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JINDABYNE. AUSTRALIE-2006-
Nationalité : Australie
Titre VO : Jindabyne
Durée : 2h03
Date de sortie en France : 15/08/2007
Genre : DRAME
Themes
Représentant(e)s du culte
- cinéma australien -
Tueurs psychopathes
- cinéma australien -
Pêche et pêcheurs
- cinéma australien -
Réalisation : Ray LAWRENCE
Inspiration : D'après la nouvelle Tant d'eau si près de la maison de Raymond CARVER
Prise de vues : David WILLIAMSON
Musique : Dan LUSCOMBE et Paul KELLY
Récompenses
Prix Spécial du Jury pour le réalisateur; Cognac 2007 .....
Prix FIPRESCI et Meilleur Scénario; Stockholm 2006 .....
Meilleure Actrice (Laura Linney) et Meilleure Musique; Valladolid 2006
Nota
Film dédié à Kevin Smith, acteur d'origine néo-zélandais, décédé lors d'un tournage à Pekin.
Distributeur : La Fabrique de Films
Visa d'exp. : 116645
Résumé
span class="filmLink">"Jindabyne", une petite bourgade australienne perdue au fin fond de nulle part, avec ses rares commerces, ses maisons proprettes, ses familles sereines et ses inévitables aborigènes, comme de bien entendu tenus à l'écart de la communauté. Il n'y a donc apparemment rien de plus normal que le seul garage local de la région ferme déjà un vendredi, pour un très long week-end, et que son gérant, Stewart Kane, accompagné de son seul employé et de deux copains de toujours, parte à la pêche de la truite sauvage, dans un coin reculé de la vaste région. Une virée entre mecs, loin de toutes contingences existentielles, pour passer le temps, avant que le temps nous dépasse. A peine arrivés à destination (une superbe vallée retirée, inaccessible en voiture, avec son timide et poissonneux torrent lacustre) nos quatre compères découvrent le cadavre d'une jeune autochtone, visiblement assassinée. Sans trop se poser de questions considérées a priori superflues, ils décident finalement de continuer leurs activités hédonistes, préférant attendre la fin de l'escapade pour prévenir les autorités judiciaires.
Critique
Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Une œuvre méconnue, magnifique et bouleversante. Par d'infimes petites touches délicates et feutrées, sans jamais verser dans la pesanteur dénonciatrice ou le constat moralisateur, le metteur en scène Ray Lawrence, après son époustouflant "Lantana", dévoile à nouveau son exceptionnelle maîtrise du génome psychologique de la nature humaine, entre monstruosité latente et innocence enfantine.
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Bibliographie