du toujours revigorant Woody Allen, d'un fascinant pessimisme général, balayée d'une abyssale noirceur d'autant plus sismique et définitive qu'elle s'installe et se propage avec une suave légèreté et une écoeurante évidence, mérite entièrement notre assentiment et notre contentement unanimes.
  • LE BUNKER (2015)
    Note : 15/20
    D'une originalité certaine, voire audacieuse (faire interpréter un gamin de huit ans, par un acteur adulte) confinant ses protagonistes dans un aberrant huis-clos de dégénérés baignant dans une folie permanente où le grotesque accouplé à la dérision propose un cocktail inquiétant non dénué d'humour et d'interrogations, cette œuvre teutonne entre hermétisme et limpidité, visionnée au 8ème Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg, mérite notre claustrophobe adhésion.
  • LOVE HUNTERS (2016)
    Note : 15/20
    Premier long métrage parfaitement maîtrisé d'un jeune cinéaste australien, visiblement influencé, avec bonheur et retenue, par l'envoûtement lynchien et l'atmosphère poisseuse de certaines réalisations australes, qui augure d'une intéressante carrière et de quelques présupposés positifs pour sa seconde mise en scène qui devrait connoter science-fiction, extraterrestres et humanité en perdition.
  • L'ECHAPPEE (2009)
    Note : 16/20
    Simple, intense et lumineux.
  • BERLIN BLUES (2003)
    Note : 15/20
    Adaptation plutôt réussie d'un best-seller allemand, qui décrit avec humour et panache, un sympathique milieu interlope de la grande capitale allemande.
  • VERS L'AUTRE RIVE (2015)
    Note : 15/20
    Quiconque connaît tant soit peu l'univers fantasmagorique et tourmenté des réalisations de Kiyoshi Kurosawa, dans lequel les revenants et les macchabées sont légions, ne sera pas dépaysé par la structure et les composantes scénaristes du film, mais certainement étonné de l'atmosphère apaisée qui se dégage cette fois-ci, dans une sorte d'harmonie entre deux mondes qui ne seraient que des complémentarités à des existences diverses, multiples, interférentes et fugaces.
  • LA REGION SAUVAGE (2016)
    Note : 12/20
    Au-delà de l'énoncé primaire et symbolique du scénario qui évoque et convoque avec un certain bonheur reptilien la suffocation dévorante du désir, l'œuvre s'englue et se dissipe dans des additifs surnuméraires, souvent bouffonnes de l'intrigue, pour faire du remplissage et des inutilités en pagaille pour notre plus grinçant désappointement.
  • GHOSTLAND (2017)
    Note : 9/20
    Prises individuellement, bien des scènes et des séquences sont dans un registre technique fort bien agencées et d'une réalisation de qualité. Hélas, lorsqu'on globalise l'ensemble dans son déroulé scénaristique, on s'irrite rapidement par cette accumulation horrifique sans réelle justification pour densifier l'intrigue, présente uniquement pour l'esbroufe et l'envie narcissique de montrer son éminent savoir-faire quand on s'appelle Pascal Laugier. Malheureusement on s'égare bien vite dans le grotesque, la redondance et l'éparpillement, pour devenir indigeste et stupide, à force de suffisance et de hâblerie. Un effondrement finalement prévisible.
  • KONSTGJORDA SVENSSON (1929)
    Note : 16/20
    Un petit bijou d'humour et de légèreté, bien éloigné du traditionnel et pachydermique comique troupier qui hante et claironne dans les filmographies nationales, parfois considéré comme le premier film sonore voire parlant du cinéma suédois, pour son prologue où l'acteur principal glose sur cette nouvelle technique cinématographique et la présence inhabituelle de cinq partitions musicales chantées.
  • CAUCHEMARS ET SUPERSTITIONS (1919)
    Note : 18/20
    Revue une seconde fois aux Giornate del Cinema Muto de Pordenone (2015) cette éblouissante comédie tonitruante et déjantée, avec un Douglas Fairbanks survitaminé, une époustouflante scénographie traversée de quelques gags mémorables, comme celui du baise-main fait par erreur à une patte de poulet dépassant des provisions portées par l'actrice principale, s'écrit comme un inoubliable chef-d'oeuvre du 7e Art.
  • LA PINTE FATALE (1933)
    Note : 10/20
    Des gags éventés, lourdement répétitifs et même ennuyeux plombent ce court métrage dont on ne retiendra guère que la chute finale, drôle et inattendue.
  • C'EST ÇA L'AMOUR (2018)
    Note : 16/20
    Avec une carrière cinématographique bien florissante, l'acteur belge Bouli Lanners se bonifie en finesse et en régularité, secondé dans son interprétation par deux jeunes actrices non professionnelles d'une étonnante assurance et maturité filmiques.
  • ABC DE LA GRÈVE (1990)
    Note : 14/20
    Entre efficace et signifiant documentaire historique sur une période charnière du syndicalisme ouvrier brésilien et pertinente vision d'un cinéma politique majeur, une oeuvre rare et bienvenue qui honore le travail im(pertinent) du réalisateur.
  • MISTER RADIO (1924)
    Note : 17/20
    Un véritable festival Luciano Albertini, considéré comme le superman de l'époque, dont les exploits sur l'écran relèvent à la fois de la prouesse technique, de la force musculaire et de l'étonnant charisme du personnage et de l'acteur. Comble de l'excellence de l'œuvre, le choix géographique de planter le décor du film dans la fascinante région des ensorcelantes "Elbsandsteingebirge" (aujourd'hui en République tchèque) qui donne une dimension grandiose et magnétique à l'ensemble.
  • LE PHARMACIEN (1933)
    Note : 11/20
    Un humour pince-sans-rire qui ne sied pas systématiquement à tout le monde.
  • IMPATIENCE (1928)
    Note : 14/20
    Symbolisme et surréalisme en cavale.
  • LA GRAINE (1974)
    Note : 17/20
    On est fort éloigné de l'habituel déferlement bigarré et vibrant de danses et de chansons si fréquent dans les productions cinématographiques indiennes de l'époque, pour se retrouver dans une constante et diffuse remise en question des structures même de la société hindoue avec ses pesantes coutumes héréditaires et patriarcales drainant injustice et asservissement, pour une poignée de nantis millénaires.
  • L'INVINCIBLE SPAVENTA (1928)
    Note : 16/20
    Péripéties multiples et variées, énergiques prises de vue et montage efficace, de l'action en continu et du suspense à foison, avec en décors, dans la seconde partie, à nouveau le fabuleux panorama des "Elbsandsteingebirge" un lieu géographique propice à moult acrobaties du véloce et photogénique Albertini, véritable vedette de l'époque.
  • LE BARBIER (1933)
    Note : 15/20
    W.C. Fields pour une fois des plus convaincants dans une œuvre bienvenue !
  • THÈMES D'INSPIRATION (1938)
    Note : 15/20
    D'une sympathique évidence visuelle.
  • ÉCOLOGIE (1974)
    Note : 14/20
    Considéré comme le premier film écologique brésilien !
  • DEUX AMIS, UN MODELE ET SON AMIE (1925)
    Note : 17/20
    Seule réalisation de ce metteur en scène soviétique plus connu pour ses nombreuses activités théâtrales, cette oeuvre étonnante de fraîcheur et de spontanéité, séduit en permanence, par son rythme alerte et déferlant d'inventivité, la solide présence des acteurs, tous quasi inconnus sur un écran et cette merveilleuse douceur de vivre qui jalonne et accompagne deux merveilleuse balades fluviales, en radeau et en bateau à aubes. Une étonnante et bienvenue découverte que l'on doit à la 34e édition du Festival du Film Muet de Pordenone 2015, décidément incontournable.
  • INDEPENDENCE DAY : RESURGENCE (2016)
    Note : 8/20
    Nous sommes en présence d'un malencontreux "copier / coller" de la version réalisée vingt ans auparavant par le même metteur en scène d'origine teutonne, mis au goût du jour, avec ses incroyables lourdeurs, son foisonnant ridicule et son scénario d'une allègre débilité. En effet que penser de cette accumulation de scènes grotesques et risibles comme celle, au début, se déroulant en Afrique avec des autochtones caricaturés "noirs d'origine" ou bien les déambulations stupides d'un prétendu docteur qui se réveille d'un coma d'une double décennie, sans oublier la présence erratique d'un autobus scolaire en plein désert, comme par hasard, nouveau lieu d'une action qui peine à se renouveler. Restent les trucages mâtinés de quelques époustouflants effets spéciaux qui sauvent un peu l'ensemble de l'effondrement général.
  • LES FEUX DE LA MER (1948)
    Note : 14/20
    Malgré un ton et une forme souvent didactiques (film de commande) on perçoit tout de même, de temps à autre, la personnalité et l'intérêt de Jean Epstein pour un tel sujet.
  • PRISONERS (2013)
    Note : 16/20
    Un bon thriller, efficace et percutant sera toujours le bienvenu auprès des spectateurs recherchant de l'action, du suspense et une certaine originalité scénaristique. Nous somme de toute évidence dans ce cas de figure pour ce cinquième long métrage du canadien Denis Villeneuve. Mais si en plus, vous agrémentez l'oeuvre présentée d'un ou de plusieurs questionnements éthiques essentiels qui rehaussent l'ensemble de l'histoire en lui conférant une indéniable dimension spirituelle, comme (peut-on torturer quelqu'un pour sauver la vie de quelqu'un d'autre ?) on est souvent proche d'une oeuvre majeure et largement incontournable.
  • L'HONNEUR DE LA GARNISON (1913)
    Note : 13/20
    Un des nombreux courts métrages inspirés du dramatique conflit confrontant deux conceptions antinomiques et opposées de la démocratie et de la liberté.
  • EX MACHINA (2014)
    Note : 16/20
    Puissant et pertinent premier long métrage d'un écrivain scénariste à la féconde originalité qui dépasse largement le canevas primaire du simple film d'anticipation, pour poser les questions fondamentales, à connotation éthique et philosophique, de l'intelligence artificielle et des éventuelles émergences émotionnelles.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
CAUCHEMARS ET SUPERSTITIONS (1919) 18
BLUE JASMINE (2013) 17
LA GRAINE (1974) 17
MISTER RADIO (1924) 17
DEUX AMIS, UN MODELE ET SON AMIE (1925) 17
UN JEU SI SIMPLE (1965) 16
KONSTGJORDA SVENSSON (1929) 16
PRISONERS (2013) 16
L'ÉPOPÉE DE L'EVEREST (1924) 16
THE LOBSTER (2015) 16
L'INVINCIBLE SPAVENTA (1928) 16
MALOMBRA (1917) 16
EX MACHINA (2014) 16
UN AMOUR PAS COMME LES AUTRES (1962) 16
L'ECHAPPEE (2009) 16
C'EST ÇA L'AMOUR (2018) 16
VOIR MIAMI (1962) 15
117 BIS GRANDE RUE (1926) 15
LE CAS 39 (2009) 15
BERLIN BLUES (2003) 15
EMELIE (2015) 15
LE BUNKER (2015) 15
VERS L'AUTRE RIVE (2015) 15
PREMIER AMOUR (1927) 15
ULTIMATUM (2016) 15
LOVE HUNTERS (2016) 15
LE BARBIER (1933) 15
LA CHUTE DE L'EMPIRE AMERICAIN (2018) 15
THÈMES D'INSPIRATION (1938) 15
LA FRANCE SUR UN CAILLOU (1960) 14
ABC DE LA GRÈVE (1990) 14
ÉCOLOGIE (1974) 14
NI LE CIEL NI LA TERRE (2015) 14
REPOS HEBDOMADAIRE (1926) 14
FATTY'S NEW ROLE (1915) 14
BEIJING BICYCLE (2001) 14
LES ETERNELS (2018) 14
IMPATIENCE (1928) 14
LES FEUX DE LA MER (1948) 14
L'HONNEUR DE LA GARNISON (1913) 13
GERMAN ANGST (2015) 12
EN BUTINANT LES FLEURS (1924) 12
LA REGION SAUVAGE (2016) 12
LE PHARMACIEN (1933) 11
LA PINTE FATALE (1933) 10
LA GUEULE QUE TU MERITES (2004) 9
GHOSTLAND (2017) 9
INDEPENDENCE DAY : RESURGENCE (2016) 8
KNIGHTS ON BIKES (1956) 5
PEEPSHOW (1956) 5