Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 49 films notés

Page 48 sur 332 (16566 critiques au total)

  • ADRÉNALINE LE FILM (6) (1986)
    Note : 6/20
    C'est bête et nul au possible, et le final, une stupide vue de l'esprit.
  • ET DEMAIN ? (1934)
    Note : 14/20
    On oubliera peut-être assez facilement les deux personnages principaux qui animent l'histoire et le scénario, pour finalement garder plutôt en mémoire et en ravissement, certaines silhouettes secondaires dont la prestation et la finesse du "trait cinématographique" restent fort suaves et d'une pertinence extrême.
  • ADRÉNALINE LE FILM (8) (1989)
    Note : 10/20
    C'est bien filmé, mais aussi vain et parfaitement stupide. Erotique, vous avez dit ?
  • INDIGÈNES (2006)
    Note : 15/20
    Une noble cause largement oubliée, défendue par un cinéma commercial, qui n'a pas à rougir de ses facilités et de ses conventions, c'est plutôt rare et bienvenu.
  • ADRÉNALINE LE FILM (9) (1987)
    Note : 14/20
    C'est fort réussi, avec cette teinte d'absurdité baignée d'un halo fantastique.
  • L'HOMME H (1958)
    Note : 11/20
    On est loin des monstres habituels qui hantent les films d'Inoshirô Honda, ce qui n'est pas pour déplaire, même si l'ensemble reste tout de même fort soporifique.
  • ADRÉNALINE LE FILM (10) (1987)
    Note : 8/20
    Quelle mouche a piqué nos deux réalisateurs habituellement bien plus inspirés ?
  • MEMORIES OF MURDER (2003)
    Note : 15/20
    Bienvenu film coréen qui prend le contre-pied des habituelles enquêtes policières yankees à la traditionnelle efficacité dans les films et les séries du genre, en nous proposant des pandores insignifiants et plutôt défaillants.
  • LE FEU SOUS LA PEAU (2006)
    Note : 13/20
    Ce qui retient avant tout, bien avant les lascifs débordements amoraux de Katrina l'excessive, c'est la permanente qualité du jeu des principaux acteurs -présence certaine, efficience totale- et bien sûr, un scénario parfaitement calibré. Par contre, là où le bât blesse, où l'on peut difficilement accorder un quelconque satisfecit, c'est dans l'inconsistance référentielle du film qui fait barboter l'ensemble dans tous les méandres possibles des genres disponibles ou connus par le cinéaste (humour, horreur, comédie, cinéma-vérité, tragédie, social, érotique, musical, mélodrame, etc..) sans jamais trouver ses marques propres, son rythme de croisière pour s'installer dans une sorte de pesant melting-pot émotionnel fort disparate et jamais véritablement maîtrisé, donnant une gênante impression d'invertébré filmique, sans épine dorsale structurelle, existentielle, parsemé de quelques tics cinématographiques post-modernes et de tintamarre pseudo-musical. Dommage, on attend avec curiosité la suite et un peu plus de sérénité filmique de la part du réalisateur, sans pour autant souhaiter qu'il se prenne rapidement pour un nouveau Ken Loach ou un Marco Risi austral(ien).
  • LES LUNDIS AU SOLEIL (2002)
    Un film réaliste, teinté de contestation, auréolé des lointaines luttes ouvrières, situant avec une grande simplicité et beaucoup de sensibilité, le combat de l’homme, victime des traumatisants ravages de la mondialisation.
  • SOLINO - UNE VIE NOUVELLE (2002)
    Note : 15/20
    Bienheureuse saga familiale, transfigurée par une première partie irréprochable dans son écrin de fraîcheur et de légèreté qui, malgré certaines longueurs dans sa progression décennale, impose une oeuvre charnière qui préfigure, avec vigueur et charme, l'œuvre d'un grand metteur en scène en devenir.
  • THE RINGER (1973)
    Note : 16/20
    L'objet cinématographique, petite rareté des plus "acides" ne comporte ni générique technique ni le moindre casting et mérite notre assentiment.
  • A VERY BRITISH GANGSTER (2006)
    Note : 15/20
    Fort justement primé au festival du film policier de Cognac (2007) cette étonnante oeuvre documentaire sur un faraud potentat mancunien du crime, pose tout de même le crucial problème de la véracité des faits énoncés, filmés, entre esbroufe narcissique et complaisante manipulation, à l'insu ou avec l'accord tacite du metteur en scène souvent perçu soit comme complice ou bien dépassé par son sujet.
  • FRANKENSTEIN CONTRE BARAGON (1965)
    Note : 13/20
    Une réalisation du maître japonais plus qu'honorable.
  • HALF MOON (2006)
    Note : 14/20
    Bienvenu et séduisant road-movie, traversé par d'étonnantes digressions onirico-fantastiques qui, hélas, sur la fin de son parcours, zigzague et s'embourbe malencontreusement, ne sachant plus très bien comment terminer son parcours erratique qui avait pourtant si bien commencé. Pour notre part, on préfèrera, avec le même mode de transport, les magnifiques dérives émotionnelles d'un bus yougoslave dans le bouleversant chef-d'oeuvre de Slobodan Sijan : "Qui chante là-bas ?".
  • L'AME DU VIOLON (1919)
    Note : 14/20
    Etonnant petit film fantastique, à connotation (forcément) morale.
  • LA DERNIERE DANSE (1993)
    Note : 7/20
    Une oeuvre souvent ridicule, oscillant sans cesse entre le "carabiné" documentaire médical, la lourde farce insupportable et le calamiteux discours pré et post-mortem emphatique et conventionnel, à vous dégoûter des nipponeries du valétudinaire Itami.
  • LADY CHATTERLEY (2006)
    Note : 11/20
    Mettant en avant des données psycho-sociologiques certainement réelles, mais parfaitement absentes du célèbre roman de D.H. Lawrence, au détriment d'un érotisme souvent pataud voire ridicule, Pascale Ferran nous emmène dans un ennuyeux pensum qui dure et s'éternise près de cent soixante-dix minutes.
  • REDEMPTION OF THE GHOST (2002)
    Note : 11/20
    Bourré de dégoulinants et sirupeux "bons sentiments", d'une simplicité scénaristique déconcertante, frisant quelquefois une gênante lourdeur et une pénible niaiserie, cette oeuvre "paroissiale" qui véhicule des tonnes de sensiblerie, jonglant avec facilité avec les inévitables archétypes moraux, est jouée par des acteurs étonnamment convaincus, voire convaincants.
  • CAUCHEMARS ET HALLUCINATIONS (1919)
    Note : 10/20
    Rien à retenir de ce film fantastique hormis (mais c'est peu) que le dernier opus est écrit en vers et que l'on retrouve les mêmes acteurs dans chaque saynète.
  • L'OASIS DES TEMPETES (1957)
    Note : 10/20
    Pas vraiment de quoi frissonner dans cette passable réalisation des studios Universal en manque flagrant d'inspiration ; reste le charme désuet d'une production fifteen qui se regarde benoîtement la main posée sur sa fidèle télécommande high-tech.
  • LE HUSSARD DE LA MORT (1925)
    Note : 13/20
    Enorme succès populaire qui allie action, humour et souffle épique.
  • JAMAIS SANS MA MÈRE (2003)
    Note : 15/20
    Affublé d'un titre français stupide et racoleur, ce succulent petit bonbon cinématographique, entre acidité décapante et tendresse profonde, d'une agréable simplicité plutôt déconcertante, se déguste avec bonheur et nonchalance, tel un gourmet petit chat complice, en manque de présence affective et de carnassières gâteries, devant une gamelle désespérément vide.
  • DOGORA LE MONSTRE DE L'ESPACE (1964)
    Note : 10/20
    Une déception dans la filmographie du bienvenu réalisateur nippon inventif et fécond. Malgré une idée fort originale au départ, l'ensemble souffre constamment de l'histoire annexe des voleurs de diamants dont on n'a vraiment que faire.
  • CARTOUCHES GAULOISES (2007)
    Note : 15/20
    Une oeuvre de bonne facture, profondément autobiographique, constituée de petites touches anecdotiques et précises, qui évite avec lucidité et dignité les séduisants et trop faciles partis pris manichéens, dont la seule faiblesse (épisodique et mineure) serait une tendance fréquente, chez certains acteurs, de surjouer légèrement et ainsi, d'affadir le propos et de diluer l'émotion. Une mention spéciale au jeune Ali, à la présence lumineuse et naturelle, et à la courte mais solide prestation de l'imposant et trop rare Bonnafet Tarbouriech, en chef de gare bougon et philosophe.
  • LA PORTE DES SECRETS (2005)
    Note : 12/20
    Correctement réalisée, correctement interprétée, une production fantastique acceptable dans son ensemble, finalement sans réelle envergure et qu'on oubliera vite.
  • LES MESSAGERS (2007)
    Note : 9/20
    Truffée de nombreuses incohérences et de lourdes facilités scénaristiques, sans aucune originalité dans la mise en scène, avec des acteurs faisant le minimum syndical pour nous éviter l'assoupissement définitif, une oeuvre banale et bancale, à jeter sans hésitation ni remords, en pâture aux corvidés, définitivement.
  • TRIPLEPATTE (1922)
    Note : 15/20
    Agréable petit vaudeville inventif et distrayant, dans lequel on reconnaît la patte allègre de Tristan Bernard au meilleur de sa forme, avec un étonnant Henri Debain, oscillant entre "le grand dandin désorienté" et "le lunaire rêveur dégingandé", rappelant les meilleures compositions d’un James Stewart en verve et en panache. Une sympathique production découverte au festival de Pordenone 2009.
  • ALEXANDRA'S PROJECT (2003)
    Note : 15/20
    Effrayant mais aussi poignant huis-clos conjugal en forme d'efficace et décapant règlement de comptes, dénonçant avec une rare efficacité une forme fréquente de machisme marital et qui débouche sur une irrépressible et graduelle vengeance savamment concoctée avec l'aide d'un caméra vidéo et d'un voisin compréhensif. On se souviendra longtemps de la digitale diatribe d'Alexandra, entre blessante humiliation et fécond machiavélisme, dégageant une sourde inquiétude et un profond malaise.
  • L'ESCLAVE BLANCHE (1906)
    Note : 13/20
    Le cinéma danois débutant.
  • LES FANTÔMES DE GOYA (2006)
    Note : 14/20
    On aurait tort de considérer cette extravagante oeuvre de Milos Forman comme une biographie illustrée du prestigieux peintre Francisco Goya. Malgré une sympathique prestation du prolifique Stellan Skargard dans le rôle générique et une époustouflante composition de Natalie Portman, dans une étonnante double interprétation, le personnage central du film reste Javier Bardem dans sa superbe composition d'une délectable fripouille hors-norme, mais de tous bords et de tous siècles...
    *** Homme politique prétendu de gauche, faisant partie du staff de la candidate socialiste Ségolène Royal aux élections présidentielles de l'année 2007 et qui rejoint quelques jours plus tard, après la promulgation des résultats, le camp adversaire (vainqueur) pour aller au maroquin "Judas", à la soupe "Brutus", au picotin "Ganelon", au portefeuille "Iago", auprès de celui (Sarkozy) qu'il traitait il y a peu, de "singulièrement dangereux, voire irresponsable qui n'éprouve aucune honte à pêcher dans les eaux de l'extrême-droite". Cet amoral et risible glissement idéologique, précédé ou suivi par quelques autres thuriféraires du sarkozisme triomphant, Jean-Pierre Jouyet, Eric Besson, Hervé Morin, Jacques Attali, Martin Hirsch, Maurice Leroy, Hubert Vedrine, Jean-Marie Bockel, Jacques Lang, Dominique Strauss-Kahn, Jean-Marie Cavada et consorts estampillés, à tort ou à raison, comme oscillants hommes politiques de gauche ou du centre, benoîtement qualifiés de : traîtres, félons, rénégats, fourbes, perfides... alors qu'ils ne souffraient peut-être que d'appétence hiérarchique, d'indigence existentielle et de comateux troubles du discernement qui, après bien des ataxies doctrinaires, semblent avoir enfin trouvé leur équilibre quinquennal dans une élyséenne cantine cinq étoiles de droite, grande ouverte.
  • L'EVANGELISTE (1915)
    Note : 15/20
    Peut-être le rôle le plus connu et le plus marquant du grand (et pourtant méconnu) acteur nordique Valdemar Psilander, à découvrir toutes affaires cessantes...
    Nota : Dans la version danoise, la jeune fille enlève une corde à linge et induit qu’elle va finalement se suicider ; dans la version russe, elle se pend ; dans la version suédoise, elle se pend mais sera sauvée in extremis par les deux intervenants.
  • NAISSANCE DES PIEUVRES (2006)
    Note : 14/20
    Prenant délibérément le parti pris assuré, assumé, d'une stylisation naturaliste extrême et un dépouillement radical récusant tous les éléments hors sujet (parents, école) Céline Sciamma (vingt-sept ans, première réalisation) parvient à nous imposer son originale vision aiguë et hantée du monde adolescent féminin. On hésite entre rare création d'une cinéaste exceptionnelle, en devenir et illusoire construction filmique vaine et infondée. Son second long métrage fort attendu nous permettra d'y voir plus clair, loin des céphalopodes gluants de l'amour et de l'amitié natatoires.
  • LE CLOWN (1916)
    Note : 16/20
    Superbe mélodrame danois qui eut l'honneur du festival du cinéma muet de Pordenone 2006 lors d'une rétrospective consacrée au cinéma nordique.
  • MONSTRE (2005)
    Note : 14/20
    Excellente transposition australienne des sombres et puissantes craintes de l'enfance, dans une réalisation qui dégage un diffus et persistant malaise visuel.
  • LE VAISSEAU DU CIEL (1917)
    Note : 11/20
    Même si le message édicté est d'une lourdeur pachydermique et prête largement à sourire, que les trucages sont d'une efficacité douteuse et que les convictions scientifiques frisent le risible, l'ensemble mérite tout de même qu'on y embarque pour un voyage interstellaire à l'orée d'un cinéma en devenir.
  • SIMON (2004)
    Note : 15/20
    Des acteurs parfaits dans l'intime expression de la vie qui passe, un scénario sans surprise mais géré avec émotion et rigueur et un filmage sans faille ni pathos inutile.
  • LA RIVIERE (2001)
    Note : 15/20
    Délicat et amer comme le vin et l'eau ensemble, une oeuvre de qualité dont on savoure la pertinence des situations et la justesse psychologique des états d'âme.
  • EXILE (2006)
    Note : 11/20
    Rien de plus consternant et de plus inquiétant que d'observer avec quelle vélocité collective et quel aveuglement dithyrambique, conséquents à une étroite et microscopique connaissance du cinéma, nombre de jeunes critiques, pour qui le cinéma commence avec l'indécrottable Tarantino, encense cette oeuvre tartuffe et brouillonne qui n'a de brillance que l'apparence (celle d'un semblant de stylisation personnelle) et de clinquant qu'une mièvre fanfaronnade (celle de l'élaboration prétentieuse d'une incongrue décoction où surnagent des clones asiatiques de personnages emblématiques des films de Léone, Kurosawa et Peckinpah). Reste, par-delà le verbiage et le délayage scénaristiques, en faisant fi de la détestable prétention saumâtre de l'ensemble (du vent et du toc enrobés avec un certain savoir-faire) une évidente maîtrise du plan fixe et de la chorégraphie générale.
  • THE HOST (2006)
    Note : 15/20
    Bienheureuse production fantastique, menée tambour battant d'une reptilienne énergie sud-coréenne, entre croquante charge écologique et discret hommage aux sédiments affectifs et traditionnels de la famille.
  • ANTIBODIES (2006)
    Note : 14/20
    Sur le thème de la sournoise et constante manipulation, avec en arrière-plan l'omniprésence du carcan étouffant de la religion et ses prégnants corollaires de faute et de punition, une oeuvre qui lorgne un peu facilement du côté du "Silence des agneaux" et dont l'efficacité horrifique aurait été considérablement accrue en présentant Gabriel Engel, le maléfique personnage, d'une manière beaucoup plus sobre, sans excès d'hémoglobine et de folie lourdement démonstrative.
  • LA-BAS (2006)
    Note : 6/20
    Barbant et inutile !
  • TIME (2006)
    Note : 15/20
    Etonnant petit film en abyme, sur la nécessaire et pourtant pesante altérité, l'inévitable évolution des sentiments et de leur expression, le douloureux naufrage existentiel, concomitant à tout deuil amoureux, la pérennité affective vers une douce-amère intemporalité, qui s'englue quelquefois dans de basses et lourdes redites scénaristiques, alors même qu'il tend vers la légèreté et l'universalité.
  • LA TRAITE DES BLANCHES (1910)
    Note : 10/20
    Les préoccupations de l'époque pour une oeuvre des plus rares, visionnée au festival du film muet de Pordenone 2006, exhumée avec bonheur pour la circonstance.
  • LE MONDE DES MORTS-VIVANTS (1974)
    Note : 5/20
    D'une affligeante médiocrité, doublée d'une abyssale débilité, rien est à sauver de cette oeuvre indigeste, d'origine ibérique, inepte et stupide qui incite tout spectateur censé à se noyer dans des litres d'un sublime amontillado bien corsé.
  • HAPPY CHRISTMAS (1999)
    Note : 14/20
    Petite comédie grinçante qui mérite notre participation au réveillon !
  • JINDABYNE. AUSTRALIE (2006)
    Note : 16/20
    Une œuvre méconnue, magnifique et bouleversante. Par d'infimes petites touches délicates et feutrées, sans jamais verser dans la pesanteur dénonciatrice ou le constat moralisateur, le metteur en scène Ray Lawrence, après son époustouflant "Lantana", dévoile à nouveau son exceptionnelle maîtrise du génome psychologique de la nature humaine, entre monstruosité latente et innocence enfantine.
  • ELISO (1928)
    Note : 16/20
    Un étonnant souffle épique qui culmine dans l'extraordinaire scène mortuaire en l'honneur du décès d'une vieille femme, un mouvement de colère et de ressentiment de la population qui se transforme en une extraordinaire fête jubilatoire, au-delà de la peine et des souffrances. Un réalisateur géorgien décidément incontournable, régulièrement honoré par le Festival du Film Muet de Pordenone.
  • SCHOOL FOR SECRETS (1946)
    Note : 10/20
    Une oeuvre vraiment poussive et bavarde, (hormis le dernier quart d'heure) marquée d'un humour forcément voire férocement britannique, aux absconses subtilités plus ou moins spirituelles, qui sera la première incursion de Peter Ustinov dans le domaine de la réalisation que l'on peut qualifier de curiosité ratée.
  • TRAITE DE BAVE ET D'ETERNITE (1950)
    Note : 9/20
    S'imaginent avoir inventé la poudre, d'escampette certainement.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
THE RINGER (1973) 16
LE CLOWN (1916) 16
ELISO (1928) 16
JINDABYNE. AUSTRALIE (2006) 16
INDIGÈNES (2006) 15
MEMORIES OF MURDER (2003) 15
TRIPLEPATTE (1922) 15
L'EVANGELISTE (1915) 15
LA RIVIERE (2001) 15
THE HOST (2006) 15
SOLINO - UNE VIE NOUVELLE (2002) 15
A VERY BRITISH GANGSTER (2006) 15
JAMAIS SANS MA MÈRE (2003) 15
CARTOUCHES GAULOISES (2007) 15
ALEXANDRA'S PROJECT (2003) 15
SIMON (2004) 15
TIME (2006) 15
ET DEMAIN ? (1934) 14
L'AME DU VIOLON (1919) 14
HAPPY CHRISTMAS (1999) 14
ADRÉNALINE LE FILM (9) (1987) 14
HALF MOON (2006) 14
LES FANTÔMES DE GOYA (2006) 14
NAISSANCE DES PIEUVRES (2006) 14
MONSTRE (2005) 14
ANTIBODIES (2006) 14
FRANKENSTEIN CONTRE BARAGON (1965) 13
LE HUSSARD DE LA MORT (1925) 13
L'ESCLAVE BLANCHE (1906) 13
LE FEU SOUS LA PEAU (2006) 13
LA PORTE DES SECRETS (2005) 12
L'HOMME H (1958) 11
LADY CHATTERLEY (2006) 11
LE VAISSEAU DU CIEL (1917) 11
REDEMPTION OF THE GHOST (2002) 11
EXILE (2006) 11
CAUCHEMARS ET HALLUCINATIONS (1919) 10
DOGORA LE MONSTRE DE L'ESPACE (1964) 10
LA TRAITE DES BLANCHES (1910) 10
ADRÉNALINE LE FILM (8) (1989) 10
L'OASIS DES TEMPETES (1957) 10
SCHOOL FOR SECRETS (1946) 10
TRAITE DE BAVE ET D'ETERNITE (1950) 9
LES MESSAGERS (2007) 9
ADRÉNALINE LE FILM (10) (1987) 8
LA DERNIERE DANSE (1993) 7
LA-BAS (2006) 6
ADRÉNALINE LE FILM (6) (1986) 6
LE MONDE DES MORTS-VIVANTS (1974) 5