Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 41 films notés

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  • L'HABIT NE FAIT PAS LA FEMME (1969)
    Note : 4/20
    Nul de la première à la dernière image. Elvis Presley est certes quelque peu bienvenu, quand il pousse ses romances, mais comme acteur, il a toujours décroché la palme de l'indigence cinématographique totale.
  • LA CARRIERE DE SUZANNE (1963)
    Note : 13/20
    Une découverte qui s'impose. Ce second "conte moral", après "La boulangère de Monceau" souffre tout de même d'un désastreux jeu des acteurs au bord du malaise, de la récitation, de la constipation et de l'affectation. Une curiosité à ne pas éviter.
  • LA SEPTIEME AUBE (1964)
    Note : 13/20
    Plaisant et bien réalisé !
  • CAVALCADE D'AMOUR (1939)
    Note : 12/20
    Cela sent fort la naphtaline et le désuet dans ce décor lourdement mélodramatique où, malgré un jeu brillant des acteurs, le spectateur aura bien du mal à souscrire à tant d'invraisemblances scénaristiques. Réservé en priorité aux cinéphiles infatigables...
    Nota : Revu le film une seconde fois à six mois d'intervalle, bien meilleure impression.
  • LE SPECTRE DU DOCTEUR HICHCOCK (1964)
    Note : 11/20
    Une curiosité qui avec l'âge prend tout de même un certain charme.
  • BONNE D'ENFANT (1921)
    Note : 16/20
    Quelques gags succulents, tels la fuite devant le contrôleur ou l'habillement de la fillette, resteront à jamais gravés dans la mémoire des cinéphiles ravis.
  • LE TERRORISTE (1964)
    Note : 17/20
    Un incontestable chef-d'oeuvre du cinéma italien, politique, historique, humain et d'une intensité indéniable, d'un réalisateur peu prolifique.
  • CANICULE (1983)
    Note : 11/20
    Un polar "hénaurme", quelquefois fort sympathique et qui balance constamment entre l'outrancier, la caricature et la fête. On peut passer un agréable moment. Il faut tout de même reconnaître qu'Yves Boisset n'a jamais vraiment eu du génie, juste un peu de savoir-faire, de temps en temps, en passant.
  • THOMAS L'IMPOSTEUR (1964)
    Note : 17/20
    Bien loin d'une imposture, une cinéphilique sinécure !
  • LA CHAMADE (1968)
    Note : 11/20
    Description d'un monde de l'aisance matérielle, d'un vague ennui existentiel et d'un certain snobisme du portefeuille, dans un film bien réalisé, sans âme et sans passion.
  • TINTIN ET LES ORANGES BLEUES (1964)
    Note : 10/20
    Autant relire les inoubliables bandes dessinées du grand Hergé.
  • LA CHARRETTE FANTOME (1939)
    Note : 14/20
    Superbe et poignant. Le dernier quart d'heure est génial, mais l'ensemble du film n'atteint pas la perfection et la dimension de la version de Victor Sjöström (1920).
  • 36 HEURES AVANT LE DÉBARQUEMENT (1964)
    Cinéma de "politique-fiction", un tant soit peu mineur, mais quelque peu distrayant.
  • LA COURSE AU MARI (1948)
    Une petite comédie fort moyenne où l'on sourit trois fois l'heure, en se forçant d'ailleurs un peu. Le film ne provoque aucune jubilation ni intérêt véritable et le réalisateur est et reste un sombre inconnu, comme de toute évidence.
  • LES VAINCUS (1952)
    Note : 14/20
    D'une inquiétante noirceur !
  • EIN HERZ KEHRT HEIM (1956)
    Note : 6/20
    Un scénario peu original, des personnages peu convaincants. Le tout manque d'étoffe et d'intérêt, comme bon nombre de productions germaniques de cette époque.
  • CHANTONS SOUS LA PLUIE (1952)
    Note : 18/20
    L'intrigue, sans réel intérêt, est surtout un prétexte à présenter la comédie musicale. C'est une oeuvre au burlesque débridé, et à la bonne humeur communicative, avec d'exceptionnels numéros de danse, à la chorégraphie éblouissante.
  • L'ÉTINCELLE (1983)
    Petite comédie mineure, pleine de platitude et de clichés, qui manque de punch et d'à propos dans le déroulement de son intrigue. Seule la prestation décontractée du volubile Roger Hanin reste intéressante. Une étincelle qui ne provoque jamais cette flambée tant espérée pour l'embrasement des sentiments.
  • LE VILLAGE DES DAMNÉS (1960)
    Note : 18/20
    Un incontestable chef-d'oeuvre du fantastique, inoubliable, fascinant, jamais égalé dans sa perfection, malgré un vain remake, quelques sequels et moult succédanés.
  • INDOMPTABLE ANGÉLIQUE (1967)
    Note : 8/20
    Exemple typique d'une exploitation à outrance d'un "filon" cinématographique.
  • ZORBA LE GREC (1964)
    Surtout connu pour les scènes où Anthony Quinn danse le fameux sirtaki sur une musique de Mikis Théodorakis, le film mérite d'être redécouvert, ne serait-ce que pour l'interprétation magistrale de la plupart des acteurs de premier plan.
  • LEMMY POUR LES DAMES (1961)
    Note : 13/20
    On aime ou l'on n'aime pas les prestations narcissiques d'Eddie Constantine. Un genre, une époque dépassés. Cinématographiquement, c'est plutôt navrant/marrant.
  • MEURTRIÈRE AMBITION (1957)
    Note : 4/20
    Les 85 minutes du film sont d'un ennui colossal, son scénario est empreint d'une incroyable mollesse et les principaux acteurs n'apportent aucune crédibilité.
  • DEBOUT LES CRABES LA MER MONTE (1983)
    Note : 6/20
    Du café-théâtre d'arrière-salle, une comédie minable et d'une stupidité exemplaire.
  • DEUX HOMMES DANS L'OUEST (1971)
    Premier western du cinéaste, plus à l'aise dans la comédie burlesque ou la satire désopilante. Il nous commet là une fort triste distraction, monotone et surfaite. Seuls les dresseurs de chevaux et les cascadeurs trouveront leur compte et notre grâce.
  • L'HÉRÉTIQUE (1977)
    Note : 13/20
    A revoir en élargissant sa vision hors du propos primaire du film.
  • DIONYSOS (1984)
    Note : 9/20
    D'un coté, il y a l'oeuvre d'un cinéaste ethnologue incontournable et souvent magnifique ; de l'autre, ce conte prétendument philosophique, laborieux, vaguement poétique et, hélas, pompeusement intellectuel.
  • OURAGAN SUR LE CAINE (1954)
    Note : 11/20
    Une plutôt excellente interprétation de Humphrey Bogart entouré d'acteurs solides, dans une oeuvre puissante et sobre, mais qui a pris des rides et de la rouille.
  • LES DIABOLIQUES (1954)
    Note : 17/20
    Une splendide oeuvre vénéneuse et intemporelle qui se regarde chaque fois avec un plaisir accru et un délicieux frisson rétrospectif. On se souviendra longtemps de la fameuse scène anthologique de la "résurrection" de Paul Meurisse hors de la baignoire.
  • SOUVENIRS, SOUVENIRS (1984)
    Note : 7/20
    Un film quelconque qui propose et propage un nostalgique halo sur les sixteens.
  • DOUX, DUR ET DINGUE (1978)
    Petit film sympathique et démystifiant qui permet à Eastwood de faire un "clint" d'oeil à ses rôles habituels de macho justicier. En effet, cette fois-ci, il interprète avec justesse et drôlerie, un personnage bien quotidien et fort jovial. N'empêche que l'oeuvre manque tout de même de rythme et d'allégresse.
  • L'ANNEE PROCHAINE SI TOUT VA BIEN (1981)
    Note : 9/20
    Petite comédie souvent drôle et bien enlevée qui, malgré des schémas fort conventionnels, peut trouver grâce (pas pour nous).
  • DRACULA PRINCE DES TÉNÈBRES (1965)
    Note : 16/20
    Un classique du genre qui entretient toute la symbolique du vampirisme. Ce mythe indestructible a été remis à la mode par la célèbre maison de production britannique, la Hammer (Seven Arts) pour le plus grand plaisir de l'amateur de fantastique gothique.
  • LA FIN DU JOUR (1939)
    Note : 16/20
    Un classique indécrottable !
  • UN ESPION A DISPARU (1943)
    Note : 14/20
    A voir pour sa rareté, n'ayant jamais bénéficié d'une distribution dans l'hexagone.
  • LE FOU DE GUERRE (1984)
    Note : 6/20
    Festival Coluche dans une oeuvre manquant d'unité et de force dénonciatrice !
  • ANGELIQUE ET LE SULTAN (1967)
    Note : 8/20
    Inutile de s'étendre ou de s'appesantir sur cette fade production franco-italienne répétitive et pleine de clichés navrants. Seules quelques scènes cocasses, à l'humour involontaire, empêchent le film de sombrer totalement.
  • VICTOR, VICTORIA (1982)
    Note : 16/20
    Superbe, intelligent et d'une finesse extrême.
  • PIROSCHKA (1955)
    Note : 6/20
    Mélo infantile, insipide, simplet, très fréquent dans le cinéma allemand de l'époque.
  • SEPT MORTS SUR ORDONNANCE (1975)
    Note : 13/20
    Sur le thème de l'ascendance sociale mise en place et maintenue à tout prix par une oligarchie provinciale, un film plutôt bienvenu et légèrement dénonciateur. Manque tout de même, une réelle dimension politique dans le propos qui se contente d'égratigner facilement et superficiellement une bourgeoisie de fric, sans analyser les profondes structures mortifères dans la notion de pouvoir.
  • ELLE CAUSE PLUS... ELLE FLINGUE (1972)
    Note : 8/20
    Le cinéma commercial par excellence, sans grande envergure ni réel intérêt dont on se lassera vite, qu'on flinguera sans hésitation et dont on évitera de causer.
  • LA MOUTARDE ME MONTE AU NEZ (1974)
    Une comédie légèrement drôle, sans aucune vulgarité superflue, où les acteurs semblent s'en donner à coeur joie. Un demi-succès, un semi-échec, en attendant les franches réussites à venir d'un cinéaste en pleine évolution qualitative.
  • NOTRE-DAME DE PARIS (1956)
    Note : 14/20
    On est bien sûr loin de l'étonnante version précédente réalisée par William Dieterle, mais le spectacle vaut tout de même une petite messe, même noire, s'il le fallait.
  • BAYAN KO (1984)
    Une dénonciation efficace et cinglante du régime de Marcos, par un metteur en scène terriblement politique et d'une efficacité redoutable.
  • LE CIEL EST À VOUS (1943)
    Note : 17/20
    De la grande mise en scène, admirablement servie par l'évident couple Madeleine Renaud et Charles Vanel, deux comédiens excellents, qui allient la justesse du ton, l'authenticité de leurs personnages, l'émotion de leur conviction, à une parfaite maîtrise d'une dramaturgie menée avec un indéniable talent.
  • ON S'FAIT LA VALISE DOCTEUR (1972)
    Comédie plutôt fort moyenne qui nous laisse sur notre faim et dont le seul intérêt réside dans les quelques références "cinéma".
  • LADY BEWARE (1987)
    Note : 7/20
    Réalisation vraiment quelconque, sans aucun génie ni intérêt particulier qui se regarde en réprimant un bâillement voire un assoupissement général.
  • LAWRENCE D'ARABIE (1962)
    Note : 13/20
    Du grand spectacle pour une superproduction de la Columbia qui se regarde avec plaisir et délassement. Toutefois la vérité historique est largement elliptique et le film privilégie trop l'aspect "héroïque" du personnage, faisant une totale impasse sur la complexité et l'ambivalence de sa forte personnalité.
  • OPÉRATION JUPONS (1959)
    Note : 17/20
    Oeuvre superbe, drôle au possible, d'un constant humour dévastateur avec en prime un étonnant cochon, pour ce qui pourrait être un des meilleurs films du cinéaste.
  • À LA POURSUITE DU DIAMANT VERT (1984)
    Note : 14/20
    Un film d'aventures, bien orchestré, avec tout ce qu'il faut pour tenir le spectateur en haleine, y compris un humour fort bienvenu.