Pour un premier long métrage, l'ensemble de l'œuvre (scénario, interprétation et prise de vue) présente une unicité et une cohérence parfaite durant les trois-quarts de son déroulement, avec une réelle efficacité et une pénétrante tension endogène, subtile et palpable. Mais tout se délite et s'étiole banalement dans les deux dernières séquences, celle de la découverte de la grotte et celle du déclassement du capitaine.