Une tru(cul)ente comédie mi-bourgeoise, mi-libertaire qui nous raconte les moult succès et déboires d'un quadragénaire profondément attiré par la fesse et la peinture. Ce qui nous vaut quelques savoureux "tableaux" de paysages et de femmes aux troublantes facettes et fossettes. Joël Séria continue ainsi, avec humour et délectation, dans la verve corrosive de "Charlie et ses deux nénettes", sans jamais atteindre l'inégalé sommet de son premier long métrage : "Mais ne nous délivrez pas du mal".