Sur le thème de la sournoise et constante manipulation, avec en arrière-plan l'omniprésence du carcan étouffant de la religion et ses prégnants corollaires de faute et de punition, une oeuvre qui lorgne un peu facilement du côté du
"Silence des agneaux" et dont l'efficacité horrifique aurait été considérablement accrue en présentant Gabriel Engel, le maléfique personnage, d'une manière beaucoup plus sobre, sans excès d'hémoglobine et de folie lourdement démonstrative.