Troisième opus d'une trilogie littéraire qui va être scindée en deux parties, afin de préserver vaille que vaille le "geai aux œufs d'or" et permettre ainsi une attendue et conséquente plus-value pour le tiroir-caisse des producteurs rapaces. Conséquence de ce charcutage éhonté, une réalisation souvent languissante et même parfois ennuyeuse, composée de longues séquences sans aucun intérêt narratif, uniquement présentes afin de garnir et gonfler le compteur temps, un scandaleux étirement scénique de la durée de projection, pour un cahier des charges mercantile et putassier.