Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 49 films notés

Page 14 sur 332 (16566 critiques au total)

  • LA CARRIERE DE SAO DIOGO (1962)
    Note : 15/20
    Superbement démonstratif et drôlement subversif !
  • PARA MINHA AMADA MORTA (2015)
    Note : 13/20
    Premier long métrage fictionnel d'un metteur en scène d'origine brésilienne qui jusqu'alors s'était fait remarquer par ses documentaires d'une qualité certaine, découvert au toujours pertinent Festival International du Film d'Amiens (2015).
  • SOUVENIRS D'UN MONTREUR DE SEINS (2014)
    Note : 14/20
    Une itérative et lancinante évocation qui dans sa narration présente finalement peu d'intérêt. Ce qui est bien plus percutant, c'est la détresse existentielle d'une actrice qui suinte et se montre à travers un récit-miroir où se terre l'angoisse de vivre et de vieillir.
  • DOULEUR ET GLOIRE (2018)
    Note : 15/20
    Une œuvre quelque peu apaisée, malgré les moult tourments physiques et psychologiques évoqués, portée par un Antonio Banderas étonnant de maîtrise et de finesse dont l'interprétation fut à juste titre récompensée par un Prix d'Interprétation masculine au dernier festival de Cannes (2019) amplement mérité, justifié.
  • HUNTER (PART 2) (2011)
    Note : 15/20
    Le film est bien sûr parasité par l'étonnant premier opus du réalisateur, tourné quinze ans auparavant et qui reste dans toutes les mémoires. Malgré cet handicap pesant, finalement dépassé par l'habituelle maestria du metteur en scène dans la composition et la maîtrise d'un scénario, on se retrouve à nouveau solidement imprégné par une histoire policière pleine d'attrait et de sourde brutalité.
  • EL CLUB (2014)
    Note : 14/20
    Même si la dénonciation des ignobles forfaitures de ces ministres du cul(te) reste toujours d'une absolue nécessité, force est de reconnaître que l'insistance lourde et répétée sur les actes pédophiles commis, dessert finalement le propos initial par une propension narrative à la limite de l'exhibitionnisme verbal et du graveleux pesant.
  • LES JAMBES AU COU (1934)
    Note : 14/20
    Une fort dangereuse malle !
  • PARASITE (2018)
    Note : 16/20
    Primée par une méritée Palme d'Or au dernier Festival de Cannes (2019) une comédie sociale sombre et critique, qui sous des apparences d'un humour noir léger et primesautier, fustige la nature humaine, quelle soit arriviste ou envieuse, dans le way of life et de ses solides et permanentes contradictions existentielles.
  • LA VENUS À LA FOURRURE (2013)
    Note : 16/20
    Même si pour notre part, l'épilogue de cet intelligent et magnifique huis-clos théâtral, nous paraît inadéquat et pesant avec une insupportable et surnuméraire prestation dansée d'Emmanuelle Seigner, on reste dans la fascination d'un texte et d'une interprétation somme toute remarquables.
  • LORNA DOONE (1922)
    Note : 15/20
    Pas moins d'une dizaine d'adaptations (cinéma + tv) de ce classique de la littérature romantique anglaise du dix-neuvième siècle, qui pour cette version datant de l'année 1922, magnifie une histoire universelle qui unit, par delà les vicissitudes de la vie, les aléas de l'infortune et la différence de classes sociales, deux êtres prédestinés à se rencontrer et s'aimer ad vitam aeternam, des pages et des séquences.
  • ISTANBUL (1964)
    Note : 15/20
    Intelligent et documenté !
  • LE SOLEIL (2005)
    Note : 15/20
    Dernière partie d'une trilogie consacrée au déclin de quelques figures politiques marquantes du siècle dernier, après Hitler et Lénine, qui met en scène et en vertige une figure emblématique d'une certaine folie mégalomane, insaisissable et maladive.
  • INSIDE LLEWYN DAVIS (2012)
    Note : 15/20
    Une superbe bande sonore musicale, fortement présente et discrète à la fois, un acteur étonnant de concision et d'imprégnation dans l'interprétation de son personnage, pour un ensemble parfaitement maîtrisé auquel nous reprocherons uniquement l'inutile redondance finale, pesante et surnuméraire.
  • DIEU, MA MÈRE ET MOI (2015)
    Note : 12/20
    Visionnée au 35e Festival International du Film d'Amiens 2015, cette œuvre vénézuélienne (réalisée en Espagne, à Madrid) évoque une inaccoutumée thématique rarement abordé au cinéma, bienvenue et salutaire, mais dont la réalisation manque de souffle revendicatif et d'allègre pétulance, de pugnacité et de véhémence iconoclastes. On se pose aussi la question surnuméraire du pourquoi, presque obsessionnel et maladif du metteur en scène, de filmer son personnage principal souvent allongé, couché, vautré dans un lit, sur un canapé, endormi ou en réveil.
  • ISABELLE AUX DOMBES (1951)
    Note : 15/20
    Une touche finale à connotation fantastique pour une première œuvre étonnante d'intérêt et de séduction qui rappelle avec bonheur certains écrits de Seignolle.
  • SANS UN BRUIT (2017)
    Note : 15/20
    Moult fois nominée et primée à maints festivals et autres manifestations cinématographiques, ce deuxième long métrage d'un metteur en scène bien plus connu pour son registre d'acteur (dans ce film, il tient d'ailleurs aussi le rôle principal) reste un excellent moment de cinéma d'angoisse doublé d'un large succès public qui provoquera la mise en chantier d'une suite, disponible courant 2020.
  • LA CLASSE VOLANTE (1954)
    Note : 12/20
    Deuxième adaptation d'un classique de la littérature allemande enfantine : c'est gentillet tout plein, sans un pfennig de mièvrerie, presque idyllique, serein et paisible, comme si le nazisme n'avait jamais existé et qu'aucun des protagonistes adultes de l'époque n'en fut acteur militant ou simplement témoin silencieux.
  • LA PEAU DE BAX (2015)
    Note : 15/20
    Ce court aperçu d'une histoire subtilement excentrique, ne donne en fait qu'une infime idée de la trame qui va se dérouler sous nos yeux, arborant bientôt un extravagant imbroglio de situations inattendues et tortueuses dont l'enchevêtrement et la confusion situationnelle restent la marque de fabrique du metteur en scène, toujours à la pointe du paradoxe comportemental et du pataquès scénaristique, nimbés en filigrane, d'absurdité, d'étrangeté et de saugrenuité hautement bienvenues.
  • LE SECRET DE LA CHAMBRE NOIRE (2016)
    Note : 9/20
    C'est toujours avec une gourmande et fébrile impatience que nous attendons, à chaque fois, la subtile nipponnerie de notre réalisateur japonais bien-aimé dont les approches et les plongées fantastiques ont toujours sues nous séduire et nous envoûter dans sa subtile gestion de la peur et du mystère. Cerise sur le dorayaki, ce nouvel opus aurait un goût fortement occidental, entièrement réalisé dans l'hexagone. Hélas, l'ensemble est d'une pauvreté excessive, avec un jeu d'acteurs délétère et une trame famélique, pesante et cotonneuse, interminablement exaspérante.
  • THE GUILTY (2017)
    Note : 15/20
    Fascinant huis-clos dramatique, qui malgré la simplicité apparente et linéaire de son scénario, se permet en plus une étonnante permutation pathétique, inattendue et percutante, donnant à l'ensemble une nouvelle dimension dramaturgique.
  • LE DERNIER DES INJUSTES (2013)
    Note : 16/20
    L'existence et le statut particulier du camp de concentration de Theresienstadt (actuellement Terezin en république tchèque) maquillé en havre de paix et présenté aux yeux du monde comme un lieu de séjour harmonieux pour les Juifs déportés, en instance de pseudo-départ pour les rivages de la Palestine, est plutôt connue dans l'historiographie du nazisme et de ses monstrueuses aberrations. Ce qui apparaît souvent inconnu au spectateur est le rôle tenu, la fonction attribuée et la complexité de la tâche du responsable de l'organisation interne du camp, en l'occurrence le Président du Conseil juif du ghetto en question, et pour la périodicité, son troisième et dernier représentant, en la personne du rabbin Benjamin Murmelstein, vilipendé à la fin de la guerre par certains compatriotes et considéré comme inféodé aux ordres nazis. Encore en vie, d'une pointilleuse et sourcilleuse mémoire, le pétulant vieux bonhomme raconte son épineux quotidien entre la pression teutonne et les sollicitations de ses concitoyens, près à tous les pots-de-vin et toutes les combines pour bénéficier d'un quelconque avantage, souvent dérisoire. Malgré, de temps à autre, une présence devant la caméra, un peu trop voyante de Jacques Lanzmann, en salutaire et compétent interrogateur, aux questionnements précis et pertinents, l'oeuvre mérite une diffusion et un visionnement multiples pour dessiller les yeux des ignorants et des incrédules.
  • DELTA DE SEL (1967)
    Note : 17/20
    Rarement composition musicale aura accompagné, complémenté aussi intimement des images d'une réelle poésie visuelle, en vivifiante symbiose de l'image et du son.
  • WIND RIVER (2017)
    Note : 15/20
    Honorée par le Prix de la Mise en Scène au Festival de Cannes 2017, dans la section "Un Certain Regard", cette seconde œuvre d'un presque quinquagénaire cinéaste plus connu pour ses contributions scénaristiques, a déplu à certains critiques labellisés, fort contrits par la simplicité du récit et une narration linéaire et tranchante.
  • FRAGMENT D'UNE BIOGRAPHIE INACHEVEE (1999)
    Note : 12/20
    Une rareté documentaire.
  • LES NUAGES DE MALOJA (1924)
    Note : 12/20
    Une curiosité météorologique !
  • LINARES - 17 ANS TORERO (1966)
    Note : 15/20
    Nouvelle approche du monde confidentiel et codifié de la tauromachie, avec cette fois-ci une démarche moins esthétique, plus humaine où notre fameux photographe cinéaste pose son regard et sa dextérité sur un jeune toréador subjuguant et subjugué.
  • LE SILENCE DES OMBRES (2010)
    Note : 13/20
    Un scénario d'une lourde complexité narrative, qui une fois détricoté de sa pesanteur et de ses tortueuses ramifications, présente un intéressant enchaînement fantastique donnant lieu, en toute logique, à un possible second opus.
  • LE DAIM (2019)
    Note : 14/20
    Une délirante obsession monomaniaque et schizophrénique qui après sa mise en place scénaristique, continue, sans faille et sans surprise, son déboulé sanglant, avec une composition artistique de Jean Dujardin, d'une évidente qualité d'interprétation.
  • BLEEDER (1999)
    Note : 11/20
    C'est plutôt sommaire, sans être aucunement saumâtre, guère enthousiasmant dans sa globalité et pourtant jamais révulsif, dans tous les cas, pas vraiment de quoi applaudir. Comme d'ailleurs pour la plupart des réalisations du metteur en scène d'origine danoise, à prendre et à laisser, et surtout à laisser.
  • LE PHARE (1967)
    Note : 15/20
    D'une étonnante beauté visuelle, rehaussée par un somptueux travail de montage, ce court métrage illustre un système de signalisation, ici maritime, de plus en plus obsolète avec les principes modernes de la géolocalisation.
  • OVER THE RAINBOW (1997)
    Tourné en noir et blanc, pour faire plus obscur et plus sombre, un court métrage nullissime et bête où s'égare la beauté tranquille et perdue de Carine Yvart.
  • BERCEUSE POUR UN SOMBRE MYSTÈRE (2016)
    Note : 15/20
    Même si la solidité et la puissance de la mise en scène restent vivement présentes dans ce nouvel opus de l'éminent réalisateur philippin, on est loin de formuler cette fois-ci de dithyrambiques éloges pour cette œuvre éminemment politique, à l'exaltation bien trop diffuse, dont le propos et la narration bouleversent peu ou jamais le spectateur occidental, souvent laissé en rade et en confusion.
  • LES GARÇONS ET GUILLAUME, À TABLE ! (2013)
    Note : 15/20
    Un (d)étonnant festival Guillaume Gallienne, un brin débordant et narcissique, articulé sur trois canevas scénaristiques complémentaires :
    - un one-man show qui déroule le scénario et l'histoire du film...
    - la trame de l'intrigue qui sous-tend la prestation scénique précitée...
    - un onirisme fantasque qui introduit la mère dans des séquences normatives...
    Ce singulier triptyque narratif, aux éléments interdépendants, intelligemment entrelacés, dynamise l'évolution de l'intrigue, avec une pétulance et une régularité bienvenues, pour dérouler cette savoureuse autobiographie.
  • MARIO PRASSINOS (1968)
    Note : 15/20
    Sur la gestation d'une œuvre d'art, depuis l'indicible conception jusqu'à sa tangible réalisation, mises en valeur par un puissant texte de Jean Lescure.
  • NOTRE-DAME DES HORMONES (2015)
    Note : 3/20
    Heureusement que le ridicule ne tue pas !
  • CE DOIT ETRE LE PARADIS (2018)
    Note : 14/20
    Dommage que certaines séquences s'alourdissent de scènes peu convaincantes, d'un humour souvent répétitif et d'une qualité spirituelle bien introuvable.
  • POUR TON ANNIVERSAIRE (2013)
    Note : 16/20
    Brillant, machiavélique et fort raffiné sont les trois épithètes qui viennent spontanément à l'esprit, après le visionnement de ce huitième long métrage du réalisateur Denis Dercourt. Pour amplifier ce subtil plaisir émotionnel et intellectuel engendré par un scénario fort alambiqué, il serait malvenu d'oublier l'étonnante prestation, toute en nuances et en finesse des principaux acteurs et cette efficace plongée inquisitrice d'une caméra fouineuse, aux prises de vue en apparence anodines, mais en fait subtilement inquiétantes et normatives.
  • SABLES (1969)
    Note : 17/20
    Un merveilleux regard d'artiste et de poète de l'image.
  • LAISSEZ FAIRE LES FEMMES ! (1936)
    Note : 16/20
    Vaguement inspirée par le succulent film de Frank Capra "New York - Miami" (Claudette Colbert et Clark Gable) tourné deux années auparavant, cette facétieuse comédie, en verve et en finesse, développe un brillant scénario, avec moult séquences jubilatoires, comme celle se déroulant au tribunal, suave et hautement mémorable.
  • LA GUERRE DES BOEUFS (1920)
    Note : 15/20
    Une bienheureuse restauration pour un scénario bien ancré dans les traditions locales et régionales germaniques, avec quelques courtes et rares incursions dans la mythologie et le folklore hindous, pour en fin de carrière à se consacrer entièrement aux réalisations ayant pour cadre l'Inde et sa richissime mythologie.
  • IN THE LAND OF THE HEAD HUNTERS (1914)
    Note : 15/20
    Une étonnante rareté ethnographique, agrémentée de quelques plans fixes palliant à une pellicule défaillante, qui aurait fait le bonheur de tous les Lévi-Strauss de la planète, de part l'incroyable densité des données anthropologiques véhiculées par l'oeuvre et dont l'intérêt cinématographique et la puissance évocatrice sont démultipliés par l'exceptionnelle partition sonore et musicale de Rodolphe Burger.
  • VOYAGE EN CAMARDIE (1971)
    Note : 15/20
    Un éblouissement magique, intégrant visiblement quelques chutes de pellicule issues de filmages précédents sur la même thématique visuelle et géographique.
  • MOTHER ! (2017)
    Note : 1/20
    Un incontestable évènement cinématographique qui nous met en présence d'une insondable médiocrité sans nom et sans âme, sertie d'une vertigineuse et persistante bêtise, non dénuée de quelques prétentions narcissiques qui s'engluent et se cristallisent dans une soi-disant allégorie, un amphigourique symbolisme inutile voire puérile et quelques références cinématographiques incongrues et malhabiles.
  • UN JOUR SI BLANC (2019)
    Note : 17/20
    Une histoire en apparence d'une confondante banalité scénaristique qui pourtant, par son traitement informel et disloqué, mélangeant adroitement les genres cinématographiques et les digressions inattendues, confèrent à l'ensemble une puissante teneur émotionnelle et narrative, d'une insidieuse conviction.
  • HUNGER GAMES : L'EMBRASEMENT (2013)
    Note : 12/20
    Comme c'est souvent le cas, quand une ou plusieurs suites sont tournées, dans la foulée du succès médiatique d'un premier opus, on se retrouve, qualitativement, un large cran en-dessous de l'intérêt ou de la trempe de l'épisode liminaire. Retrouver la pétillante Jennifer Lawrence en héroïne libertaire et le perfide Donald Sutherland dans le rôle du commandeur suprême, tout en croisant le toujours imposant Philip Seymour Hoffman en intriguant maître de cérémonie, ne suffit pas à provoquer des applaudissements, même timorés, surtout avec un épilogue d'une rare indigence, proche d'une vulgaire cassure de pellicule. Mais nous sommes en numérique et les voraces tiroirs-caisses spéculent déjà sur les prochaines éditions.
  • MIA MADRE (2015)
    Note : 17/20
    Pour son treizième long métrage, le metteur en scène transalpin Nanni Moretti façonne, en finesse et raffinement, une souveraine réalisation qui conjugue harmonieusement les deux ingrédients souvent incompatibles qui font les chefs-d'oeuvre dans toute création, l'intelligence et l'émotion. Sans même insister sur l'extrême sensibilité manifestée par une actrice visiblement habitée par son personnage (Margherita Buy) on préfère mettre l'accent et l'affection sur les subtils décrochages de la narration, dans de fertiles entrelacs de l'imaginaire, du rêve et de la réalité dénotant une prodigieuse maturité existentielle et des potentialités de créativité au zénith.
  • GOOD TIME (2017)
    Note : 15/20
    Malgré certains temps morts et quelques redondances dans l'action, on se laisse facilement emporter par une maestria de situations ubuesques et déjantées qui consacrent unanimement l'interprétation de Robert Pattinson, même si nous préférons la composition de Bennie Safdie, une réelle performance artistique.
  • ROJO (2019)
    Note : 14/20
    Une mise en place scénaristique plutôt prosaïque, hormis la puissante scène introductive du restaurant, ne donne pas au spectateur, l'enthousiasme dénonciateur espéré voire attendu. Ce ne sera que bien plus tard, souvent après la projection, que certaines ramifications entre personnages, histoires individuelles et collectives, ainsi que l'environnement politique et humaine, se mettront en place et en question.
  • LE COURS ETRANGE DES CHOSES (2013)
    Note : 8/20
    Quelle amère désillusion, pour nous qui avions adoré la plupart des films précédents du réalisateur. Vraiment rien à retenir, encore moins à sauver dans cet effondrement cinématographique qui cumule un scénario insipide, des acteurs creux, une prise de vue infantile et de nombreuses scènes frisant au mieux, une lourde maladresse, au pire, une opaque et pesante arriération ancrée dans les focales.
  • LE PONT DES ESPIONS (2015)
    Note : 16/20
    Rien à redire, les fondations cinématographiques de cette œuvre se révèlent en béton armé, de par la solidité de l'interprétation des personnages principaux d'où émerge la subtilité du jeu de Mark Rylance dans le rôle de l'espion russe, mais aussi une puissante scénographique qui insidieusement mais aussi efficacement idéalise et encense l'Amérique Eternelle bien loin des fêlures et des fissures existentielles des Rouges et de leur idéologie, montrés comme des êtres lourds, brutaux et fallacieux.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
DELTA DE SEL (1967) 17
SABLES (1969) 17
MIA MADRE (2015) 17
UN JOUR SI BLANC (2019) 17
LA VENUS À LA FOURRURE (2013) 16
LE DERNIER DES INJUSTES (2013) 16
POUR TON ANNIVERSAIRE (2013) 16
LE PONT DES ESPIONS (2015) 16
LAISSEZ FAIRE LES FEMMES ! (1936) 16
PARASITE (2018) 16
LA CARRIERE DE SAO DIOGO (1962) 15
HUNTER (PART 2) (2011) 15
INSIDE LLEWYN DAVIS (2012) 15
LES GARÇONS ET GUILLAUME, À TABLE ! (2013) 15
IN THE LAND OF THE HEAD HUNTERS (1914) 15
LORNA DOONE (1922) 15
LA PEAU DE BAX (2015) 15
LINARES - 17 ANS TORERO (1966) 15
LE PHARE (1967) 15
MARIO PRASSINOS (1968) 15
VOYAGE EN CAMARDIE (1971) 15
ISTANBUL (1964) 15
ISABELLE AUX DOMBES (1951) 15
WIND RIVER (2017) 15
GOOD TIME (2017) 15
DOULEUR ET GLOIRE (2018) 15
LE SOLEIL (2005) 15
SANS UN BRUIT (2017) 15
THE GUILTY (2017) 15
BERCEUSE POUR UN SOMBRE MYSTÈRE (2016) 15
LA GUERRE DES BOEUFS (1920) 15
EL CLUB (2014) 14
SOUVENIRS D'UN MONTREUR DE SEINS (2014) 14
LES JAMBES AU COU (1934) 14
LE DAIM (2019) 14
CE DOIT ETRE LE PARADIS (2018) 14
ROJO (2019) 14
PARA MINHA AMADA MORTA (2015) 13
LE SILENCE DES OMBRES (2010) 13
LA CLASSE VOLANTE (1954) 12
LES NUAGES DE MALOJA (1924) 12
HUNGER GAMES : L'EMBRASEMENT (2013) 12
DIEU, MA MÈRE ET MOI (2015) 12
FRAGMENT D'UNE BIOGRAPHIE INACHEVEE (1999) 12
BLEEDER (1999) 11
LE SECRET DE LA CHAMBRE NOIRE (2016) 9
LE COURS ETRANGE DES CHOSES (2013) 8
NOTRE-DAME DES HORMONES (2015) 3
MOTHER ! (2017) 1