Critique(s)/Commentaire(s) de Jean-Claude (Administrateur Cinefiches)

Voir ses 45 films notés

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  • GARE CENTRALE (1957)
    Note : 16/20
    Sur le thème de la frustration, une oeuvre de qualité, puissamment interprétée par Chahine lui-même qui s'octroie avec force le rôle principal.
  • RENDEZ-VOUS (1940)
    Note : 19/20
    Un chef-d'oeuvre de finesse psychologique décuplé par un exceptionnel humour délicat et communicatif. Avec "Haute pègre", certainement de loin un des meilleurs films de Lubitsch et une des plus suaves comédies américaines de tous les temps. A ne rater sous aucun prétexte, l'antidote idéal contre la morosité, la bêtise et le désespoir. L'interprétation, jusqu'aux tout petits rôles, est, de plus, irréprochable !
  • LE JOURNAL D'UNE FEMME DE CHAMBRE (1963)
    Note : 15/20
    Plaisant et méchant !
  • QUO VADIS (1950)
    Du grand spectacle ayant nécessité la construction de gigantesques décors et la participation de plus de 5500 figurants, qui fascine toujours autant par son ampleur que par sa démesure et qui renferme bien des morceaux de bravoure et d'anthologie.
  • LE BLANC ET LE NOIR (1930)
    Note : 16/20
    Première rencontre cinématographique entre Raimu et Fernandel qui nous convient à une sympathique oeuvre de détente et d'humour. Et comme souvent, il faut reconnaître un formidable Raimu, un des plus grands acteurs français du cinéma.
  • EN CAS DE MALHEUR (1957)
    Note : 14/20
    Au festival de Venise, le film fit scandale par l'acidité de ses propos, la virulence de sa dénonciation et l'impudence de ses images. Le meilleur rôle de Brigitte Bardot.
  • KEOMA (1976)
    Rien à retenir de ce western-spaghetti d'une extrême violence et sans intérêt.
  • EQUATEUR (1983)
    Note : 8/20
    Du cul et de l'exotisme pour un film royalement rate sans aucune dimension politique reelle qui tente d'illustrer une liaison ravageuse dans un contexte racial historiquement detonant ..... Autant relire le court roman de Georges Simenon.
  • LA LOI DU NORD (1939)
    Note : 15/20
    Un sympathique et bienvenu mélodrame un peu poussiéreux (et fort neigeux) à voir pour la beauté de Michele Morgan et la densité de Charles Vanel.
  • LE PRINCE ETUDIANT (1927)
    Note : 17/20
    Le doigté et la maîtrise de Lubitsch ont fait de cette histoire hyper-romantique, une superbe étude sur le thème de la fragilité du bonheur et la constante présence de la mort. Entièrement reconstitué en studio par la Métro Goldwyn Mayer, le film devint rapidement un estimable succès international et pour le spectateur une rare occasion de redécouvrir la période muette de l'oeuvre d'un génial réalisateur.
  • MASCULIN FÉMININ (1965)
    Note : 15/20
    Sur une intrigue minimaliste, Jean-Luc Godard tente de cerner les moult questionnements des "enfants de Marx et du coca-cola" sur le large éventail thématique du "Comment a-t-on vingt ans dans les années soixante".
  • DON ANGELO EST MORT (1973)
    Note : 15/20
    Une solide interprétation d'Anthony Quinn sur l'éternel thème des mafiosi.
  • LES VOLEURS DE LA NUIT (1982)
    Note : 6/20
    Des dialogues d'une platitude effarante, un scénario vertigineusement médiocre, un jeu d'acteurs catastrophique font de ce film une incroyable rature pour un metteur en scène jadis génial et fort envoûtant. A fuir par décence et avec une immense tristesse.
  • MONTPARNASSE 19 (1957)
    Note : 17/20
    Une magistrale interprétation de Gérard Philipe !
  • LE DOCTEUR JIVAGO (1966)
    Note : 14/20
    Une somptueuse fresque mélodramatique entre trémolos larmoyants, émotions garanties et battements de coeur fréquents. Hormis une médiocre dimension politique, le film reste un agréable divertissement familiale souvent somptueux, difficilement ressenti dans son intégralité sur le petit écran d'une télévision.
  • LE DEMON S'EVEILLE LA NUIT (1951)
    Note : 15/20
    Un film sombre et pessimiste, constamment étouffant et d'une implacable noirceur, que même la fin en happy end, ne dissipe pas vraiment. A voir, le moral au beau fixe.
  • LA MAISON DU MALTAIS (1938)
    Note : 15/20
    Un classique du cinéma français d'avant-guerre !
  • DOCTEUR JERRY ET MISTER LOVE (1963)
    Note : 17/20
    Une des oeuvres les plus remarquables de Jerry Lewis où tous les gags font mouche et qui devrait séduire même les détracteurs du célèbre comique. Un incontournable classique de la comédie américaine.
  • CONAN LE BARBARE (1981)
    Adapté de célèbres nouvelles "d'héroïc-fantasy" par un réalisateur ayant fait ses premières armes dans l'écriture de scénarii ("Jérémiah Johnson", "Juge et hors-la-loi" ou "Apocalypse now"), le film déçoit légèrement par un regrettable manque d'unité générale et un rythme fort décousu. Pour certains, pourtant, un film-culte.
  • LE MOUTON À CINQ PATTES (1954)
    Note : 11/20
    Un festival "Fernandel" qui interprète pas moins de six rôles différents.
  • FURIE (1936)
    Note : 18/20
    Admirable "premier film" de Fritz Lang après son départ de l'Allemagne nazie vers les States, qui raconte avec brio, sur le thème de l'injustice et du lynchage collectif, une époustouflante histoire de fureur et de haine. A voir sans réserve par les fanatiques à la Bronson de l'autodéfense et de la justice expéditive.
  • COLERE NOIRE (1955)
    Note : 16/20
    Un bon moment de cinéma d'action, sans psychologie abusive, ni digressions ennuyeuses, pour un solide petit film noir américain qui mérite entièrement notre respect et notre attention. Décidément, le metteur en scène Frank Tuttle est un réalisateur à redécouvrir de toute urgence.
  • KATIA (1938)
    Note : 13/20
    Un drame romantique qui a permis à Danielle Darrieux de devenir désormais une vedette internationale. Malgré son coté désuet et rétro, ce film reste tout de même une oeuvre intéressante et bien sympathique.
  • LA FURIE DU DESIR (1953)
    Note : 17/20
    A voir absolument !
  • FEUX DANS LA VILLE (1970)
    Note : 9/20
    Une oeuvre bien terne, d'un metteur en scène à la production qualitative en dents de scie qui n'arrive jamais à enflammer vraiment le spectateur exigeant.
  • MORT A VENISE (1971)
    Note : 18/20
    Désirs inavouables, travestis sous le masque protecteur de l'esthétisme et de la rigidité morale ambiante; un film difficile qui risque fort de rebuter le spectateur par la volontaire lenteur de son déroulement et l'académisme apparent de sa réalisation.
  • LES GALETTES DE PONT-AVEN (1975)
    Note : 14/20
    Une tru(cul)ente comédie mi-bourgeoise, mi-libertaire qui nous raconte les moult succès et déboires d'un quadragénaire profondément attiré par la fesse et la peinture. Ce qui nous vaut quelques savoureux "tableaux" de paysages et de femmes aux troublantes facettes et fossettes. Joël Séria continue ainsi, avec humour et délectation, dans la verve corrosive de "Charlie et ses deux nénettes", sans jamais atteindre l'inégalé sommet de son premier long métrage : "Mais ne nous délivrez pas du mal".
  • JOUR DE CHANCE (1950)
    Note : 14/20
    Une plutôt honorable comédie américaine dans laquelle Bing Crosby pousse quelques romances et où apparaît bouffi, méconnaissable, le génial Olivier Hardy en parieur malchanceux sur un champ de courses.
  • MARIE-MARTINE (1942)
    Note : 15/20
    Film mélodramatique qui a bien supporté les années, ne manquant pas d'intérêt, surtout pour le plaisir nostalgique de retrouver une pléiade de vedettes de l'époque.
  • LES CINQ SECRETS DU DESERT (1943)
    Note : 14/20
    Film sympathique de bout en bout avec ses espaces de suspense et son émotion diffuse. A voir quand l'occasion se présente. Du travail efficace pour une oeuvre qui somme toute se veut avant tout de distraction.
  • ON ACHÈVE BIEN LES CHEVAUX (1969)
    Note : 17/20
    Un film d'une grande densité émotionnelle pour un splendide et magistral jeu des principaux acteurs. Néanmoins, face à la force et à la richesse du court et puissant roman d'Horace Mac Coy, la réalisation ne peut que paraître timorée et banale. Une intense étude sociologique d'une période dramatique des States.
  • ET TOURNENT LES CHEVAUX DE BOIS (1947)
    Note : 17/20
    Singulière réussite du film noir américain, baignant dans un climat d'irréalité et de sourde poésie commise par un solide acteur ayant à son actif juste six incursions dans la réalisation et environ une soixantaine de présence sur un écran, comme acteur.
  • TCHAO PANTIN (1983)
    Note : 15/20
    Film noir, pessimiste, en vase clos, qui allie la réussite commerciale à la qualité cinématographique et reste le seul film où Coluche acquiert une véritable stature de comédien, fort justement primé par le César du Meilleur Acteur (1984).
  • L'ESCLAVE LIBRE (1957)
    Bien évidemment on pense au classique du genre "Autant en emporte le vent" et aussi à certaines œuvres antérieures plus importantes du metteur en scène.
  • SUPERMAN LE FILM (1978)
    Note : 15/20
    Un excellent divertissement aux trucages fort réussis avec une splendide palette d'acteurs consacrés font de cette gigantesque entreprise cinématographique, une agréable réussite. Ne pas oublier derrière cette fascinante mise en scène, le mythe écoeurant et reaganien de l'Amérique invincible.
  • ESCALE À HOLLYWOOD (1945)
    Note : 16/20
    Une comédie musicale fort alerte qui a pour originalité essentielle d'intégrer dans ses chorégraphies le dessin animé en l'occurrence les personnages mythiques de Walt Disney : Tom et Jerry. Sixième long métrage de Frank Sinatra et première collaboration du crooner avec Gene Kelly que la MGM renouvèlera plusieurs fois.
  • NINA (1976)
    Note : 15/20
    Comédie dramatique sur le rêve et la réalité, le quotidien et la fiction, qui est considéré quelquefois comme un chef- d'oeuvre et qui appelle à un visionnement même tardif rien que pour la pléiade de vedettes qui la hante et sa virtualité testamentaire dans la riche production de notre réalisateur.
  • L'ÉQUIPÉE SAUVAGE (1953)
    Note : 15/20
    Film mythique par la composition de Brando, effarant de sensualité et d'effronterie !
  • LA BELLE ÉQUIPE (1936)
    Note : 16/20
    Un film souvent sympathique, préfigurant les heures glorieuses du Front Populaire, qui se regarde toujours avec une nostalgique bienvenue.
  • L'ENIGME DU CHICAGO EXPRESS (1952)
    Note : 16/20
    Solide série B menée avec poigne par un Richard Fleischer au mieux de sa forme.
  • LA CHARGE HÉROÏQUE (1949)
    Note : 18/20
    Inoubliable classique qui donne ici, ses vraies lettres de noblesse au western !
  • L'ÉTÉ DE LA PEUR (1978)
    Note : 10/20
    Pas de quoi mériter une bénédiction.
  • REMORQUES (1941)
    Note : 17/20
    Mélodrame flamboyant, réunissant une nouvelle fois le couple mythique Gabin / Morgan dans une histoire déchirante et tendre, entre poésie et désespoir.
  • LA SOUDAINE SOLITUDE DE CONRAD STEINER (1976)
    Note : 17/20
    Sensible, étonnant, émouvant, un film remarquable par sa densité de coeur et sa véracité quotidienne, servi par un acteur exceptionnel.
  • MES PETITES AMOUREUSES (1974)
    Note : 16/20
    Sur un thème cent fois traité (souvent maltraité) de l'éveil aux sens et à la sexualité d'un jeune garçon, le cinéaste nous fournit une oeuvre remarquable, étoilée d'émotion retenue et de profondes déchirures. A voir à coeur ouvert, en toute disponibilité.
  • VOUS N'AVEZ RIEN A DECLARER (1936)
    Note : 17/20
    Formidable ce petit vaudeville d'avant-guerre. Un vrai régal d'humour et de finesse dont on a tenté en 1959 un remake avec Darry Cowl, Pierre Richard, Marie-José Nat, Jean Poiret, Michel Serrault et l'incontournable Pauline Carton dans le même rôle.
  • LES MALHEURS D'ALFRED (1972)
    Note : 14/20
    Second film de Pierre Richard après la sympathique réalisation, l'année précédente du "Distrait" qui maintient son cap humoristique hors de la médiocrité générale des pseudo-comédies françaises. Une confirmation d'un "certain" talent de ce cinéaste.
  • L'ÉNIGME DU SERPENT NOIR (1963)
    Note : 11/20
    Adaptation allemande d'un énième roman d'Edgar Wallace qui vaut surtout par la présence et la prestation paranoïaques de Klaus Kinski.
  • LOUISIANE (1983)
    Médiocre succédané français d'"Autant en emporte le vent", d'une rare indigence cinématographique et d'un ennui fort colossal. On ne peut que plaindre le spectateur courageux, intrépide ou inconscient qui va endurer ces 180 minutes insipides, elles-mêmes doublées en ce qui concerne la version télévisée.
  • LA FURIE DU DESERT (1947)
    Note : 15/20
    Film noir plutôt sympathique qui oscille sans cesse entre policier et mélodrame, sans pour autant faillir à son devoir de distraction et de délassement. Un metteur en scène yankee aux fréquentes incursions dans le polar, à redécouvrir de toute urgence.
Notes de Jean-Claude
(par valeur décroissante)
FilmNote
RENDEZ-VOUS (1940) 19
FURIE (1936) 18
LA CHARGE HÉROÏQUE (1949) 18
MORT A VENISE (1971) 18
DOCTEUR JERRY ET MISTER LOVE (1963) 17
LA FURIE DU DESIR (1953) 17
ET TOURNENT LES CHEVAUX DE BOIS (1947) 17
LA SOUDAINE SOLITUDE DE CONRAD STEINER (1976) 17
VOUS N'AVEZ RIEN A DECLARER (1936) 17
LE PRINCE ETUDIANT (1927) 17
ON ACHÈVE BIEN LES CHEVAUX (1969) 17
REMORQUES (1941) 17
MONTPARNASSE 19 (1957) 17
ESCALE À HOLLYWOOD (1945) 16
L'ENIGME DU CHICAGO EXPRESS (1952) 16
COLERE NOIRE (1955) 16
LA BELLE ÉQUIPE (1936) 16
MES PETITES AMOUREUSES (1974) 16
GARE CENTRALE (1957) 16
LE BLANC ET LE NOIR (1930) 16
DON ANGELO EST MORT (1973) 15
L'ÉQUIPÉE SAUVAGE (1953) 15
LA FURIE DU DESERT (1947) 15
LE DEMON S'EVEILLE LA NUIT (1951) 15
TCHAO PANTIN (1983) 15
SUPERMAN LE FILM (1978) 15
NINA (1976) 15
LE JOURNAL D'UNE FEMME DE CHAMBRE (1963) 15
LA LOI DU NORD (1939) 15
MASCULIN FÉMININ (1965) 15
LA MAISON DU MALTAIS (1938) 15
MARIE-MARTINE (1942) 15
LE DOCTEUR JIVAGO (1966) 14
LES GALETTES DE PONT-AVEN (1975) 14
LES CINQ SECRETS DU DESERT (1943) 14
EN CAS DE MALHEUR (1957) 14
JOUR DE CHANCE (1950) 14
LES MALHEURS D'ALFRED (1972) 14
KATIA (1938) 13
L'ÉNIGME DU SERPENT NOIR (1963) 11
LE MOUTON À CINQ PATTES (1954) 11
L'ÉTÉ DE LA PEUR (1978) 10
FEUX DANS LA VILLE (1970) 9
EQUATEUR (1983) 8
LES VOLEURS DE LA NUIT (1982) 6