Si l'interprétation d'Isabelle Huppert frise la performance et celle de Béatrice Dalle, le sans faute, l'oeuvre, parfaite jusqu'à l'irruption de Stéphane (le nouvel amant de Cécile) commence ensuite à s'enfoncer dans les ornières de la répétition, de l'ennui et de certaines lourdes invraisemblances psychologiques.