Deux amis étudiants, prénommés Bertrand et Guillaume, glosent et radotent sur une relation commune, la belle Suzanne. Chacun va de son (grand) air et de son envie pour exploiter la jeune fille. Mais le dernier mot restera féminin.
Une découverte qui s'impose. Ce second "conte moral", après "La boulangère de Monceau" souffre tout de même d'un désastreux jeu des acteurs au bord du malaise, de la récitation, de la constipation et de l'affectation. Une curiosité à ne pas éviter.