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LA FOLIE DES GRANDEURS-1971-
Nationalité : France
Durée : 1h53
Date de sortie en France : 08/12/1971
Genre : COMÉDIE
Réalisation : Gérard OURY
Prise de vues : Henri DECAE
Musique : Michel POLNAREFF
Cascades : Claude CARLIEZ
Distributeur : Gaumont Distribution
Visa d'exp. : 37336
Résumé
Une vague adaptation stupide de "Ruy Blas" (Victor Hugo) version pseudo-comique qui nous montre les amours de Don Sallustre et de la Reine d'Espagne.
Critiques et Commentaires
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 6/20
Tentative parodique qui sent le renfermé et la facilité, oscillant entre le vulgaire graveleux et la farce grotesque. On peut se demander dans quelle galère s'est fourvoyé notre intello de gauche et de service, Yves Montand. C'était le début de "sa" "folie des grandeurs" qui ne semble plus l'avoir quitté depuis.
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Critique/Commentaire
Critiques - Commentaires Public
inconnu(e)
Votre critique est stupide, Axel, puisque les rôles joués par de Funès et Montand ne sont pas reluisants non plus. Alors si, comme vous dites, Oury est misogyne, alors il est encore plus misandre.
inconnu(e)
En effet, cette "adaptation" de la pièce "Ruy Blas" de Victor Hugo est assez éloignée du drame initial; cependant, Louis de Funès et Yves Montand sont remarquables. On peut tout de même regretter un manque de finesse de la part de Gérard Oury; C'est d'ailleurs son habitude.
inconnu(e)
Je suis très déçu des notes et des avis donnés par votre site. Ce film est au contraire une réussite. Et il montre de Funès et Montand, au sommet de leur art. C'est pour moi, un chef-d'œuvre du cinéma comique français ....
Quelques moments divertissants, mais c'est souvent la vulgarité qui prime ici. Face à De Funès qui en fait des tonnes, Montand n'est pas en reste pour un rôle de valet qui ne lui va pas du tout. Le pire est que Gérard Oury est un réalisateur misogyne (Il n'a jamais fait tourner Michèle Morgan -à part une scène coupée dans "Le Corniaud"-). Ici ce sont les malheureuses Karin Schubert et Alice Sapritch qui en font les frais, la première en jolie reine teutonne, donc stupide voire débile profonde, la seconde en duègne, laide donc aigrie et forcément folle de son corps : quelle finesse dans les traits !
Bibliographie