Critique(s)/Commentaire(s) de AXEL

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  • LES GLADIATEURS (1954)
    Un spectacle très agréable et un régal pour les yeux. Susan Hayward (improbable dans ce rôle comme dans celui de Bethsabée) a toujours assuré et on y croit. Pas spécialement jolie, mais dotée d'un charisme et d'un sex appeal rarement atteint, elle a assumé tous ses rôles avec une égale constance qui force l'admiration des cinéphiles. Face à elle, une autre perle du cinéma américain : Debra Paget, l'ingénue type, dotée d'une beauté trop anachronique pour l'époque. Quant à Jay Robinson, acteur trop méconnu, il trouve dans le personnage de Caligula le rôle de sa vie.
  • LE GENDARME À NEW YORK (1965)
    2ème opus de la série avec des séquences indigentes entre gendarmes mais New York est particulièrement bien filmé et l'hommage à "West Side Story" assez réjouissant.
  • LES AVENTURES DE TOM POUCE (1958)
    Une réussite de George Pal (effets spéciaux, numéros musicaux), le tout relevé par l'humour de Peter Sellers et Terry Thomas et surtout le talent de l'adorable Russ Tamblyn.
  • LES TROIS MOUSQUETAIRES (première partie) (1961)
    Quoiqu'on en dise, la version de Borderie est l'une des plus fidèles au roman. Belle distribution, mais quel dommage que l'adorable Mylène Demongeot ne joue pas juste dans le rôle de Milady.
  • REFLETS DANS UN OEIL D'OR (1967)
    A la vision du film, on ne peut être que mitigé : chef-d'oeuvre ou ratage complet joué par deux stars pathétiques, fanées et bedonnantes, caricatures de sex-symbol : Taylor (nymphomane) et Brando à l'érotisme (bisexuel) toujours trouble... Il en résulte un goût amer dans la bouche assez malsain. Le plan panoramique de fin est ridicule. Julie Harris est très bien comme d'habitude.
  • LA HORSE (1969)
    Jean Gabin, Jean Gabin et encore Jean Gabin.. A croire que toutes les scènes avec ses partenaires ont été coupées : Eléonore Hirt, Danièle Ajoret, Christian Barbier, André Weber, excellents acteurs (mais qui n'ont pas grand chose à défendre), deux espoirs pour faire "jeune" : Marc Porel, clone de Delon et Orlane Paquin (sortie du feuilleton familial "Vive la vie", complaisamment dénudée à la suite d'un viol... La réalisation efficace reste très déplaisante et malsaine vu le message véhiculé (auto défense, patriarcat réactionnaire, les "victimes" employant les mêmes armes que les agresseurs).
  • SCARAMOUCHE (1952)
    Cette production reste une référence dans le genre du film de cape et d'épée, pour la forme, spectaculaire et chatoyante (pas pour le fond, l'intrigue est stupide : un jeune aristocrate embrassant la cause du peuple en déposant des libelles, son ami, héritier d'une grande famille qui croit tomber amoureux de sa soeur...). Stewart Granger est charismatique mais il atteindra le sommet (et la synthèse de ses prestations) dans "Les contrebandiers de Moonfleet". A ses côtés, Janet Leigh est délicieuse et Eleanor Parker, sublimissime.
  • GIGI (1958)
    Minnelli, amoureux de la France a raté cependant son adaptation de Colette, ennuyeuse et bousouflée.
  • LES TONTONS FLINGUEURS (1963)
    Très surestimé ce film qui n'arrive pas au niveau d'autres moins connus de Lautner "Les barbouzes" ou "Des pissenlits par la racine", infiniment plus réussi et surréaliste. Reste la scène très réussie de la cuisine, mais il y en a deux autres : la réunion des "gens du métier" (avec l'excellente Dominique Davray) et celle de l'apparition de Pierre Bertin (qui joue le rôle du père de Claude Rich). Autre hic, la coproduction qui a engagé des acteurs allemands (Sabine Sinjen, Host Frank, Charles Regnier), ce qui fausse un peu plus l'estime inconditionnelle qu'on aurait pu avoir pour la production.
  • CONTES IMMORAUX (1974)
    Borowczyk profite d'un état de grâce usurpé car son film à sketches est très mal filmé et la chair y est bien triste, le tout assaisonné d'une psychologie intello à deux balles.
  • PANIQUE (1946)
    A part quelques erreurs de parcours, Duvivier est un grand réalisateur et un grand directeur d'acteurs, mésestimé par rapport à Jean Renoir, René Clair, etc... Et cette très noire adaptation de Simenon est une réussite totale servie par un Michel Simon sensationnel et une Viviane Romance dans un personnage de séductrice un peu plus flétrie et un peu plus fouillé que les conventions du genre.
  • LES RISQUES DU MÉTIER (1967)
    Sans doute le meilleur rôle de Brel, tout en demi teintes, bien épaulé par Emmanuelle Riva.
  • MADAME DU BARRY (1954)
    Le film est très agréable. Martine Carol a bien du charme même si elle joue la Du Barry bonne fille un peu gourdasse style la Parisienne des années 50. André Luguet est très bien aussi, mais trop âgé pour le rôle. Reste toujours les acteurs de composition qui firent honneur au cinéma français : Daniel Ivernel, excellent, Gabrielle Dorziat, Marguerite Pierry, Noël Roquevert, Denis D'Inés, Jean Parédés, Georgette Anys ... et de très jolies filles comme Pascale Roberts, Claude Sylvain, Nadine Tallier... Toute une époque.
  • LA TULIPE NOIRE (1963)
    On est bien loin de "Fanfan La Tulipe". Pourtant Alain Delon (dans un double rôle) avait la prestance nécessaire pour être un héros de film de cape et d'épée. Mais le genre est ici galvaudé par des dialogues indigents et un comique troupier mettant en scène des personnages fantoches et caricaturaux (exemple Robert Manuel qui se la joue "Au théâtre ce soir").
  • LE CAVE SE REBIFFE (1961)
    Acteurs savoureux (Gabin, Blier, Leclerc, Villard, Rosay, Balpêtré, Biraud), dialogues au couteau, ce film, malgré les années se voit toujours avec un réel plaisir et le public ne s'y est pas trompé. Et il est largement supérieur au film de Lautner "Les tontons flingueurs" (starifié à cause d'une scène dans la cuisine). Seule déception, le personnage joué par Martine Carol en perte de vitesse.
  • LES SUSPECTS (1974)
    Ce qui aurait pu donner lieu à l'analyse clinique et psychologique d'une enquête policière avec comme point de départ le meurtre d'une jeune femme, tombe dès le départ dans la platitude et la banalité la plus absolue. Le réalisateur, Michel Wyn, venant de la télévision, cela explique sans doute cela. Mais que le film n'a même pas la qualité d'un honnête téléfilm. Même des acteurs aussi aguerris que Bruno Crémer, Michel Lonsdale, Paul Meurisse ou Michel Bouquet n'arrivent pas à tirer leur épingle du jeu dans cette réalisation transparente.
  • LE JOURNAL D'UNE FEMME DE CHAMBRE (1946)
    A part "L'homme du Sud", la carrière de Jean Renoir aux Etats Unis est un ratage complet. Cette adaptation d'Octave Mirbeau (on sait ce qu'en fera plus tard Bunuel)hésite entre le vaudeville et le drame sans trouver ses marques dans une France (fin 19ème siècle) recréée en studio, figée et aseptisée à la sauce hollywoodienne. Reste l'abattage yankee de Paulette Goddard et la drôlerie d'Irène Ryan. C'est bien peu.
  • CLASSE TOUS RISQUES (1959)
    Un bon polar qui fut un insuccès notoire et qui est pourtant la meilleure réussite de Sautet avant de s'embourgeoiser.
  • MOURIR D'AIMER (1970)
    Très manichéen (Les parents, la société, tous très méchants) mais en même temps très généreux. François Truffaut avait écrit à Girardot pour qu'elle refuse le rôle (il devait se prendre pour Dieu le Père. L'actrice a eu raison d'accepter, sans elle, Gabrielle Russier serait tomber dans l'oubli.
  • LE GUIGNOLO (1979)
    Le film le plus nul de Lautner. Une pantalonnade vaudevillesque de très mauvais goût.
  • CLAUDE ET GRETA (1969)
    Après avoir complaisamment filmé des scènes saphiques, Pécas, réactionnaire termine par une fin édifiante : comme quoi l'homosexualité féminine et masculine est une maladie perverse. A vomir.
  • CHAIR DE POULE (1963)
    Ce film noir à redécouvrir est une réussite du genre. Catherine Rouvel est magnifique. Elle aurait pu être notre Claudia Cardinale nationale si les réalisateurs français ne l'avait sous employée...
  • GOLGOTHA (1935)
    Jean Gabin avec son accent parigot jouant Ponce Pilate et Robert Le Vigan, hallucinant Jésus ont fait entrer ce film dans les annales.
  • DEUX HOMMES DANS LA VILLE (1973)
    L'intrigue est invraisemblable avec ce facétieux Destin qui s'acharne sur le pauvre Delon. Pourtant cette production doit être sauvée de l'oubli pour cette ultime séquence où le malheureux héros va être guillotiné. En quelques secondes on assiste à ce qu'aurait dû être le film : un plaidoyer contre la peine de mort.
  • SAMSON ET DALILA (1949)
    La mise en scène grandiose et spectaculaire ne parvient pas à faire oublier la médiocrité du traitement. C'est un monument du kitch avec des couleurs criardes, des décors pompeux. En plus, les deux stars du film ne sont pas réputées pour leur talent d'interprétation. Reste le plaisir ineffable de revoir Angela Lansbury, totalement "mistcast" dans sa période de films en costumes("Les trois mousquetaires", "Le bouffon du roi").
  • CHARADE (1963)
    Humour et suspense font bons ménage dans ce film très élégant. Le couple Audrey Hepburn/Cary Grant est un régal. Le scénario est très bien agencé et la partition musicale d'Henry Mancini est formidable.
  • LES SENTIERS DE LA GLOIRE (1957)
    Le film a bien vieilli et même s'il souligne l'absurdité et l'horreur de la guerre, il manque de générosité. Le personnage incarné par Kirk Douglas n'est pas un humaniste, seulement un gradé qui, s'il éprouve de la pitié pour ses hommes ne prend pas une position affirmée. Les méchants gradés sont particulièrement caricaturaux.
  • LA BEAUTE DU DIABLE (1950)
    Si l'interprétation de Gérard Philipe et de Michel Simon est exceptionnelle, la mise en scène de René Clair (inspiré par Méliès) est vieillotte et théâtrale. René Clair, à part quelques exceptions, encensé par la critique, a fait preuve d'un goût kitchissime et d'une mise en scène ampoulée.
  • LE VAL D'ENFER (1943)
    Une oeuvre à redécouvrir absolument. Même si Gabriel Gabrio a un jeu assez limité, Ginette Leclerc est parfaite dans son rôle de garce. Edouard Delmont et Gabrielle Fontan sont particulièrement émouvants.
  • LA BANQUIÈRE (1980)
    Un film très qualité française avec une bonne reconstitution d'époque et un casting de choix. Malheureusement, Schneider et la plupart de ses partenaires font le minimum syndical. Aucune profondeur, aucune émotion. Francis Girod a été autrement plus inspiré et plus mordant.
  • BEN-HUR (1925)
    Rien à faire, cette version est nettement supérieure à celle très pompeuse de William Wyler.
  • LES LIONS SONT LACHÉS (1961)
    Une belle distribution pour une satire complétement ratée et ennuyeuse du parisianisme.
  • LA FOLIE DES GRANDEURS (1971)
    Quelques moments divertissants, mais c'est souvent la vulgarité qui prime ici. Face à De Funès qui en fait des tonnes, Montand n'est pas en reste pour un rôle de valet qui ne lui va pas du tout. Le pire est que Gérard Oury est un réalisateur misogyne (Il n'a jamais fait tourner Michèle Morgan -à part une scène coupée dans "Le Corniaud"-). Ici ce sont les malheureuses Karin Schubert et Alice Sapritch qui en font les frais, la première en jolie reine teutonne, donc stupide voire débile profonde, la seconde en duègne, laide donc aigrie et forcément folle de son corps : quelle finesse dans les traits !
  • L'IMPASSE AUX VIOLENCES (1959)
    Apparemment ce film est passé inaperçu car c'est une perle du cinéma du cinéma anglais, tiré d'un authentique fait divers. Au programme : terreur, savoir-faire british et beauté de Billie Whitelaw.
  • FRENZY (1972)
    Retour aux sources pour Hitchcock qui filme Londres avec talent, bien après les exploits de Jack L'Eventreur. Mais après la censure (à part un fantasme du maître)ce n'était pas très élégant de dénuder des actrices confirmées comme Anna Massey (l'une des héroïnes du "Voyeur" autrement plus réussi) ou Barbara Leigh Hunt.
  • E.T. L'EXTRA-TERRESTRE (1982)
    A part une jolie parabole sur le thème de la tolérance (pour une fois l'extra-terrestre n'est pas un méchant envahisseur), ce film soporifique et cucul la praline ne méritait pas le succès planétaire dont il a été l'objet. L'image est d'une laideur atteignant le niveau d'un téléfilm américain des années 80. Et pour la poésie, on peut repasser (évangélisme béhat et sirupeux), d'autres films du même genre destiné à un public très jeune sont infiniment supérieurs.
  • LIAISON FATALE (1987)
    Rien à retenir de ce film si ce n'est la prestation de Glenn Close qui fut l'actrice la plus haïe de Hollywood à cause d'un acteur anti-charismatique au possible mais typiquement américain et antipathique dans ce qu'il y a de plus bas : Michael Douglas, emblème du mâle yankee, veule, lâche qui après avoir tiré son coup joue le mari contri, victime d'une femme fatale. A lui seul, il représente l'hypocrisie d'un système vomitif. Qu'on se souvienne des séquelles de ce succès : "Basic Instinct" ou "Harcèlement" où il reprend son rôle à l'infini. Evidemment comme épouse, on lui a adjoint une gentille actrice de seconde zone (Anne Archer). Sans être féministe (je suis un homme), il y a des limites à ne pas dépasser. Quant à la fin, c'est grand guignol : Glenn Close qu'on croyait morte a des soubresauts de meurtrière pour alimenter le suspense mais c'est sans surprise (pour le public) que la vilaine méchante meure. C'est dégueulasse. Et tant mieux si Glenn Close l'a pris avec humour car elle est vraiment supérieure à ce film poubelle qui a sans doute bousté sa carrière.
  • SAC DE NOEUDS (1985)
    Malgré pas mal de faiblesses, et des situations assez crues, Josiane Balasko signe ici une première oeuvre originale (Premier jet = (souvent) meilleure réussite) avec certaines séquences frisant le surréalisme. Ca ressemble à du Mocky au féminin. Et puis Isabelle Huppert y trouve enfin un contre-emploi (elle ne demandait que cela). Pour les autres rôles, engager Farid Chopel, Howard Vernon, Dominique Lavanant ou France Rumilly, fallait le faire ! De toute façon, c'est infiniment plus supportable que "Les keufs" ou "Gazon maudit", succés commercial qui frise l'imposture.
  • GREYSTOKE LA LÉGENDE DE TARZAN SEIGNEUR DES SINGES (1983)
    La version la plus fidèle du roman d'Edgar Rice Burroughs. Très british avec d'excellentes compositions de Ralph Richardson et du magistral (comme toujours) Ian Holm. Même Christophe Lambert a trouvé dans cette production le rôle de sa vie après avoir joué assez remarquablement des seconds rôles. Il aurait dû prendre sa retraite après le tournage. En fait, ce n'est pas très étonnant qu'il soit devenu le compagnon de Sophie Marceau, c'est un peu le même combat, rencontre de deux stars à la ramasse, dépassés par leur notoriété et qui de fours en petits fours... ne sont plus l'ombre que d'eux mêmes, depuis deux décennies déjà...
  • DROLE DE FRIMOUSSE (1956)
    Le film est très agréable même si les séquences sur l'existentialisme vues par un Amricain sont à hurler de rire. Kay Thompson est formidable d'énergie et d'abattage.
  • DIAMANTS SUR CANAPE (1961)
    Une déception signée Blake Edwards que l'on retrouve dans une excellente scène de "party". Sinon c'est longuet et très vaudeville à l'américaine. Mais bon, il y a Audrey Hepburn.
  • JAMES BOND 007 CONTRE LE DOCTEUR NO (1962)
    Le film n'est vraiment pas terrible (comme tous les films d'espionnage, on n'y comprend rien et les intrigues sont trop alambiquées). En outre Terence Young, réalisateur cosmopolite n'a pas beaucoup de personnalité. Le film ne serait qu'une série B (séquences d'action, gadgets, jolies filles, méchants)s'il n'y avait la présence de Sean Connery, parfaite incarnation du mâle viril. Grâce à son charisme, il survole une série particulièrement infantile. Même si on n'adhère pas à ce genre de film, force est d'admettre que Sean Connery est : 1) Une bombe sexuelle 2) Une star 3) Un vrai comédien 4) Le seul et unique James Bond Malheureusement pour la belle Ursula Andress, star du cinéma bis, ce ne fut qu'une illusion (mais à talent égal...)
  • EMMANUELLE (1973)
    A peine croyable que ce film ait tenu 10 ans à l'affiche : roman-photo érotique avec paysages exotiques pour amateurs de cartes postales et petits bourgeois de la France giscardienne en goguette... En outre l'héroïne d'une passivité exemplaire, jouée par une actrice hollandaise (doublée en français) est un monstre d'inexpressivité. Le plus grave dans ce genre de produit porno-chic qui aura des séquelles, c'est le racisme ambiant et assez colonialiste : les Thaïs sont décrits non pas comme des êtres humains mais comme des indigènes locaux qui imitent les occidentaux. Le plus drôle enfin, c'est le reste de la distribution : Alain Cuny (rescapé des "Visiteurs du soir"), Daniel Sarky (rescapé de feuilletons TV à succès), Marika Green (rescapée de "Pickpocket"), Jeanne Colletin (rescapée de la Comédie-Française !) qui depuis "Traitement de Choc" se dénude allègrement et enfin l'atypique Christine Boisson, pas encore vedette d' "Extérieur Nuit" et dix fois plus sensuelle que Sylvia Kristel...
    J'allais oublier la chanson particulièrement nunuche interprétée par Pierre Bachelet !
  • ROCKY 4 (1985)
    Un film qui a cassé la baraque au box-office et dont le succès est amplement mérité. Sylvester Stallone s'est totalement investi dans ce film et a su donner un impact exceptionnel. Le public ne s'y est pas trompé et a fait de ce film un triomphe. Plus de 300 millions de dollars à travers le monde. Sylvester Stallone connait mieux que personne la caméra et l'a prouvé en mettant en scène le film. Un film qui ne manque pas de punch.
  • LE TRESOR DES NIBELUNGEN (1966)
    Même si on ne peut la comparer à la version de Lang, cette superproduction teutonne est très divertissante et passionnante, se plaçant il est vrai plus du côté de l'héroïc fantasy que de la légende germanique. Uwe Beyer (ancien athlète) et Maria Marlow ne sont pas très charismatiques, mais ils sont bien épaulés notamment par la très belle Karin Dor.
  • PILE OU FACE (1980)
    Autant pour moi. Je pensais à "L'Horloger de Saint-Paul" de Tavernier avec Noiret et Rochefort, film nettement supérieur ayant un sujet assez similaire. Donc lapsus révélateur (Serrault, irréprochable comme d'habitude). Merci pour la précision.