La petite île de Matiora doit disparaître sous les flots. Le progrès et le Parti ont décidé de construire un barrage pour l'alimentation électrique de la région. Douloureuse situation pour les vieux autochtones lorsque cinq hommes débarquent un matin brumeux pour détruire les souvenirs du passé.
Critique
Critique de
Jean-Claude pour Cinéfiches
NoteCinéfiches : 16/20
Un merveilleux poème, commencé par l'épouse du réalisateur, Larissa Chepitko, décédée au début du tournage, qui malgré sa beauté et sa puissance, eut bien des ennuis avec l'autoritaire censure moscovite.