Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 37 films notés

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  • CE PLAISIR QU'ON DIT CHARNEL (1971)
    Note : 10/20
    Gros succès commercial de l'époque !
  • THE KISS (1988)
    Note : 13/20
    Du cinéma fantastique bienvenu qui se regarde sans déplaisir.
  • NOCTURNE INDIEN (1989)
    Note : 15/20
    Une oeuvre ambiguë, intéressante et d'une subtile gravité existentielle.
  • LA MAISON DES SPECTRES (1982)
    Note : 4/20
    Une oeuvre nulle, insignifiante et d'une affligeante monotonie.
  • IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE (1983)
    Note : 15/20
    Une réussite patente !
  • L'OISEAU AU PLUMAGE DE CRISTAL (1970)
    Note : 13/20
    Atmosphère à la "Hitchcock" en mode mineur, une oeuvre quelquefois lourde et passable aux multiples rebondissements souvent artificiels et prévisibles.
  • CAMILLE CLAUDEL (1988)
    Note : 12/20
    Première réalisation d'un incontournable chef-opérateur, une oeuvre honnête qui se regarde essentiellement pour la brillante interprétation d'Isabelle Adjani.
  • MAKING A SPLASH (1988)
    Note : 14/20
    Une curiosité !
  • EMBRASSE-MOI IDIOT (1964)
    Note : 17/20
    Sympathique et agréable divertissement, réjouissant au possible.
  • ITINERAIRE D'UN ENFANT GÂTÉ (1988)
    Note : 11/20
    Conglomérat de tous les ingrédients du cinéma leloucho-populaire.
  • LE DIBBOUK (1938)
    Note : 16/20
    Le cinéma yiddish dans toute sa force et sa qualité.
  • LE MAL D'AIMER (1986)
    Note : 13/20
    Parabole in(volontaire) sur le sida, cette oeuvre bienvenue souffre pourtant d'une absence de folie et de passion, un peu engluée dans le vouloir bien-faire.
  • UNE AUTRE FEMME (1988)
    Note : 17/20
    Intéressant portrait de femme rendu bouleversant par le jeu de Gena Rowlands.
  • LES ADIEUX A MATIORA (1981)
    Note : 16/20
    Un merveilleux poème, commencé par l'épouse du réalisateur, Larissa Chepitko, décédée au début du tournage, qui malgré sa beauté et sa puissance, eut bien des ennuis avec l'autoritaire censure moscovite.
  • L'INSOUMIS (1964)
    Note : 14/20
    Pour son second film, Alain Cavalier montre son évident savoir-faire et sa parfaite maîtrise de la caméra, en collaboration avec l'excellent chef-opérateur, Claude Renoir. Hélas, l'ensemble en perd nettement de sa puissance et de son charme, avec l'interprétation souvent fausse du narcissique Alain Delon, que l'on a affublé, comble de bêtise et d'hilarité, de dialogues creux et prétentieux, d'un faux sentimentalisme lamentable et d'un pseudo-intellectualisme de héros fatigué, mais surtout fatigant.
  • Y A-T-IL UN FLIC POUR SAUVER LA REINE ? (1988)
    Note : 13/20
    Un foisonnement de gags plaisants.
  • COCOON : LE RETOUR (1988)
    Note : 4/20
    Cette pâle suite ne mérite pas le déplacement, comme la plupart des suites et des resucées, l'ensemble manquant de charme, de forme et d'intérêt.
  • DU RIFIFI À PANAME (1966)
    Note : 11/20
    Film lourdement commercial construit sur une banale histoire de gangsters avec un George Raft qui tente de nous refaire le coup de "Scarface" sans bien sûr y parvenir.
  • UN PETIT CARROUSEL DE FETE (1956)
    Note : 16/20
    Un petit bijou de fraîcheur, de vivacité et de spontanéité qui reste une oeuvre importante voire majeure du cinéma hongrois.
  • JÉSUS DE MONTREAL (1988)
    Note : 15/20
    Un scénario habile, des acteurs exceptionnels, un récit captivant.
  • DROLE DE COUPLE (1978)
    Note : 12/20
    Le scénario évite de façon surprenante les habituels clichés du cinéma américain sur l'homosexualité mais ne tient malheureusement pas la route sur toute sa longueur sans être deshonorant pour autant.
  • À NOUS DEUX (1979)
    On retrouve le style de Lelouch, (si on peut appeler celà un style) c'est-à-dire une profusion de procédés dramatiques et techniques attrape-tout, tape-à-l'oeil et sans réelle vérité cinématographique et humaine.
  • LE PHILOSOPHE (1988)
    Note : 15/20
    Second volet de la trilogie intitulée "Les formes de l'amour" largement plus réussi que "Le microscope" par un metteur en scène toujours intéressant.
  • LES CORRUPTEURS (1967)
    Excellent petit film de série B, mené tambours battants méritant une redécouverte.
  • LES JOURS ET LES NUITS DE CHINA BLUE (1984)
    Note : 8/20
    Une oeuvre fort controversée qui rappelle l'excellent film de Brooks : "A la recherche de Mr Goodbar" dont il n'arrive même pas à la cheville.
  • MEURTRE PAR DECRET (1978)
    Note : 13/20
    Original, divertissant, sympathique !
  • LA VIE DE PLAISIR (1943)
    Note : 15/20
    Une excellente rareté d'une rigueur et d'une méchanceté indéniables.
  • RAIN MAN (1988)
    Note : 11/20
    Oeuvre somme toute fort moyenne dans sa réalisation, mais quelle extraordinaire prestation de Dustin Hoffman qui incarne avec conviction son étonnant personnage !
  • DIESEL (1984)
    Un film totalement risible et médiocre d'un metteur en scène qui avait su nous intéresser par ses premières œuvres, riches et denses.
  • LES SEPT DE MARSA MATRUH (1969)
    Médiocre oeuvre d'un obscur tâcheron italien qui utilise les clichés habituels dans ce genre de production sans aucun intérêt.
  • ASSOIFFÉ (1957)
    Note : 19/20
    Un flamboyant mélodrame d'un sombre pessimisme ambiant, stigmatisant avec force et fougue certaines détresses et fêlures de la société indienne, pourtant libérée du carcan colonialiste, qui s'enfonce dans une profonde amertume générée par maintes désillusions économiques, politiques et sociales. Une magnifique scénographie musicale, agrémentée d'une extraordinaire fluidité de la caméra, quelques fréquents et somptueux enchaînements de travellings avant et arrière, entre lyrisme exacerbé et diffuse sensualité et une très belle composition de la lumière, en permanence et en suffocation émotionnelles, font de cette oeuvre limpide et puissante, un des plus grands chefs-d'oeuvre hindi. Sans oublier le plaisir réitéré de retrouver à chaque nouveau film du réalisateur, le succulent comique déhanché et grimaçant du grand Johnny Walker, interprétant ici le rôle d'un désopilant masseur du cuir chevelu, seul ami véritable, dans la tourmente et le rejet, du tourmenté poète Vijay.
  • GWEN, LE LIVRE DE SABLE (1984)
    Un exemple même du dessin animé de science-fiction français de long métrage parfaitement réussi, par un réalisateur incontournable.
  • L'HISTOIRE SANS FIN (1984)
    Note : 12/20
    Un gentil petit conte fort réussi !
  • LE CADAVRE VIVANT (1929)
    Note : 17/20
    Un inoubliable chef-d'oeuvre fort pessimiste.
  • OUTRAGES AUX MOEURS (1985)
    Vraiment pas de quoi s'émouvoir dans cette stupidité de bas-étage.
  • LA TERREUR DES BANSHEES (1970)
    Note : 13/20
    Une oeuvre plutôt sympathique, souvent violente et dure, réalisée par un metteur en scène britannique qui fut parmi les premiers à s'aventurer dans le gore.
  • CENDRES ET DIAMANT (1958)
    Note : 16/20
    Oeuvre essentielle du cinéma polonais teintée d'amertume et de doute.
  • ÇA VA PAS ÊTRE TRISTE (1982)
    La tristesse et la viduité d'un certain cinéma comique français dans son évidence.
  • LES MAITRESSES DE DRACULA (1960)
    Note : 14/20
    Terence Fisher, égal à lui-même !
  • UNE CREATURE DE REVE (1984)
    Note : 8/20
    Beaucoup de trucages pour cacher le vide d'un scénario relativement niais, construit sur des schémas habituels, sans fondement ni réel humour.
  • LE SECRET DE MONTE-CRISTO (1961)
    Aventure et délassement. Sans prétention et qui se regarde distraitement.
  • LE CORPS ET LE FOUET (1963)
    Note : 7/20
    Mario Bava est vraiment un metteur en scène fort inégal dans la qualité de ses réalisations. Ici, la médiocrité reste de mise pour un ensemble bâclé et poussif.
  • BRIGADE DES MOEURS (1984)
    Médiocre et violent au possible. Un résultat sans surprise venant d'un réalisateur sans envergure qui, malgré tout, en fait pâmer certains.
  • YOR LE CHASSEUR DU FUTUR (1983)
    Une mauvaise et fort stupide mixture concoctée d'un mélange indigeste et crétin de "La guerre du feu" et de "La guerre des étoiles".
  • YAABA (1989)
    Note : 15/20
    Une oeuvre d'une grande tendresse et d'une profonde réalité sociale.
  • TOOTSIE (1982)
    Note : 15/20
    Distrayant, drôle, humoristique, une oeuvre fort sympathique !
  • EN SUIVANT LA FLOTTE (1936)
    Cinquième apparition du couple légendaire Gingers Rogers / Fred Astaire.
  • LES BOIS NOIRS (1988)
    Jacques Deray déraille comme à son habitude ces dernières années, et nous propose une oeuvre sans âme, sans relief et sans personnalité.
  • C'EST FACILE ET CA PEUT RAPPORTER VINGT ANS (1983)
    Une oeuvre stupide d'une immense vacuité d'ensemble.
  • GRANDMOTHER (1976)
    Note : 15/20
    L'ambiance et l'atmosphère de son premier long métrage "Eraserhead" avec l'utilisation de l'animation qui place déjà Lynch dans les réalisateurs à suivre.