Une œuvre hébétée et saugrenue qui se voudrait fantasque et surréaliste dont on cherche vainement la pseudo-poésie, la folie créatrice, l'imagination légère et débridée. On se retrouve finalement à subir, surtout dans la seconde partie, une cacophonique lourdeur, sans aucun charme ni fragilité qu'on hésite encore à cataloguer dans la jobarderie post-estudiantine à connotation prétentieuse et nombriliste.