Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 38 films notés

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  • TROIS AMIGOS (1986)
    Note : 14/20
    Un trio comique époustouflant, avec en tête un Steve Martin au mieux de sa forme.
  • LE BAISER DE LA FEMME-ARAIGNEE (1984)
    Note : 17/20
    Exceptionnel, émouvant, politique et sobrement pathétique.
  • 37°2 LE MATIN (1985)
    Note : 14/20
    Un assez beau film, de magnifiques images et un sujet passionnant.
  • LE DICTATEUR (1940)
    Note : 18/20
    Délicieuse et convaincante parodie filmique, cinglante et brillante, dénonçant avec force et conviction, la dramatique montée du nazisme.
  • 48 HEURES (1982)
    Note : 14/20
    Un petit film d'humour au rythme souvent fort soutenu, les protagonistes excellents dans de superbes rôles de composition, taillés sur mesure.
  • LE BAL DES VAMPIRES (1967)
    Note : 16/20
    Une superbe comédie fantastique qui utilise avec succès tous les ingrédients traditionnels propres au genre (pieux, ail, chauve-souris, absence de reflets dans le miroir, etc...) Tout ceci rehaussé par un humour constant et bienvenu, souvent fort cocasse. Un film hilarant qui invite à entrer dans la danse.
  • 9 SEMAINES ET DEMI (1985)
    Note : 3/20
    Un film qui se veut très audacieux et qui attendit un an avant d'être exploité en Europe. La bande son devrait comporter des titres à succès de Brian Ferry, de John Taylor et d'Eurythmics. Nous en sommes fort aise.
  • MON NOM EST PERSONNE (1973)
    Note : 11/20
    Le film a été en partie conçu et patronné par Sergio Leone dont on retrouve aisément les marques, avec l'humour en plus, ce qui n'est pas pour déplaire. L'affrontement de deux comédiens confirmés, Henry Fonda, vieux routier du cinéma et Terence Hill, devenu acteur à part entière, se laisse voir sans déplaisir.
  • LE VOL DU SPHINX (1984)
    Note : 4/20
    Cela se voudrait un film d'aventures avec intrigue affective, pimentée de danger, d'humour et de suspense. Finalement qu'une immense platitude où chacun s'ennuie à désespérer, les acteurs et les spectateurs. A ne voir sous aucun prétexte !
  • UN LION DANS LA RUE (1953)
    Note : 15/20
    Une cinglante dénonciation de l'arrivisme politique pour un film jamais distribué dans l'Hexagone (septembre 1987) avec un James Cagney superbe de cynisme et de compromission dans un puissant rôle à sa mesure.
  • ZORRO (1974)
    Note : 10/20
    Mieux vaut se souvenir d'autres versions ! En particulier celle interprétée par Douglas Fairbanks. Même le fameux feuilleton télévisé s'élève souvent à un niveau plus attrayant. Pour inconditionnels de Delon seulement, et encore.
  • SABOTAGE A BERLIN (1942)
    Note : 13/20
    Film plutôt moyen, dans l'excellente filmographie de Raoul Walsh qui contient bien des incohérences et moult invraisemblances scénaristiques.
  • LES TROIS MOUSQUETAIRES (première partie) (1961)
    Note : 12/20
    C'est extrêmement conventionnel et ennuyeux. Peu de choses subsistent du souffle et de l'inspiration de Dumas, mais l'on peut revoir avec amusement quelques seconds rôles français faire de leur mieux pour rendre le spectacle plaisant.
  • PASSAGE POUR MARSEILLE (1943)
    Note : 14/20
    Cette réalisation de Michael Curtiz est à revoir pour le plaisir des yeux, la beauté de Michèle Morgan et le charisme d'Humphrey Bogart.
  • LA MAJA NUE (1958)
    Bancale fresque pseudo-historique qui manque réellement de punch et d'intérêt, exception faite de quelques rares mais remarquables scènes de carnaval nocturnes.
  • COMMENT SE DEBARRASSER DE SON PATRON (1980)
    Note : 11/20
    Médiocre comédie américaine aux gags éculés, répétitifs et fort quelconques dans laquelle, étonnamment et misère du casting, s'est égarée Jane Fonda habituellement bien plus exigeante dans ses choix artistiques et scénaristiques.
  • LA MARRAINE DE CHARLEY (1959)
    Remake d'un film réalisé en 1935 par Pierre Colombier, qui table beaucoup sur le succès de Fernand Raynaud, mais qui a le navrant privilège d'être insipide, voire indigeste. On peut en effet être un excellent fantaisiste et un médiocre comédien.
  • L'ARNAQUE (1973)
    Note : 14/20
    Dans une optique strictement de distraction, le film est superbe par sa verve, son inspiration et son solide scénario. En élargissant le propos, on est obligé de noter une totale absence de réflexion historique (1936) politique (l'époque de la réélection de Roosevelt) et sociologique (le vol comme système D). Finalement un chouette petit film rétro, sympathique, un peu limité dans son propos.
  • LES LIENS DE SANG (1977)
    Note : 8/20
    Du Claude Chabrol sans âme, pour une réalisation vraiment quelconque et fort pâlotte. Un pesant scénario tarabiscoté à outrance, des acteurs sans réelle implication ni profondeur : ce film n'a et ne mérite aucune grâce !
  • JOSÉPHA (1981)
    Note : 12/20
    Premier film du romancier Christopher Frank, fort bien réalisé, malgré une évidente platitude de l'histoire, qui manque de souffle et de nervosité.
  • CASABLANCA (1942)
    Note : 18/20
    Un grand classique de la Warner Bros qui dès sa sortie eut un immense succès, confortant l'immense talent de Bogart et restant aujourd'hui encore une oeuvre essentielle du cinéma américain de cette époque.
  • LE PONT DE LA RIVIÈRE KWAÏ (1957)
    Note : 14/20
    Un classique du film de guerre, avec son inoubliable musique de référence, qui se regarde avec un plaisir évident, malgré quelques longueurs guère préjudiciables.
  • LA VILLE CONQUISE (1940)
    Note : 14/20
    Un film curieux, sympathique et irritant à la fois qui mérite une rediffusion !
  • LA PAYSANNE AUX PIEDS NUS (1961)
    Note : 15/20
    Un sans-faute pour Sophia Loren !
  • NUIT DE DECEMBRE (1939)
    Un mélodrame qui ne laissera guère de traces indélébiles dans la mémoire des cinéphiles, malgré une constance émotion diffuse dans le scénario et l'interprétation des principaux acteurs, surtout celle de Renée Saint-Cyr.
  • BLANCHE ET MARIE (1985)
    Note : 11/20
    Une œuvre sans fioritures, discrète, efficace et sensible qui sort des habituels sentiers battus de l'héroïsme à grand spectacle et nous montre avec sérénité et tendresse la clandestinité quotidienne, vue du coté féminin.
  • JUAREZ (1939)
    Note : 13/20
    Du grand spectacle qui n'eut pas le succès escompté par la Warner Bros.
  • BLUFF (1982)
    Note : 16/20
    Un metteur en scène à suivre.
  • COIFFEUR POUR DAMES (1952)
    Fort moyen, valant surtout par la solide prestation de Fernandel qui, dans ce film taillé à sa mesure, fait un éblouissant "one-man-show" digne de son indéniable talent.
  • BOBBY DEERFIELD (1976)
    Note : 16/20
    Bien loin des consternantes fadaises et lourdeurs lacrymales de "Love Story", cette oeuvre fort intimiste, pleine de pudeur et de retenue, étonne et séduit durablement par sa limpidité tranquille et sa profonde sympathie.
  • SARAH (1978)
    Inintéressant au possible !
  • BONS BAISERS DE HONG KONG (1975)
    Premier film du metteur en scène qui ne vole jamais très haut, malgré quelques rares gags bienvenus. Le film se délite médiocrement dans une histoire fastidieuse et fade. On ne pouvait espérer autre chose.
  • LE RUFFIAN (1982)
    Note : 7/20
    Une oeuvre fort mineure dans la filmographie variée et souvent solide de José Giovanni. Malgré une peinture habituelle et affectueuse des liens d'amitié et de l'esprit aventureux, ce film pêche tout de même par excès et accumulations d'invraisemblances. L'action, trop dispersée, n'est pas centrée sur la véracité des mobiles qui animent les principaux personnages.
  • TROIS BEBES SUR LES BRAS (1958)
    Note : 13/20
    Le film manque singulièrement de rythme, malgré la présence de Jerry Lewis.
  • LA REVANCHE (1981)
    Un film relativement médiocre, concocté sur un scénario invraisemblable et totalement ringard. Et ce n'est pas la correcte prestation de Victor Lanoux qui va sauver le film et modifier notre jugement. On attend de Lary, une revanche !
  • TRAUMA (1976)
    Note : 13/20
    Primé en 1976 au festival fantastique de Paris, ce film lent, solide et envoûtant, offre, sur le thème des demeures hantées, un spectacle convaincant, loin des traditionnels et pesants effets de choc attendus.
  • MEURTRE AU VATICAN (1982)
    Note : 6/20
    Une histoire à dormir debout, qui s'étire dans l'invraisemblance la plus absolue. Les principaux protagonistes ne sont pas crédibles, et pour comble, le jeu d'acteurs est hautement médiocre. Le Saint-Siège peut rester assis tranquille sur ses mystères et ses combines. Ce film n'est qu'un coup d'épée dans l'eau bénite.
  • LA CITÉ DISPARUE (1957)
    Une pseudo-tragédie mélodramatique assez médiocre, à l'interprétation peu convaincante. Le scénario, de loin, n'a pas trouvé le metteur en scène approprié.
  • LADY LOU (1933)
    Note : 8/20
    Malgré l'apparente décontraction de Cary Grant et les inutiles gesticulations pseudo-séduisantes de May West pour créer un semblant d'intérêt, ce film est fade et ennuyeux au possible. Sans aucun intérêt.
  • LE TEMPS D'AIMER ET LE TEMPS DE MOURIR (1958)
    Note : 15/20
    Mélo bravo !
  • DOCTEUR POPAUL (1972)
    Note : 8/20
    Film relativement médiocre et souvent stupide, d'une vulgarité pesante, qui rate totalement son but critique et dénonciateur.
  • CAL (1984)
    Note : 12/20
    Un film correctement réalisé, qui malgré un scénario conventionnel, mérite le déplacement. Dommage pourtant que le climat politique local soit sacrifié à la bluette sentimentale. Pas de quoi attraper un "Ulster".
  • CE N'EST PAS UN PÉCHÉ (1934)
    Film en forme de spots publicitaires à rallonges vantant les charmes grassouillets de Mae West en vamp pseudo-irrésistible avec sa démarche de canard trépignant.
  • LE TIGRE DU BENGALE (1958)
    Note : 14/20
    Aventures extraordinaires, exotisme luxuriant, amours et dangers multiples, dans cette superproduction du génial Fritz Lang qui eut une suite : "Le tombeau hindou".
  • COMPLOT DE FAMILLE (1976)
    Note : 12/20
    Dernier film du cinéaste, que certains pontifiants exégètes du 7eme art s'évertuent à vouloir considérer comme un chef-d'oeuvre, mais qui n'est qu'une honorable rature.
  • CA N'ARRIVE QU'A MOI (1984)
    Une comédie fort moyenne qui se regarde les yeux mi-clos, entre la poire et le fromage, et qui s'oublie très vite, sans aucun effort. Souvent acteur dans des films hautement médiocres, Francis Perrin ne s'illustre pas dans la mise en scène. Qu'il retourne bien vite au théâtre, qu'il n'aurait jamais dû quitter.
  • ADIEU POULET (1975)
    Note : 14/20
    Excellent rôle pour Lino Ventura pour une oeuvre "politique" sympathique qui aurait pu devenir un classique, traitée par un Francesco Rosi ou un Damiano Damiani.
  • LE SOUFFLE AU COEUR (1971)
    Note : 11/20
    Œuvre fort moyenne qui défraya la chronique des bien-pensants de l'époque toujours en retard d'un (arrière-)train, d'une moralité et d'un jugement tempéré.
  • RIO CONCHOS (1964)
    Personne ne sort indemne de ce western rigoureux et intransigeant où chaque protagoniste traine sa faiblesse et sa violence dans un affrontement sans fin et sans merci. Sympathique et prenante, une oeuvre bienvenue dans l'abondante filmographie de Gordon Douglas, parsemée, çà et là, de quelques chefs-d'oeuvre oubliés tels "Chuka le redoutable" "Le détective" ou "les monstres attaquent la ville".
  • SOLIDARNOSC-SOLIDARITE (1981)
    Tentative honnête d'expliquer un espoir, une lutte avant la grande normalisation du général Jaruzelski. Le manque de vigueur, de qualités techniques et de didactisme rigoureux et tranchant enlèvent pourtant son unité au film et l'amateurisme du propos est souvent présent dans bien des séquences.