On reste fort étonné que cette oeuvre calibrée "enfance et possession maléfiques" n'ait pas eu le compréhensible privilège, dans l'hexagone, d'une distribution en salles, restant seulement cantonnée au strict baptistère du rayon DVD, alors que le scénario, l'interprétation et le filmage dégagent une densité et un intérêt cinématographique indéniables et dont l'originalité reste, de toute évidence, présente.