Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 50 films notés

Page 28 sur 332 (16566 critiques au total)

  • QUELQUES INTERVIEWS SUR DES QUESTIONS PERSONNELLES (1976)
    Note : 15/20
    D'une évidente pétulance, portée par un montage énergique et vif, balayée en filigrane par un humour acidulé et fin, une œuvre qui rappelle la bienvenue turbulence tchèque d'une Vera Chytilova et ses Petites Marguerites, concoctée par une réalisatrice essentielle de la cinématographie géorgienne dont nous avons pu apprécier quelques pépites au 23e Festival International des Cinéma d'Asie de Vesoul.
  • GLORY (2016)
    Note : 16/20
    Sous un acidulé humour pétulant et bon enfant, une violente diatribe contre la profonde déliquescence des valeurs morales d'une société percluse par les délictueuses compromissions, les magouilles organisées et les prébendes illicites, le tout orchestré par une permanente prévarication depuis le simple ouvrier jusqu'aux plus hautes sphères politiques et sociales, en passant par les représentants de l'ordre.
  • LETO (2018)
    Note : 17/20
    Une création cinématographique étonnante de subtilité et de fraîcheur qui aligne d'élogieux superlatifs aussi bien dans le domaine de l'interprétation, avec un trio d'acteurs et quelques acolytes époustouflants et une remarquable gestion de la prise de vue agrémentée de temps à autre, d'inattendues combinaisons stylistiques et techniques comme l'incrustation, le coloriage, la surimpression.
  • POETRY (2010)
    Note : 16/20
    Un constat lucide et désenchanté sur l'inanité de l'humanité en général, sur la médiocrité de l'existence en particulier, deux notions philosophiques qui restent souvent hermétiques et brumeuses dans leur appréhension et que l'écriture et la poésie pourraient estampiller d'une signification nouvelle ou du moins d'une perception au-delà d'une basique compréhension organique où les mots se défilent comme les années, dans une criarde opacité désespérante et permanente.
  • SARAH WINCHESTER, OPERA FANTOME (2016)
    Note : 16/20
    Séduisante et miraculeuse osmose entre un récit dramatique à connotation historique, la création d'un opéra, la constante interaction avec le ballet, le fantastique, la technologie.
  • PITY (2018)
    Note : 16/20
    Un exemple parfait de cette "nouvelle vague grecque" qui cultive un humour noir volontiers absurde, distillé par un jeu d'acteurs délibérément inexpressif, souvent faussement théâtralisé, dans une stylisation méthodologique qui par son incongruité et son hypertrophie provoquent une indéniable originalité cinématographique.
  • LA ISLA MINIMA (2014)
    Note : 16/20
    Les magnifiques photos en scope des paysages environnants, saisies dans la verticalité de judicieuses prises de vues aériennes de centaines de bigarrées parcelles aquatiques et terrestres, comme d'époustouflants puzzles de couleurs et de reflets multiples, contrastent en puissance et définition avec la déliquescence et la noirceur des individus qui s'agitent et grouillent comme des insectes malfaisants et tenaces.
  • LA COLÈRE D'UN HOMME PATIENT (2015)
    Note : 15/20
    Première réalisation d'un acteur hispanique pourvu d'une solide filmographie devant la caméra, cette production espagnole mérite le détour, malgré son message ostensiblement orienté vers la justice expéditive hors d'une réglementaire légalité.
  • ULTRA PULPE (2018)
    Note : 10/20
    Un peu du n'importe quoi, tourné un peu n'importe comment, qui dégage parcimonieusement des errements de poésie dans un fatras de concepts et de références incongrus.
  • THE WOMAN ON PIER 13 (1949)
    Note : 15/20
    Intéressant film noir rondement mené qui entre dans la détestable catégorie des films orientés lourdement vers un anticommunisme primaire présentant les Rouges comme des brutes immondes pétris de haine et de projets meurtriers.
  • STORM CHILDREN, BOOK ONE (2014)
    Note : 15/20
    Un constat évident se dégage fortement de ce documentaire philippin, l'inaltérable joie de vivre des enfants, malgré les moult vicissitudes de l'existence.
  • LAST DAYS (2005)
    Note : 11/20
    C'est fastidieux, pesant et sans intérêt !
  • L'EMPEREUR TOMATO-KETCHUP (1971)
    Note : 17/20
    Un efficace et tonitruant brûlot, moult fois censuré et tronqué.
  • TUNNEL (2016)
    Note : 15/20
    En dehors du classique huis-clos propre à tout "film-catastrophe" à connotation de claustration, cette production coréenne insiste avec bonheur sur l'inquiétante incurie des secours, la scandaleuse prévarication des travaux d'ingénierie et la suprématie des notions de profits et de rentabilité, méprisables causes avérées de bien des désastres.
  • BORDER (2018)
    Note : 16/20
    Magistrale allégorie sur le droit à la différence, primée au Festival de Cannes (Un Certain Regard) avec en filigrane les nombreuses et permanentes exactions commises contre les Lapons et les Sâmes, des peuples exploités, rejetés, spoliés, éhontément.
  • CONTE DE LA VARIOLE (1975)
    Note : 11/20
    Une discutable tentative pour associer la pellicule d'un film à la peau humaine.
  • LAURA NUE (1961)
    Note : 15/20
    Une œuvre fort décriée par le milieu cléricale de l'époque pour le comportement amoral de l'héroïne et son refus de voir la religion comme une possible réponse salvatrice à son profond malaise. Dans la pure lignée des films néoréalistes avec leurs thématiques sur l'incommunicabilité, l'échec relationnel et la nausée existentielle.
  • MANIFESTE DE SANG (2015)
    Note : 16/20
    L'art brut dans toute son effusion !
  • WINTER IN WARTIME (2008)
    Note : 16/20
    Une efficace et bienvenue adaptation d'un excellent roman néerlandais mêlant adroitement épisode historique, enchevêtrement scénaristique et romance amoureuse, soutenue par des acteurs étonnants de conviction et de sincérité.
  • WITHIN OUR GATES (1919)
    Note : 15/20
    Une des toutes premières œuvres du cinéma noir américain, par un pionnier du genre, qui fut longtemps considérée comme perdue et qui doit beaucoup à l'excellente interprétation de la grande Evelyn Preer, décédée à l'âge de 36 ans d'une pneumonie.
  • GLORIA VICTORIA (2012)
    Note : 17/20
    D'une force sidérante !
  • SLEEPWALKERS (2011)
    Note : 5/20
    Avec un peu de chance, notre réalisateur a pu se faire soigner gratuitement de son narcissisme gonflant et de sa pesante incompréhension cinématographique.
  • SAINT GEORGES (2016)
    Note : 14/20
    On est loin des habituels clichés touristiques sur le charme et la décontraction lisboète, mais de plain-pied dans la périphérie suburbaine de la grande agglomération portugaise, celle des logements précaires dans de fantomatiques cités-dortoirs accolées à des friches industrielles et de comateuses fabriques en déshérence.
  • DRUX FLUX (2008)
    Note : 16/20
    Une foisonnante inspiration politique !
  • LE JOUR DE MA MORT (2006)
    Note : 5/20
    C'est prétentieux au possible, d'une vanité certaine et d'une incompréhension pesante, surtout en ce qui concerne la première partie du court métrage.
  • LA MAISON DE LA RUE TROUBNAÏA (1928)
    Note : 14/20
    Une histoire très morale qui punit les méchants profiteurs de la classe ouvrière.
  • PERSONNE NE VEUT JOUER AVEC MOI (1976)
    Note : 11/20
    Pas de quoi s'extasier !
  • LA FEMME LA PLUS RICHE DU MONDE (1934)
    Note : 14/20
    Sur un sujet d'une suave complexité scénaristique, commis par l'incontournable et subtil auteur Norman Krasna, porté par des acteurs performants dans leurs rôles respectifs et rehaussé par une solide prise de vue, avec derrière la caméra l'imposant chef-opérateur Nicholas Musuraca, on se retrouve en fin de compte devant une comédie romantique, certes agréable, mais manquant souvent de vitalité et d'énergie, de fougue et d'entrain qui serait sans peine passer du statut de sympathique réalisation sentimentale à celui de chef d'oeuvre inoubliable et magique, confiée aux soins et au doigté d'un Frank Capra ou d'un Ernst Lubitsch.
  • L'HOMME LE PLUS LAID DU MONDE (1928)
    Note : 16/20
    Prenant comme prétexte et comme support scénaristiques l'univers âpre et belliqueux du film de gangsters, Frank Capra nous délivre un intéressant et plutôt émouvant mélodrame dont la trame et le climax iront en crescendo jusqu'au sacrifice final, sur fond d'amour impossible et de rédemption ultime.
  • LA PEAU DU CHAT (1962)
    Note : 14/20
    Plutôt significatif de la misère du monde.
  • AYKA (2018)
    Note : 14/20
    Rien à redire sur la prestation de l'actrice principale ni sur la récompense cannoise qui lui fut attribuée sans grande hésitation. Par contre, nous restons bien plus mitigé quant à l'atmosphère ambiante délibérément glauque, lourdement entretenue par des séquences d'un misérabilisme et d'une noirceur exacerbés avec insistance et délectation, sans aucune résonance politique et sociale quelconques, hormis une vague référence aux dessous-de-table et autres arrangements illicites et délictueux.
  • HELL (2011)
    Note : 13/20
    Sur une brûlante thématique apocalyptique, une oeuvre pessimiste et désespérée qui se place largement au-dessus du lot des habituels films du genre, essentiellement par la qualité de l'interprétation des principaux protagonistes et une réelle maîtrise des éléments scénaristiques qui sous-tendent la dramaturgie, sans excès surnuméraires d'effets spéciaux ou spécieux, de grandiloquence et d'agitation.
  • SATAN, MON AMOUR (1971)
    Note : 8/20
    Surfant sur le succès mérité, environ deux années auparavant, du séduisant film de Roman Polanski, "Rosemary baby" ce pénible opus fantastique à connotation diabolique charrie de lourdes séquences besogneuses et quelconques, quelquefois même inutiles et risibles, quand l'ensemble ne sombre pas dans un stupide fatras d'images et de plans floutés, de prises de vue volontairement déformées, de préférence lors de scènes prétendues oniriques ou traumatiques. Nous tairons une fin calamiteuse, d'une médiocrité et d'une incohérence inimaginables.
  • UNE FAMILLE HEUREUSE (2017)
    Note : 15/20
    Des acteurs convaincants, pour une histoire somme toute ordinaire, dépassant largement l'univers géorgien dont nous retiendrons cette bienheureuse propension à marquer toute rencontre ou retrouvailles collectives par une atmosphère musicale et des chants polyphoniques ou non, d'une grâce et d'une douceur remarquables.
  • WINNING YOUR WINGS (1942)
    Note : 14/20
    Film didactique et promotionnel jamais ennuyeux !
  • LE MONSTRE DU MARECAGE (1956)
    Note : 4/20
    D'une incroyable nullité, d'une confondante indigence scénaristique et d'une abyssale bêtise rendant presque l'ensemble sympathique à force de tremper dans l'insipide, la niaiserie et la naïveté. Reste de temps à autre, une superbe image merveilleusement surannée, d'un ancien chef-opérateur de Luis Bunuel.
  • WELTSTADT IN FLEGELJAHREN (1931)
    Note : 15/20
    Une vision fort personnelle de l'univers citadin, influencée par aucun courant artistique de l'époque, sur la ville de Chicago, référencée comme la seconde ville des Etats-Unis lors du tournage, pour cette œuvre muette considérée comme perdue jusqu'au début des années 1980, magnifiquement restaurée en 1993.
  • LA NUIT DE LA MÉTAMORPHOSE (1976)
    Note : 16/20
    Une édifiante parabole sur les sournois dangers du fascisme rampant qui se cache et se love toujours sous des apparences trompeuses et qui cherche insidieusement à contaminer son entourage pour l'avènement d'un état univoque et totalitaire.
  • AN ELEPHANT SITTING STILL (2018)
    Note : 19/20
    Fulgurante œuvre cinématographique tragiquement unique (le cinéaste Hu Bo s'est suicidé peu avant la sortie de son film) qui par-delà le destin de quelques vagues individualités, impose une métaphysique hébétée et désenchantée de l'humanité engluée dans les leurres et les errements des pantins de la Caverne platonicienne.
  • LES APACHES (2013)
    Note : 14/20
    Adapté d'un fait divers qui s'était déroulé quelques années auparavant dans la région, cette dramatique chronique narrant le navrant et stupide engrenage fatal menant au meurtre, une thématique proche de bien des films noirs, mérite ce détour criminel sur l'île de Beauté, concocté par un cinéaste auquel on ne croyait plus.
  • LA NINA DE FUEGO (2014)
    Note : 14/20
    La rencontre fortuite ou prévisible de trois strates d'existence douloureusement perturbées, menée brillamment par touches elliptiques et asynchrones, relève hélas plus de l'exercice de style, de la prétendue performance scénaristique, de la pressante obsession d'intriguer, de séduire, sans assumer, narrativement la complexité des personnages, se contentant d'une lourde schématisation de leurs motivations en laissant bien des blancs et des mécompréhensions sur la démarche, la psychologie et les motivations individuelles. Une gênante opacité qui paradoxalement apporte une étonnante atmosphère inquiétante, presque surnaturelle qui irrite et séduit à la fois.
  • A CENTURY OF BIRTHING (2011)
    Note : 15/20
    D'une farouche et quelquefois pesante complexité dans la linéarité des intrigues qui se croisent et se juxtaposent, imposant un enchevêtrement scénaristique certes original qui associe discours sur le cinéma, répétition d'actrice et dualité dans le récit provoqué par le sophistique ordonnancement d'un film dans le film, cette nouvelle réalisation de Lav Diaz souffre, pour notre part, par endosmose, d'indétermination, de fragilité et d'inconstance dans l'habituelle vitalité de la mise en scène.
  • L'APPRENTI (2006)
    Note : 16/20
    Un premier long métrage prometteur d’une noirceur insondable, entre désespérant quotidien inévitable, inexorable fatum prévisible et vision économico-humaine désastreuse. En prime, des acteurs d’une rare efficacité.
  • KEEP SMILING (2011)
    Note : 15/20
    Un permanent humour acidulé, quelquefois grinçant et caustique, traverse l'œuvre de bout en bout qui, avec cette accumulation constante et régulière de tensions et de rivalités souterraines, ne pouvait que se terminer par une inévitable acmé hautement dramatique, en l'occurrence le suicide d'une candidate. De cet acerbe tableau d'un événement médiatique finalement banal et futile, se dégage une radioscopie, certes hyperbolique, voire caricaturale de la société géorgienne et de ses dérives libérales tentant d'occulter vaille que vaille la pauvreté et la corruption endémiques.
  • AMNESIA (2015)
    Note : 8/20
    Retrouvant les lieux enchanteurs et personnels (familiaux) de son percutant et séduisant premier long métrage, le réalisateur Barbet Schroeder aborde avec émotion et gravité la problématique de la culpabilité et ses corollaires, des faux-fuyants comme l'oubli et l'amnésie, ancrés dans un passé honteux et traumatique. Hélas, les bonnes intentions, qu'elles soient historiques ou morales ne suffisent pas à dissimuler la forte niaiserie de la relation entre les deux générations qui culmine avec un final digne d'un calamiteux roman-photo, entre impérieuse hilarité et lourde consternation.
  • L'AMANT D'UN JOUR (2017)
    Note : 15/20
    De toute évidence, ce qui s'impose et se démarque dans ce dernier film du réalisateur, s'inscrit dans l'interprétation magistrale de Louise Chevillotte, bien plus sobre et plus remarquable que sa partenaire Esther Garrel, dotée d'un discret problème d'élocution qui lui fait constamment avaler les mots, au grand désappointement du spectateur obligé d'une concentration ciblée au détriment d'une harmonieuse perception de l'ensemble. Par contre, on adhère pleinement à la lumineuse idée de scander le déroulement du film d'une balisante voix off narrative qui repositionne l'intrigue, dans le temps et l'événement. Somme toute une œuvre bienvenue, mais quelque peu en deçà des dernières incandescences du metteur en scène, essentiellement dans une incomplétude du témoignage des affects et des sentiments.
  • INTRUSION (1961)
    Note : 10/20
    Pas de quoi applaudir !
  • LÉVIATHAN (2012)
    Note : 15/20
    A priori, un documentaire de plus sur les différentes problématiques halieutiques rencontrées par une intensification et une sophistication de la pêche en haute mer. En fait, même si la question reste présente en filigrane, la véritable dimension du film se situe dans une prise de vue inorganisée et chaotique de plans et de séquences techniquement incontrôlés, à l'aide de plusieurs petites caméras fixées aux poignets, au torse, à la tête des marins, filmant sans arrêt, durant leurs activités habituelles. Ce qui donne lieu à un déferlement chaotique et lumineux d'images barbares et telluriques, une sorte de monstruosité visuelle, apocalyptique et primitive, où se malmènent éléments liquides divers, embruns, sueurs, éclaboussures, dans une boucherie de chair et de sang, en tranchantes découpes à la machette et machinales éventrations coordonnées. Et c'est dans l'incessant gémissement des cordages, le grincement maladif des treuils, le cri acéré et plaintif des insolentes mouettes et des téméraires goélands que les filets vomissent leur cargaison qui sera plus tard descendu en cales, dans l'antre du navire. Entre délire visuel et sonore qui peut engendrer quelques perceptions hypnotiques et lassitudes hébétées, on côtoie une forme d'épuisement, de sidération et d'anéantissement, complice et victime de cet incessant carnage mortifère.
  • GRABBERS (2012)
    Note : 13/20
    Sympathique comédie horrifique, aux visqueux trucages parfaitement réussis, avec des acteurs bienvenus, traversée par un humour constant qu'un solide scénario ponctue de maintes péripéties fort bien gérées, sans irritabilité ni ennui quelconques.
  • HERAKLES (1962)
    Note : 15/20
    Première réalisation de Werner Herzog, d'une bienvenue et décapante moquerie.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
AN ELEPHANT SITTING STILL (2018) 19
L'EMPEREUR TOMATO-KETCHUP (1971) 17
LETO (2018) 17
GLORIA VICTORIA (2012) 17
POETRY (2010) 16
LA ISLA MINIMA (2014) 16
WINTER IN WARTIME (2008) 16
L'HOMME LE PLUS LAID DU MONDE (1928) 16
GLORY (2016) 16
SARAH WINCHESTER, OPERA FANTOME (2016) 16
LA NUIT DE LA MÉTAMORPHOSE (1976) 16
PITY (2018) 16
BORDER (2018) 16
MANIFESTE DE SANG (2015) 16
DRUX FLUX (2008) 16
L'APPRENTI (2006) 16
KEEP SMILING (2011) 15
LÉVIATHAN (2012) 15
QUELQUES INTERVIEWS SUR DES QUESTIONS PERSONNELLES (1976) 15
THE WOMAN ON PIER 13 (1949) 15
WELTSTADT IN FLEGELJAHREN (1931) 15
LA COLÈRE D'UN HOMME PATIENT (2015) 15
STORM CHILDREN, BOOK ONE (2014) 15
TUNNEL (2016) 15
LAURA NUE (1961) 15
WITHIN OUR GATES (1919) 15
UNE FAMILLE HEUREUSE (2017) 15
A CENTURY OF BIRTHING (2011) 15
L'AMANT D'UN JOUR (2017) 15
HERAKLES (1962) 15
LA FEMME LA PLUS RICHE DU MONDE (1934) 14
LES APACHES (2013) 14
LA NINA DE FUEGO (2014) 14
SAINT GEORGES (2016) 14
LA MAISON DE LA RUE TROUBNAÏA (1928) 14
LA PEAU DU CHAT (1962) 14
AYKA (2018) 14
WINNING YOUR WINGS (1942) 14
HELL (2011) 13
GRABBERS (2012) 13
CONTE DE LA VARIOLE (1975) 11
LAST DAYS (2005) 11
PERSONNE NE VEUT JOUER AVEC MOI (1976) 11
ULTRA PULPE (2018) 10
INTRUSION (1961) 10
SATAN, MON AMOUR (1971) 8
AMNESIA (2015) 8
SLEEPWALKERS (2011) 5
LE JOUR DE MA MORT (2006) 5
LE MONSTRE DU MARECAGE (1956) 4