Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 50 films notés

Page 23 sur 332 (16566 critiques au total)

  • DETOUR (2016)
    Note : 15/20
    Visionné au 9e Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg, ce sixième long métrage d'un réalisateur britannique devenu en peu de temps la coqueluche de bien des aficionados du cinéma du genre, est finalement bien plus retors que ne le laisse entrevoir un scénario faussement binaire, en fait d'une adroite perversité.
  • HERBIE (1966)
    Note : 15/20
    Superbe symbiose entre l'image et le son.
  • VICTIMES INCONSCIENTES (1927)
    Note : 17/20
    Adapté d'un roman du créateur littéraire du Docteur Mabuse, cette production allemande d'un excellent réalisateur du cinéma muet, dont certaines séquences flirtent avec la perfection cinématographique, met brillamment en scène un sujet récurrent dans la production européenne de l'époque, avec quelques acteurs étonnants de maîtrise et de conviction. A noter une géniale et splendide incrustation de l'image dans la superbe scène où le falot Plüsch s'imagine au volant d'une puissante voiture achetée avec le gain de sa dénonciation aux autorités des malversations d'un joailler anglais.
  • LES DÉMONS (2015)
    Note : 15/20
    Une intime et subtile vision de l'enfance, dans la mouvance atone des jours et des turbulences d'une féconde imagination, qui déroule avec un évident brio, une prise de conscience enfantine d'une quotidienneté apaisée et tourmentée à la fois, au gré des évènements, de leur naïve perception et de leur féconde interprétation.
  • READY PLAYER ONE (2017)
    Note : 16/20
    Une incroyable cavalcade d'effets spéciaux hétéroclites et fulgurants qui projette le spectateur dans un maelstrom d'émotions disparates et de situations virevoltantes, quelquefois même jusqu'au crescendo d'une soudaine saturation passagère, donnent à l'ensemble de l'œuvre une probante solidité d'où se dégage souvent un hommage discret ou évident, selon les séquences, à maints films effleurés ou dûment référencés.
  • LE PROCÈS DES TROIS MILLIONS (1926)
    Note : 17/20
    Une réjouissante comédie satirique, toujours fruit des fameux studios Mezhrabpom et avec le toujours sémillant voire irrésistible Igor Ilinski, un des plus étonnants acteurs soviétiques de l'époque, qui se termine curieusement en queue de poisson, devant l'entrée principale d'une gare, où le désormais riche Tapioca se fait voler par un quidam son portefeuille, avec en intertitre un déconcertant énoncé moral, bien peu révolutionnaire, défendant "le principe sacré de la propriété privée" (!).
  • K-SHOP (2016)
    Note : 13/20
    En compétition au 9e Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg, ce premier long métrage d'un réalisateur anglais prometteur, inverse avec un humour macabre et une assidue constance les habituelles valeurs sociales codifiées, en présentant de bons émigrés victimes de méchants et stupides autochtones.
  • TEVYE LE LAITIER (1939)
    Note : 15/20
    Personnage emblématique de la littérature yiddish, "Tevye der Milkhiker" fut aussi adapté en comédie musicale, début des années 1970, et qui pour cette remarquable version de 1939 bénéficia d'une exceptionnelle interprétation et prestation de Maurice Schwartz, assumant à la fois le rôle principal du film et sa patente réalisation.
  • LA STATUA DI CARNE (1921)
    Note : 11/20
    Pas vraiment de quoi se languir ou s'extasier devant cet amorphe et pesant mélodrame aristocratique et désuet qui avec son happy end consternant, après un stupide duel, nous laisse parfaitement indifférent, voire somnolent, comme d'ailleurs nombre de films transalpins de l'époque.
  • L'HIPPOCAMPE OU CHEVAL MARIN (1934)
    Note : 15/20
    Des animaux fascinants et de pertinentes prises de vue.
  • BLACK CHRISTMAS (1974)
    Note : 14/20
    Considéré souvent comme une œuvre fondatrice du slasher nord-américain, cette correcte réalisation qui sait distiller ses tensions et ses inquiétudes avec un certain savoir-faire de bon aloi, souffre pourtant d'un dénouement insipide, facile et bancale, laissant maints spectateurs penauds dans une relative insatisfaction finale.
  • AMOURS CANNIBALES (2013)
    Note : 15/20
    Avec une parfaite élégance et une subtile sobriété, le metteur en scène fait volontairement l'impasse de toute scène explicitement gore, pour laisser à son brillant chef opérateur, Pau Esteve Birba, le soin de peaufiner une image glacée, sans fioriture esthétique ni digression sanglante, emmenant le spectateur quelque peu hypnotisé vers le limpide constat d'une monstruosité que nous partageons tous, symboliquement dans le rapport amoureux, avec sa charmante phraséologie et terminologie culinaires.
  • SICARIO (2015)
    Note : 16/20
    Un thriller d'une réelle présence, dynamique et narrative, qui ne se contente pas de peaufiner la véridicité et l'efficacité scénaristiques, mais pose à nouveau la récurrente question d'une justification de comportements illégaux pour une meilleure efficience finale, plus prosaïquement, la fin justifie-t-elle les moyens ?
  • À L'HEURE DES SOUVENIRS (2016)
    Note : 14/20
    Sur les aléas de la mémoire qui subjectivise et déforme à l'envi les faits, édulcorant les comportements discutables et négatifs, une sensitive approche des souvenirs quelquefois falsifiés ou fallacieux que l'âge plus que la mauvaise foi alimente en douce. On notera avec délectation et jubilation l'extrême finesse de l'interprétation de Jim Broadbent, un acteur souvent négligé et méconnu du grand public, mais aussi la subjuguante présence de Charlotte Rampling, une des plus grandes actrices britanniques de sa génération, dans un rôle elliptique et pourtant essentiel.
  • LA CAVALEUSE AU CORPS CHAUD (1974)
    Note : 6/20
    Le cinéma érotique scandinave des années 1970 détient quelques fleurons du genre qui restent aujourd'hui encore les dignes représentants d'une catégorie de films bienvenus, à l'époque émergente, sortis du ghetto des avatars roses et crades en huit millimètres, de dessous le manteau. En ce qui concerne cette production, comme d'ailleurs la plupart des autres réalisations de Mac Ahlberg, ultérieurement reconverti en chef-opérateur aux States pour des films de série B, rien à retenir, ni au premier ni au second degré, une catastrophique nullité d'une bêtise insondable.
  • PET (2016)
    Note : 12/20
    Franchement, rien à redire des acteurs qui sont parfaits dans leurs rôles respectifs, mus par une entraînante et respectable conviction. Puis, lorsque les méandres de l'histoire s'invitent et s'installent dans les zones discutables d'un retournement de situation, on commence déjà à sourciller sur quelques invraisemblances scénaristiques, pour en définitive exécrer un final d'un foisonnant et percutant ridicule qui n'atteint heureusement pas la qualité intrinsèque de la programmation de cette neuvième édition du Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg.
  • LA SOLEDAD (2016)
    Note : 13/20
    Entremêlant adroitement fiction et documentaire, ce long métrage quelque peu déprimant et limité, lesté d'un dénouement inattendu et sommaire, se perçoit comme un reflet économique et social d'un pays en crise où tout se délite inexorablement.
  • GORNICHNAYA DHZENNI (1918)
    Note : 16/20
    Encore une agréable surprise proposée par cette 33ème édition du Festival du film muet de Pordenone, avec une somptueuse partition musicale de Günter Buchwald au piano pour ce faux mélodrame plein de diffuse finesse et de discrètes subtilités.
  • VOYAGE DANS LE CIEL (1937)
    Note : 8/20
    Les illustrations de ce parcours nécessitant des milliers d'années-lumière, sont plutôt discutables, voire scientifiquement bien folkloriques.
  • THE THIRD MURDER (2017)
    Note : 15/20
    Une œuvre nipponne, avec en filigrane les rapports enfants / parents, qui cumule avec une délectation toute asiatique, sympathie et morosité, avec au départ, une affaire criminelle au moult ramifications et possibles et à son achèvement, une longue et fastidieuse logomachie sur la justice débouchant sur une étrange viduité scénaristique.
  • DERRIÈRE LA FENÊTRE (1966)
    Note : 15/20
    Bienvenu court métrage sur les thématiques de l'exclusion et de la différence, d'un réalisateur rare et précieux qui à travers les propos de l'enfance, dénonce et stigmatise la pesante xénophobie et l'obscène intolérance du monde des adultes.
  • AQUARIUS (2016)
    Note : 15/20
    Commençant avec un étonnant flashback dans les années 1980 lors d'une fête familiale commémorant l'anniversaire des soixante-dix ans de Lucia, une tante bien-aimée, cette suave réalisation brésilienne qui se veut à la fois pertinent portrait d'une femme déterminée et reflet symbolique d'un pays en crise, remet à nouveau en lumière et en grâce une actrice exceptionnelle, Sonia Braga et pointant un second long métrage convaincant d'un cinéaste à suivre, même si la pétulance et le charme de la première partie s'étiolent ensuite dans une rythmique moins soutenue, plus convenue.
  • THE ARBOR (2010)
    Note : 16/20
    Premier long métrage étonnant et séduisant d'une jeune réalisatrice britannique, Clio Barnard, qui enrichit et transfigure la notion même de film documentaire, en intégrant in vivo quelques scènes des pièces de la dramaturge, allant même jusqu'à faire interpréter vocalement par les véritables protagonistes de l'histoire, le texte et les répliques censés prononcés par les acteurs du film ayant investis leurs personnages !
  • HUNGER GAMES : LA RÉVOLTE -1ÈRE PARTIE (2014)
    Note : 10/20
    Troisième opus d'une trilogie littéraire qui va être scindée en deux parties, afin de préserver vaille que vaille le "geai aux œufs d'or" et permettre ainsi une attendue et conséquente plus-value pour le tiroir-caisse des producteurs rapaces. Conséquence de ce charcutage éhonté, une réalisation souvent languissante et même parfois ennuyeuse, composée de longues séquences sans aucun intérêt narratif, uniquement présentes afin de garnir et gonfler le compteur temps, un scandaleux étirement scénique de la durée de projection, pour un cahier des charges mercantile et putassier.
  • DOUBLEPATTE ET PATACHON ANTIQUAIRES (1922)
    Note : 10/20
    Quelques rares gags plus ou moins bienvenus, dans un ensemble discutable, parsemé d'un pseudo-humour plutôt approximatif et volatil qu'on oubliera bien vite.
  • LES ANGES PORTENT DU BLANC (2017)
    Note : 14/20
    Une certaine décontraction filmique et une fausse légèreté existentielle n'entravent nullement une aberrante et consensuelle représentation de la compromission et de la corruption, aussi bien individuelles que collectives, où l'argent se positionne désormais comme seul vecteur social, loin devant l'idéologie et la morale ancestrales.
  • INTERSTELLAR (2014)
    Note : 15/20
    Ainsi que le spectateur, bousculé entre un spectacle souvent mirifique et une histoire somme toute extraordinaire qui se heurtent insidieusement à quelques séquences insipides et longuettes, (dans le vaisseau spatial) des acteurs souvent quelconques (Matt Damon) qui ne semblent guère croire en leur rôle et leur personnage et une cruelle et déplorable absence de dimension philosophique, d'universalité que le sujet imposait, exigeait pourtant impérieusement.
  • LE TOUR DU MONDE DE DOUBLEPATTE ET PATACHON (1924)
    Note : 14/20
    Certainement l'une des œuvres les plus abouties du fameux duo comique danois qui malgré un titre français d'une incompréhensible bêtise, mérite une plus large et plus importante diffusion afin de faire connaître ces deux acteurs étonnants qui auraient même inspirés, quelquefois, pour certains gags, les immenses Laurel et Hardy.
  • FEELINGS (1984)
    Note : 12/20
    Déjà le fameux grotesque du réalisateur !
  • LOVE IS STRANGE (2014)
    Note : 17/20
    D'une infinie tendresse qui respire la douceur de vivre et d'aimer, une œuvre étonnante de simplicité et de justesse, parfaitement maîtrisée dans sa scénographie émotionnelle, qui marque les esprits et les coeurs durablement. Une narration fluide et volatile qui entrouvre furtivement de petites lucarnes d’existence sur des personnages à peine croisés, une écrivaine et son second roman, une jeune soubrette d’origine russe, un gamin chapardeur, une petite fille et sa perception de Chopin, une adolescente en skate, etc... et qui confère à l’ensemble cette fragilité ténue et conciliante de certains moments privilégiés avec ses gens qui passent et se vivent dans une discrète et lancinante harmonie, impalpable et fugace.
  • THE GIRL WITHOUT A SOUL (1917)
    Note : 14/20
    Etonnant et réussi double rôle pour l'actrice Viola Dana dans cette œuvre fort morale donnant lieu à un bienvenu moyen métrage fort judicieusement restauré, à l'occasion d'une rétrospective de huit films du metteur en scène américain John H. Collins, lors du 35e Festival du Film Muet de Pordenone en octobre 2016.
  • FOXTROT (2017)
    Note : 17/20
    Une rare intelligence scénaristique, rehaussée par une finesse psychologique indéniable et une pertinente interprétation collective font de cette œuvre une flagrante réussite cinématographique jonglant adroitement avec les genres et les affects.
  • LES ANGES DÉCHUS (2008)
    Note : 11/20
    Durant une grande partie du film, on se morfond et on s'ennuie ferme, trop souvent engourdi par quelques longues et fréquentes séquences inodores et quelconques, avant que l'ensemble décolle un peu dans son dernier tiers, plus rythmé et plus conséquent, sans arriver pourtant à effacer l'impression d'une évidente rature en comparaison à la notable qualité du roman éponyme.
  • SUBLIME INFAMIE (1919)
    Note : 16/20
    Considérée pour l'époque d'une violence inouïe, aussi bien dans la séquence de bagarre et de rixe entre le héros et les villageois, que lors de la scène de torture (suggérée) où le capitaine allemand est littéralement découpé, charcuté, lacéré à mort, cette œuvre rare a eu le privilège d'avoir été programmée aux 35e Giornate del Cinema Muto (2016) de Pordenone, un festival cinématographique devenu incontournable.
  • RESPECT (2011)
    Note : 3/20
    C'est bête comme un corps sans vie !
  • YENENDI DE GANGEL. LE VILLAGE FOUDROYÉ (1968)
    Note : 15/20
    Des cérémonies fascinantes et terribles, parcourues par des croyances millénaires, faisant appel à des puissances surnaturelles, comme le génie du tonnerre et celui de la foudre, se déroulent ainsi dans une délirante atmosphère de douloureux envoûtement, un intense psychodrame qui pour certains se confine au folklore local et pour d'autres en appelle à des forces qui nous dépassent. Il est pourtant nécessaire que la mémoire de ces rites perdurent dans la conscience collective et ne se laissent pas effacer par la prétendue civilisation européenne.
  • HUNGER GAMES : LA RÉVOLTE - 2ÈME PARTIE (2015)
    Note : 14/20
    Malgré un final quelque peu gnangnan et pesamment fleur bleue, avec notre égérie désormais mariée et mère de deux enfants, alanguie dans une nature rayonnante et complice de cette harmonie retrouvée, on ne peut que reconnaître à cette romance guerrière d'anticipation, en quatre parties de près de neuf heures de projection, une réussite dans le genre, avec une jeune actrice remarquable et remarquée.
  • IT COMES AT NIGHT (2017)
    Note : 13/20
    Sur une trame classique de science-fiction apocalyptique, relativement efficace dans sa scénographie angoissante, l'œuvre cherche moins à générer un climat d'angoisse afférant à ce genre de production que de stigmatiser la crainte et la méfiance de l'autre souvent plus dévastatrices que la menace originelle.
  • POESIA SIN FIN (2016)
    Note : 16/20
    Dans la continuité de son film précédent avec lequel il forme un étonnant diptyque conceptuel sur la genèse d'une personnalité en devenir, le cinéaste nous propose sa vision mordorée et fantasque d'une existence débordante et débordée d'injonctions libertaires, dans un monde sans cesse en butte aux interdits et aux uniformes.
  • LA FILLE DANS LE BROUILLARD (2017)
    Note : 13/20
    Force est de reconnaître bien des séductions et des agréments à ce premier long métrage réalisé par l'écrivain du roman dont est adaptée l'histoire et qui fut un indéniable succès livresque. Mais à force de vouloir faire brillant et subtil, le metteur en scène emberlificote son histoire livrée à quelques incohérences, guère gêné de laisser le spectateur dans un dépréciatif flou narratif qui n'a rien d'artistique.
  • LES QUATRE PLUMES BLANCHES (1929)
    Note : 14/20
    Bienvenu et maîtrisé film d'aventures exotiques projeté au 34e Festival International du Film d'Amiens dont nous retiendrons surtout les fortes séquences documentaires concernant une éperdue et confuse fuite d'une imposante colonie de singes et d'un renversant troupeau d'hippopotames paniqués par un ravageur incendie.
  • TWENTY-FOUR-DOLLAR ISLAND (1927)
    Note : 17/20
    On appréciera surtout l'intelligence et la pertinence d'un montage superbe !
  • C'EST PAS SI COMPLIQUE (2000)
    Note : 11/20
    C'est gentillet, et c'est tout !
  • A CAPPELLA (2013)
    Note : 15/20
    Alliant avec une rigueur exemplaire la narration des conséquences psychologiques d'un drame sordide, progressivement dévoilé, dans de courts et sibyllins flash-back clairsemés, avec une sourde dénonciation des déviances morales et sociales d'une collectivité coréenne machiste, en partie corrompue et dont les valeurs s'inscrivent dans l'apparence, le paraître et la représentation univoque d'une respectabilité exemplaire, voire impérative, ce premier long métrage intrigue et séduit amplement. De plus, la description réussie d'un univers féminin adolescent se révèle d'une constante justesse d'esprit et de ton, parachevée par quelques subtils plans d'une poétique et fine abstraction qui se manifestent entre autres dans l'ambiguë clôture natatoire du film.
  • RHINOCÉROS (1964)
    Note : 14/20
    Un réalisateur toujours aussi subtilement méchant.
  • EVERYBODY KNOWS (2018)
    Note : 15/20
    Si le réalisateur a gardé son étonnante maîtrise technique et situationnelle dans la confrontation des personnages et la progressive révélation des non-dits et des dissimulations relationnelles, on reste nettement dubitatifs voire fortement déçus par une intrigue qui s'effiloche, pour se diluer dans un dénouement en peau de chagrin, comme une fallacieuse baudruche qui se dégonfle inexorablement.
  • FÉTICHE PRESTIDIGITATEUR (1934)
    Note : 14/20
    De l'action en cascade et en prouesse, sans temps morts ni piétinements dans les incroyables péripéties de nos gugusses, une foultitude de gags, de drôleries et de folie divers et variés, aux accès quelque part fortement surréalistes.
  • LE VAMPIRE (1945)
    Note : 15/20
    Des bestioles bien plus horribles que le brave Max Schreck.
  • LES TROIS COUSINS (1969)
    Note : 15/20
    Mourir pour cinq francs !
  • FÉTICHE SE MARIE (1935)
    Note : 12/20
    Histoire parfaitement loufoque qui plaira aussi bien aux grands qu'aux petits.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
VICTIMES INCONSCIENTES (1927) 17
LE PROCÈS DES TROIS MILLIONS (1926) 17
LOVE IS STRANGE (2014) 17
TWENTY-FOUR-DOLLAR ISLAND (1927) 17
FOXTROT (2017) 17
GORNICHNAYA DHZENNI (1918) 16
SICARIO (2015) 16
SUBLIME INFAMIE (1919) 16
POESIA SIN FIN (2016) 16
READY PLAYER ONE (2017) 16
THE ARBOR (2010) 16
AMOURS CANNIBALES (2013) 15
DERRIÈRE LA FENÊTRE (1966) 15
INTERSTELLAR (2014) 15
YENENDI DE GANGEL. LE VILLAGE FOUDROYÉ (1968) 15
A CAPPELLA (2013) 15
DETOUR (2016) 15
LES DÉMONS (2015) 15
L'HIPPOCAMPE OU CHEVAL MARIN (1934) 15
AQUARIUS (2016) 15
LE VAMPIRE (1945) 15
HERBIE (1966) 15
TEVYE LE LAITIER (1939) 15
THE THIRD MURDER (2017) 15
EVERYBODY KNOWS (2018) 15
LES TROIS COUSINS (1969) 15
LES QUATRE PLUMES BLANCHES (1929) 14
FÉTICHE PRESTIDIGITATEUR (1934) 14
LE TOUR DU MONDE DE DOUBLEPATTE ET PATACHON (1924) 14
THE GIRL WITHOUT A SOUL (1917) 14
HUNGER GAMES : LA RÉVOLTE - 2ÈME PARTIE (2015) 14
RHINOCÉROS (1964) 14
BLACK CHRISTMAS (1974) 14
À L'HEURE DES SOUVENIRS (2016) 14
LES ANGES PORTENT DU BLANC (2017) 14
K-SHOP (2016) 13
LA SOLEDAD (2016) 13
IT COMES AT NIGHT (2017) 13
LA FILLE DANS LE BROUILLARD (2017) 13
FÉTICHE SE MARIE (1935) 12
PET (2016) 12
FEELINGS (1984) 12
LA STATUA DI CARNE (1921) 11
LES ANGES DÉCHUS (2008) 11
C'EST PAS SI COMPLIQUE (2000) 11
HUNGER GAMES : LA RÉVOLTE -1ÈRE PARTIE (2014) 10
DOUBLEPATTE ET PATACHON ANTIQUAIRES (1922) 10
VOYAGE DANS LE CIEL (1937) 8
LA CAVALEUSE AU CORPS CHAUD (1974) 6
RESPECT (2011) 3