Aucun résultat pour cette recherche
LES ANGES DÉCHUS-2008-
Nationalité : Norvège
Titre VO : Varg Veum - Falne engler
Durée : 1h35
Film Inédit en salle en France
Genre : THRILLER
Themes
Suicide
- cinéma norvégien -
Milieu médical
- cinéma norvégien -
Photos et photographes
- cinéma norvégien -
Détectives privés
- cinéma norvégien -
Milieu scolaire
- cinéma norvégien -
Réalisation : Morten TYLDUM
Inspiration : D'après un roman de Gunnar STAALESEN
Prise de vues : John Andreas ANDERSEN
Musique : Ginge ANVIK
Résumé
Une jeune adolescence, prénommée Line, fille d'un policier de la patrouille de surveillance de la ville de Bergen, est retrouvée par sa mère, pendue dans l'appartement familial. Un dramatique acte désespéré rapidement remis en cause par la mort, quelques jours plus tard, de la dénommée Rebecca, une photographe de mode, copine attitrée de Jacob, le chanteur adulé d'un célèbre groupe de rock local, que Varg Veum, un décontracté et sagace détective privé, avait connue dans le passé et qu'il surveillait discrètement à la demande de son compagnon qui la soupçonnait de quelques régulières infidélités. C'est ainsi que notre scrupuleux enquêteur sera le témoin involontaire de son agression, ne pouvant finalement que constater son meurtre par strangulation, le corps adroitement suspendu à un soliveau de la vaste et cossue demeure du couple. Un décès criminel, rapidement suivi par le meurtre immonde d'une petite fille de cinq ans, prénommée Dina, elle aussi retrouvée pendue dans le même accoutrement déroutant et baroque, une simple robe blanche immaculée. Dans un premier temps, l'inspecteur Hamre qui diligente l'enquête, s'oriente vers la notion de crimes rituels ou sectaires, une direction finalement rejetée, pour privilégier l'explication d'une sordide vengeance, les victimes ayant toutes un rapport proche ou lointain avec les membres du groupe rock de Jacob.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 11/20
Durant une grande partie du film, on se morfond et on s'ennuie ferme, trop souvent engourdi par quelques longues et fréquentes séquences inodores et quelconques, avant que l'ensemble décolle un peu dans son dernier tiers, plus rythmé et plus conséquent, sans arriver pourtant à effacer l'impression d'une évidente rature en comparaison à la notable qualité du roman éponyme.
Ajouter Votre
Critique/Commentaire