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Nota
Bandeau introductif : "Production exécutée pour l'Organisation des Nations Unies sous la direction des Services du Cinéma du Département de l'Information".
Résumé
Un jeune gardien de phare, prénommé Victor, vient prendre son premier poste à la Jument, un bâtiment au large de l'île d'Ouessant où l'attend un ancien préposé, un certain Malgorn, proche de la retraite qui va lui montrer les différentes pièces et structures du phare. Du raide escalier en colimaçon, on accède tout d'abord à l'endroit où sont stockées les indispensables réserves alimentaires et autres nécessités pour la gestion de l'ensemble. Puis on monte vers la pièce affectée au responsable du lieu et plus haut encore, celle attribuée à son aide et enfin, quasiment au sommet, avant les lentilles lumineuses, une pièce dévolue uniquement à l'ingénieur, lors de sa tournée ou de son éventuel passage. Nous apprenons qu'un cahier de veille, aussi appelé carnet de feux, est à tenir à jour quotidiennement par les occupants. Il n'est pas rare qu'un phare puisse être entretenu par plusieurs pays différents, ainsi celui de Tanger est géré par onze nations différentes. Ce qu'ignore souvent le commun des mortels, c'est que les éclats lumineux de chaque phare sont différents, permettant ainsi aux navires de situer correctement leur position géographique. Un historique des phares est présenté aux spectateurs, complétant ainsi le court métrage documentaire du réalisateur.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 14/20
Malgré un ton et une forme souvent didactiques (film de commande) on perçoit tout de même, de temps à autre, la personnalité et l'intérêt de Jean Epstein pour un tel sujet.