Surfant sur le succès mérité, environ deux années auparavant, du séduisant film de Roman Polanski, "Rosemary baby" ce pénible opus fantastique à connotation diabolique charrie de lourdes séquences besogneuses et quelconques, quelquefois même inutiles et risibles, quand l'ensemble ne sombre pas dans un stupide fatras d'images et de plans floutés, de prises de vue volontairement déformées, de préférence lors de scènes prétendues oniriques ou traumatiques. Nous tairons une fin calamiteuse, d'une médiocrité et d'une incohérence inimaginables.